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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 08:34

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »


Voilà, les fêtes viennent de se conclurent. Une nouvelle année s’annonce. Même si cette période est pour moi synonyme de fêtes en famille et entre amis, je n’arrive pas toujours à en profiter pleinement. Il m’arrive de trouver cette période injuste. Pendant que certains s’amuse en famille ou entre amis, certains sont écrasé sous le poids de l’indifférence général. Souffrant dans leur solitude, certains en ont plus que marre et finisse par mettre fin à leurs jours.


Je ne dis pas cela pour saper le moral ou pour gâcher les moments que vous auriez pu vivre. Mais simplement pour nous rappeler le vrai sens de ces fêtes.


Que vous ayez reçu beaucoup de cadeau ou que vous avez été seul, sachez une chose : Dieu  bien plus à vous offrir.


Face à ce que Dieu veut nous donner, celui qui à tout reçu est aussi riche que celui qui n’a rien reçu. Car rien ne peut égaler le cadeau qu’il nous fait. Et voici ce merveilleux cadeau : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. » (Jean 3.16).


A votre avis, qu’est-ce qui était le plus dur à vivre pour Dieu : Voir que le monde va à sa perte, ou bien d’envoyer Jésus sur terre ?


Laissez-moi vous dire qu’il s’agit de la première réponse. Bien souvent, on cite se verset pour montrer à quel point Dieu a été loin pour nous. Et c’est vrai ! Dieu à tout donné ! Il n’a pas lésiné sur les moyens pour nous sauver.


Mais savez-vous pourquoi ? Car il lui était plus pénible de nous voir dans cette situation que de tout perdre pour nous …. Rendez-vous compte du sentiment qui transparaît dans ce verset : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. ».


Dieu, le créateur de l’univers à estimer moins pénible de tout donner pour nous, que de nous voir aller droit dans le mur …. Ce cadeau ce résume en un mot : l’amour de Dieu ! Et que l’on soit seul ou en famille, l’amour de Dieu est pour tous et demeure inégalable.

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 08:33

 

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »


Quel Dieu merveilleux n’est-ce pas ? Il est prêt à nous offrir tout son amour. Le plus merveilleux, je trouve, c’est qu’il n’a pas fait de casting pour savoir qui méritait ou non cet amour. Il a simplement dit « tout le monde peut le recevoir, car j’aime tellement le monde … ». Et ce, que le soit le plus honorable ou le plus détestable. Que l’on ait une haute estime de soi ou que l’on s’estime comme étant indésirable. Mais essayons de bien comprendre cet amour.


Il s’agit tout d’abord d’un amour intime.


Bien souvent, « intimité » rime avec « discrétion ». C’est intime, ça doit donc rester entre 2 personnes ; ou dans un groupe restreint.


Or, ici, le plus dur à comprendre est peut être que cet amour intime est tellement intense qu’il concerne le monde entier. Le monde entier est concerné par la confidence.


Quand j’étais en secondaire, dans ma classe, un garçon a fait passer une lettre d’amour à une fille. Pas de chance, la prof est tombé dessus et la lue devant la classe. Le garçon est devenu tout rouge, tout gêné. Son intimité a été dévoilée devant les autres et sa fierté y a pris un coup.


Plus souvent les garçons, je trouve, on n’aime pas que notre intimité soit dévoilée. C’est un peu comme un signe de faiblesse. Dieu, quant à lui, n’a pas été gêné de rendre sa déclaration d’amour publique. Il a été honnête avec le monde qu’il aime tellement. Il a été vrai. Il s’est dévoilé au monde. Jésus a dit « Celui qui m’a vu a vu le Père. » (Jn14.9). Notre Père céleste, celui pour lequel la Bible dresse un portrait sans égale. Celui dont la grandeur n’a pas de limite. Celui dont sa puissance a donné vie à toute la création. Lui, s’est fait connaître à nous dans toute son intimité.


Pourquoi ? Parce que Dieu ne recherche qu’une chose, être en relation avec nous. Le fait qu’il est dévoilé cette intimité, au travers de Jésus, nous prouve combien il nous aime. Dieu n’a rien voulu nous caché de son amour.


Le projet de Dieu est que nous entrions dans cette intimité qu’il cristallise dans l’enfant Jésus.


Mais peut être que vous ne vous sentez pas digne de cet amour. Peut-être êtes-vous en train de me prendre pour un dingue. Si tel est le cas, précipitez-vous sur le prochain billet. 

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 08:32

 

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »


L’une des réactions possible à la suite de ce texte serait de trouve que Dieu est dingue …. Pensez-vous que la personne la plus riche sur terre se soucie de notre situation financière ? De notre état de santé ? De celles de nos enfants ? Je ne pense pas … Il ne nous connaît probablement pas.


Pourtant, Dieu, lui, est infiniment plus grand, plus riche et plus puissant que cette personne. Et lui se soucie de nous. Lui nous connait. Lui a de l’intérêt pour nos enfants. Oui, l’amour qu’il nous témoigne peut paraître être un amour étrange.


Nous devons garder en tête que lorsque Jésus nous que : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. », il n’est pas encore mort sur la croix. Ça veut dire que l’humanité n’a pas encore de solution à sa condamnation devant Dieu. Et malgré ça, Jésus nous dit « Votre Père vous aime ! ».


Pour moi, la meilleure image pour comprendre cela est celle du fils prodigue (Lc15.11-32). Le Père n’a pas attendu que son fils vienne à lui. Quand il l’a vu au loin il a couru vers lui « se jeter à son coup et l’embrassa ». Le fils prodigue a demandé sa part d’héritage alors que son père était encore vivant. Cela ne signifie rien d’autre que de dire, « pour moi tu es mort et enterré, donne-moi ce qui m’appartient ». En d’autre mot « Tu n’es plus un père pour moi, je veux vivre loin de toi comme si tu n’existais plus ».


Bien que ce père ait subit la pire souffrance qu’il pouvait lui être infligé, cela n’a pas entaché l’amour qu’il éprouve pour son fils. C’est là l’amour étrange de Dieu pour nous … Un amour qui ne s’entache pas quel que soit les pires atrocités qu’on puisse lui faire ….


Dites-moi si je me trompe mais, parfois, il nous arrive de croire que l’on a déçu Dieu et qu’il est fâché contre nous. On pense donc que Dieu va nous « bouder » parce que l’on n’a pas été suffisamment sage.


Mais laisser-moi vous dire quelque chose. Qui que vous soyez, quel que soit ce que vous avez fait. Vous ne pouvez pas échapper à l’amour de Dieu. N’est-ce pas étrange ? Et pourtant …


Dans le prochain billet, nous verrons quel « type » d’amour est celui de Dieu. Est-ce que Dieu nous aime comme j’aime ma voiture ? Comment Dieu nous aime ?

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 08:31

 

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »


Le sens du mot « aimer » n’est pas toujours très clair je trouve. Une même personne pourra dire « Miam, que j’aime ce bon petit plat ! » et «  J’aime ma femme vous savez ! ». Mais parlons-nous d’un même amour ? Nous comprendrons, grâce au contexte, que non (enfin,  nous l’espérons !).


Dieu, quant à lui, n’a voulu laisser aucune ambiguïté concernant son amour. Il nous montre clairement que son est un amour qui se donne.


Quel est la conséquence de « Dieu a tant aimé » dans Jean 3.16 ? « (…) qu’il a donné ». Parce que Dieu nous aime tant, il a donné Jésus. L’amour que Dieu éprouve pour nous est un amour qui se donne entièrement.


Et parce que cet amour se donne entièrement, il ne peut être repris. Dieu ne cessera jamais de nous aimer. Il a donné Jésus une fois pour toute. Encore aujourd’hui, Dieu nous aime intensément. Parce qu’il a donné Jésus au monde, l’amour de Dieu demeurera éternellement.


Ce Dieu grand veut que nous le rejoignions dans son intimité et que nous expérimentions la réalité de son amour. Un amour d’une telle majesté qu’il en devient notre puissance. Dieu nous a donné ce qu’il a de plus cher. En nous offrant Jésus, Dieu nous donne son Royaume. Car en Jésus, il nous donne le moyen d’y entrer.


Si vous allez en vacance dans un pays européen et que l’on vous demande un Visa ou un Passeport, il vous suffira de donner votre carte d’identité et de dire « je suis citoyen Européen. J’ai le droit de venir ici en vacance ».


Mais parce que Dieu nous a donné Jésus, nous ne sommes pas que citoyen Européen… Nous sommes également citoyen des cieux ! Savez-vous le droit que cela nous donne ? : « Je connais, moi, les plans que je prépare à votre intention -- déclaration du SEIGNEUR -- non pas des plans de malheur, mais des plans de paix, afin de vous donner un avenir et un espoir. Alors, vous m’invoquerez, et vous pourrez partir ; vous me prierez, et je vous entendrai. Vous me rechercherez et vous me trouverez, car vous me chercherez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous -- déclaration du SEIGNEUR » (Jr29.11-13). Voilà le cadeau de Dieu pour nous …

 

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 07:31

 

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »


Quand nous offrons un cadeau à quelqu’un, bien souvent, il est garnit d’un bel emballage. Et lorsque le cadeau est entre les mains de la personne, la suite logique serait qu’elle le déballe. Si elle ne prend pas la peine de l’ouvrir, quel est le sentiment que cela produirait en vous ? Vous auriez beau offrir un cadeau exprimant le mieux votre amour, si la personne ne le déballe pas, elle s’en prive alors … L’amour de Dieu est un cadeau qui se déballe


Mais comment le faire ? Jésus y répond en ce qu’il a dit « Amen, je vous le dis, quiconque n’accueillera pas le royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera jamais. » (Marc 10.15). Et ce qui est intéressant c’est que ce passage avec les petits enfants est suivit de l‘histoire de l’homme riche qui demande à Jésus « comment puis-je hériter de la vie éternelle ? » (Marc10.17). Et peut-être vous êtes-vous posé la question durant la lecture des précédents billets. « Comment avoir la vie éternelle ?? ».


Voici ce que Jésus répond ceci : « va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. » (Marc10.21).


Quelle différence y a-t-il entre l’homme riche et un enfant ? L’homme riche est indépendant. Il a beaucoup de richesse et donc, il peut se débrouiller seul. Un peu comme le fils prodigue qui pensait qu’avec sa part d’héritage, il pourrait enfin vivre comme bon lui semble. L’homme riche semble avoir réussi sa vie, il ne manque de rien.


Et voilà la grande différence entre lui et un enfant. L’homme riche à tirer des conclusions dans sa vie et surement qu’il en a conclu qu’avoir beaucoup de biens offre une certaine stabilité. Son rapport avec la richesse est donc néfaste pour lui. Toute son espérance y est placée. Finalement, son plus grand cadeau, c’est sa richesse.


Cet homme riche, finalement, n’est rien d’autre que le portrait de tout homme.


L’enfant, lui n’a strictement rien. Ils sont heureux avec peu de chose. A l’inverse, pour arriver à faire plaisir à des ados, c’est parfois la croix et la bannière. Et la faute n’est pas vraiment celle des ados mais du monde dans lequel nous vivons. Un monde qui nous conduit à avoir (et vouloir) toujours plus. L’enfant n’est pas encore touché par cette influence. Mais ses parents le sont. Parfois on achète des jouets super chers et sophistiqué pour ses enfants. Alors qu’ils pourraient être tout aussi heureux avec bien moins.


Nous ne sommes peut-être pas aussi riches en bien matériel que l’homme de notre texte. Mais nous sommes toutes aussi riche en connaissance. Le monde nous a appris plein de chose qui, bien souvent, nous conduise à prendre notre indépendance par rapport à Dieu. L’enfant lui est bien plus simple. Il se contente de vivre dépend de la « richesse » de ses parents. Il s’abandonne totalement à ses parents.


Jésus dit à cet homme riche, devient comme un enfant. Tout ce que le monde t’a offert, débarrasse toi en, j’ai bien mieux à te donner. Relisons ce que Jésus dit à cet homme riche : « va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. ».


La vie éternelle ne s’obtient pas en devenant pauvre ! Elle s’obtient lorsque l’on comprend que tout trésor véritable ne peut nous venir que Dieu. Et qu’à l’inverse, ce que le monde nous propose est bien peu de chose. Quiconque croit que tout don excellent vient de Dieu n’aurait qu’une envie, se précipiter sur son cadeau et le déballer.


Et lorsqu’un enfant déballe son cadeau, toute son intention est portée vers celui-ci. Et il se réjouit de ce qu’il y trouvera. Le jeune homme riche n’a pas voulu déballer son cadeau car il avait déjà estimé qu’il ne pouvait pas lui offrir plus que ce que le monde lui a déjà donné …. Et vous ? Seriez-vous prêt à échanger vos richesses mondaines contre celles de Dieu ?

 

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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 13:12


 

L’obéissance est l’une des valeurs les plus fondamentales pour notre société. Une société ou la désobéissance est de mise serait invivable. Chacun fait ce qu’il veut et rien ni personne ne peut alors lui dicter quoi que ce soit.


Si la désobéissance conduit à la destruction d’une société, elle peut très bien aussi conduire à la destruction d’une vie. Une vie ou la désobéissance sera le mot d’ordre n’est pas non plus viable. Imaginez une personne qui n’en a cure de la loi de son pays, des règles dans son travail, du respect dans le couple etc. Qu’allez-vous pensez d’elle ?


Si la désobéissance conduit à la destruction d’une société ou d’une vie, elle peut aussi conduire à la destruction spirituelle.


En Actes 14.2, Luc appellera les juifs qui s’opposent à Paul et Barnabas, des « désobéissant » (« ἀπειθήσαντες »). En les appelants ainsi, Luc est en train de dire que croire en l’Evangile n’est pas une question de choix, mais d’obéissance.  Je ne choisis pas d’être sauvé ou non. Je décide de m’engager à être obéissant ou non. Dieu ne vient pas nous disant « Veux-tu être sauvé ? ». Celui qui ne croit pas en Dieu ne sera pas en enfer parce qu’il n’a pas voulu être sauvé. Mais parce qu’il a décidé de ne pas obéir à Dieu. Dieu vient et nous demande « veux-tu m’obéir ? » et c’est là où ça coince. Car l’obéissance à Dieu sous-entend la désobéissance à la chair. Vous savez, par nature, tout homme veut être sauvé. Et c’est pour cela qu’il y a multitude de sectes à travers le monde. Car elles aussi proposent à l’homme d’être « sauvé ». Mais aucune proposent à l’homme « veux-tu obéir à Dieu ? ».


Qu’est-ce qu’alors l’obéissance ? Dans le même récit (Actes 14.1-7), cette obéissance est incarnée en Paul et Barnabas qui se basent sur Jésus. Être obéissant, s’est avoir pour base la personne de Jésus. Mais qu’est-ce que ça signifie ?


Tout ce que l’on sait à un but pratique. Si ce que l’on sait n’a pas de but pratique, l’être humain fini par l’oublier car ça lui est inutile. Il est vrai que l’on ne peut pas connaître Dieu de manière intellectuelle. Cette connaissance que nous avons de Dieu nous vient de l’Esprit de Dieu. C’est une connaissance spirituelle. Une grâce que nous avons reçue. Car sans l’Esprit de Dieu, on ne peut le connaître. Mais qu’allons-nous faire de cette connaissance ??


Le plus dur dans la vie chrétienne, c’est de transformer les connaissances que nous avons de Jésus en acte dans notre vie. Mais lorsque l’on y parvient, alors on témoigne d’une vie basé sur Jésus qui porte du fruit. Dans Jean 15, il est normal que le sarment qui est en Jésus porte du fruit. C’est là son but ! Si nous notre vie doit être basé sur Jésus c’est afin qu’elle puisse porter du fruit ! Jésus  veut que notre vie porte du fruit ! Et ce qu’il ne veut pas, c’est qu’il en soit autrement.


Quelle est la différence majeure entre la première alliance conclue avec Moïse et la Nouvelle alliance conclue en Jésus-Christ ?? C’est qu’au travers de Jésus, Dieu s’est révélé au monde … Au travers de Jésus, Dieu à mit son amour à nu devant nous. Il nous dit, voilà combien j’aime l’homme.


Mais au travers de Jésus, Dieu nous dit aussi « et voici ce que je veux faire de l’homme », le sel et la lumière du monde (Math 5.13-16). Et parce que je l’aime, tout ce que je lui demande, c’est de se confier en moi et de me laisser agir en lui.


J’aimerai nous encourager à saisir tout ce que l’on sait sur l’amour de Dieu, sa fidélité, sa bonté, sa bienveillance. Et de le mettre en pratique. Ainsi, nous vivrons et nous proclamerons que nous avons un Seigneur tout puissant et merveilleux. Ainsi, le Seigneur pourra rendre témoignage à sa parole de grâce que nous vivons et manifestons.


Au final, avant d’être un affront à sa loi, la désobéissance à Dieu est un manque de confiance en qui est Jésus.


J’aimerai vous demander une chose. Prenez 10 minutes pour écrire sur une feuille qui est Jésus pour vous. Une fois que cela est fait écrivez « et donc qu’est-ce qui doit changer dans ma vie ? ».

 

 

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 07:58


 A quelle occasion vous êtes-vous posé la question « Que faire ?? ». En ce temps de crise économique, nombreuses sont les personnes qui se la posent. « Que faire pour m’en sortir ? ». J’aimerai que nous regardions à l’histoire d’un homme qui s’est aussi posé cette question :


« Le domaine d’un riche propriétaire avait rapporté de façon exceptionnelle. L’homme se mit à réfléchir : « Que faire ? se demandait-il. Je n’ai pas assez de place pour engranger toute ma récolte !  Ah, se dit-il enfin, je sais ce que je vais faire ! Je vais démolir mes greniers pour en construire de plus grands, et j’y entasserai tout mon blé et tous mes autres biens.  Après quoi, je pourrai me dire : Mon ami, te voilà pourvu de biens en réserve pour de nombreuses années. Repose-toi, mange, bois et jouis de la vie ! » (Evangile de Luc chapitre 12 versets 16 à 19.)


Je vous l’accorde, son tracas est tout autre. Lui, ce n’est pas qu’il manque d’argent, bien au contraire. Il ne sait plus quoi faire de tous ces biens…. Il est inquiet et se demande « que faire avec tout cela ? ». Son idée est simple, tout stocker pour, après, jouir de sa richesse. Il est certain que sa situation peut faire des envieux. Peut-être vous êtes-vous dit « Si seulement je pouvais avoir ce genre d’inquiétude ! ». Mais l’histoire ne s’arrête pas là : « Mais Dieu lui dit : « Pauvre fou que tu es ! Cette nuit-même, tu vas mourir. Et tout ce que tu as préparé pour toi, qui va en profiter ? » (Evangile de Luc chapitre 12 versets 20.)


Il y a dans cette histoire un paradoxe intéressant. Cet homme passe tout sa vie à cultiver la terre. Puis, un jour, il devient riche. Son seul désire est d’être à l’abri du besoin et de profiter des richesses. Mais pour pouvoir en profité, vous conviendrez avec moi qu’il y a une condition indispensable, vivre. Or, voici ce que Jésus a dit juste avant cette histoire : « Gardez-vous avec soin du désir de posséder, sous toutes ses formes, car la vie d’un homme, si riche soit-il, ne dépend pas de ses biens. » (Evangile de Luc chapitre 12 versets 15). Certes, il est tentant de vouloir posséder des richesses pour se sentir en sécurité. Mais il est un fait que ces richesses ne peuvent pas nous garantir que demain, nous ne mourons pas.


Alors que faire ? Si la richesse ne me garantit pas la vie, qui ou quoi le peut ?? Jésus a dit : « Le chemin, répondit Jésus, c’est moi, parce que je suis la vérité et la vie. Personne ne va au Père sans passer par moi. » (Evangile de Jean chapitre 14 versets 6). Et il dit aussi « Ne vous faites donc pas de soucis au sujet du manger et du boire, et ne vous tourmentez pas pour cela. » (Evangile de Luc chapitre 12 versets 29.). Voilà le projet de Jésus pour nous. Mais il y a une condition : « Faites donc plutôt du règne de Dieu votre préoccupation première, et ces choses vous seront données en plus. » (Evangile de Luc chapitre 12 versets 31). Si l’on accepte que Jésus soit au centre de notre vie, il s’engage à faire en sorte que nous n’ayons pas à nous inquiéter des choses essentielles de notre vie. Il ne nous promet pas la richesse et l’abondance. Juste de s’occuper de nos besoins.


Que faire alors ? Reconnaissez que seul Jésus peut prendre soin de vous.

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 22:11

 

Aujourd’hui, j’aimerai conduire notre réflexion au travers de la notion de sacrifice. Pourquoi ? Simplement parce que durant tout notre vie, nous réalisons énormément de sacrifices. Et je ne suis pas convaincu que nous sommes toujours conscients d’en faire. Pourquoi faut-il en prendre conscience ? Simplement parce que le sacrifice est le corollaire de notre échelle de valeur.


 

J’aimerai que nous nous posions deux questions :


  • 1.       Dans la vie, qu’est-ce qui compte vraiment pour moi ?
  • 2.       Quels sont les sacrifices que j’accomplis ?

 

 

Je vous l’accorde, ce n’est pas le genre de questions pour lesquelles les réponses viennent du tac au tac. Cela demande une bonne dose de réflexion et de temps. Mais lorsqu’on peut y poser une réponse, alors, on y voit plus clair dans notre vie. Cependant, j’ai été assez attristé de constater, pour moi-même mais aussi pour d’autres, que bien souvent, les deux réponses ne coïncident pas …


En théorie, ce que l’on place au numéro « 1 » de ce qui compte le plus pour nous, ne correspond pas toujours aux sacrifices que nous faisons. Il y a là une discordance dans notre vie. Le fait de ne pas s’en rendre compte peut nous conduire à ressentir un mal être qu’on n’arrive pas toujours à identifier. Il nous manque quelque chose, mais on ne sait pas tout à fait quoi …


La Bible nous parle d’un marchand qui cherchaient de belles perles disant de lui : « Ayant trouvé une perle de grand prix, il est allé vendre tout ce qu’il avait pour l’acheter » (Mt 13.45-46). Cet homme est un marchand, il a donc le sens des affaires. Il ne va pas faire un investissement à perte. Il sait que cette perle-là représente bien plus que ce qu’il a jusqu’à présent. Alors il n’hésite pas une seconde, il vend tout et se la procure. En agissant ainsi, il est cohérent avec lui-même. Ce qui compte le plus pour lui, c’était cette perle. Il a alors sacrifié tout le reste pour avoir cette perle. Pensez-vous que cet homme est malheureux ? Non car il est cohérent et s’est battu pour obtenir ce qui comptait le plus pour lui.


Pourquoi suis-je prêt à sacrifier mes forces ? Mon temps ? Mon argent ? Mes sentiments ? En commençant par la question numéro deux, on pourra faire le point sur là où nous en sommes. En répondant, après, à la question numéro un, on pourra alors constater si, oui ou non, nous sommes cohérent.

 

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 22:11

 

Dans notre précédant billet (Voir le billet : « Vos sacrifices sont-ils cohérents ? »), nous nous sommes interrogés sur la cohérence des sacrifices que nous accomplissons dans notre quotidien. Maintenant, j’aimerai aller plus loin dans la réflexion.

 

 

Reprenons l’exemple de notre marchand : « Ayant trouvé une perle de grand prix, il est allé vendre tout ce qu’il avait pour l’acheter » (Mt 13.45-46). Le marchand a vendu tout ce qu’il avait pour obtenir cette perle. Il a trouvé un acquéreur pour ses biens. Cela signifie donc qu’il avait des biens correspondant à la valeur de cette perle. Au final, ce marchand n’a pas fait l’affaire du siècle. Il a acheté à quelqu’un une perle. C’est comme si je vendais ma maison pour m’acheter la voiture de mes rêves.

 

 

L’emphase qu’il y a dans l’histoire de ce marchand n’est pas dans l’échange standard qu’il fait entre ses biens et l’objet convoité. Mais c’est le potentiel qu’il connait de cet objet. C’est ça qui le motive à tout sacrifier. C’est comme si cette perle lui apportait bien plus tous ses biens. Le sacrifice est énorme et peut sembler insensé. Mais lui sait. Il est convaincu du potentiel dans lequel il a investi tout ce qu’il avait. Il en tirera bénéfice beaucoup plus grand.

 

L’histoire du marchand nous pousse à reconsidérer les éléments de notre vie et à juger si les sacrifices que nous faisons en valent vraiment la peine. Non seulement cette histoire nous conduit à nous interroger sur la cohérence de notre vie. Mais elle nous conduit aussi à réévaluer les investissements que nous y  faisons.

 

L’histoire de ce marchand est racontée par Jésus pour illustré une chose : « le règne des cieux ». En d’autre mot, Jésus dit qu’il n’y a rien de plus désirable au monde que de vivre une vie dans laquelle il y sera au centre. Cela demandera des sacrifices. Mais finalement, n’en valent-ils pas la peine ?

 

Ne donnerais-je pas tout ce que j’ai pour celui qui me dit « Ne t’inquiète pas du lendemain » (Mt 6.34) ? N’est-ce pas là une perle à convoiter ? Que puis-je faire qui peut me garantir que je n’ai pas à craindre le lendemain ? Alors que de grosses fortune on fait faillite du jour au lendemain, que puis-je fournir qui me garantit une telle chose ?

 

Imaginez que quelqu’un vous dise « Donne-moi tes inquiétudes, je m’en occupe pour toi. Ne t’en fais pas, je prendrai soin de toi ; et ce, quel que soit ce qui t’arrive.». Que ne seriez-vous pas prêt à donner pour le vivre ? Et bien Dieu vous en fait le promesse aujourd’hui-même (1Pi 5.7)


Jésus est cette perle pour laquelle, tout sacrifier peut sembler être une folie. Mais lorsqu’on en connait le potentiel. Si nous en payons le prix, alors, nous sommes les véritables gagnants.

 

Vais-je agir comme le marchand de l’histoire ? Où vais-je être comme celui qui a accepté de se défaire de cette perle pour recevoir plus de bien et qui est, vraisemblablement, le véritable perdant de l’histoire ?

 

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 22:02

Un groupe de trois individus, parti en expédition, arrive à un carrefour. Plusieurs choix s’offrent à eux. Cependant, ils n’arrivent pas à se mettre d’accord car les différentes personnalités se rencontrent. Jacques, le plus téméraire, n’a qu’une envie, prendre le chemin qui a l’air le plus dangereux.  Il aime le risque et est convaincu que ce chemin est fait pour lui. Mais Stéphanie n’est pas d’accord. Elle préfère la sécurité et il y a un autre chemin qui, certes, est plus long, mais bien plus certain. Puis, Jérémie se met à râler. Il n’a qu’une envie arriver au plus tôt, et il semble y avoir un raccourci qu’il aimerait bien prendre.


Finalement, après une heure de négociation, le groupe décide de se séparer pour se retrouver au point d’arrivée.


Absurde n’est-ce pas ? Pourquoi tant de chipotage pour, finalement, arriver tous au même point ? C’est vrai que choisir le chemin qui nous convient le mieux est plus agréable. Mais au final, il ne nous conduit pas vers quelque chose de forcément mieux. Tous les chemins mènent au même point.


La vie, c’est un peu pareil. Il y a plusieurs manière de vivre notre vie, mais au final, chaque être humain arriverai au même point : la mort. A quoi ça sert de passer sa vie à bosser comme un malade ? Au final, cela ne va rien changer. On va quand même finir par mourir non ? Est-ce que les sacrifices faits en vaudront vraiment la peine ? A chacun d’en juger.


Cependant, il y a un autre chemin. Un chemin qui ne conduit pas à la mort. Jésus a dit « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. » (Jn 14.6) Et encore « […] celui qui croit en moi a la vie éternelle. » ( Jn 6.47). Ce chemin n’est pas forcément différent des autres en ce qu’il demandera lui aussi de faire des sacrifices. Mais finalement, seul ce chemin conduit à la vie.


Maintenant, vous êtes face à ce carrefour. Quel chemin prendriez-vous ? Quels sacrifices seriez-vous prêt à faire ?  Choisiriez-vous la vie ou la mort ? S’il ne vous restait que quelques temps à vivre, que choisiriez-vous ? Il n’est pas trop tard maintenant pour choisir.

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