En lisant Romains 12 les premières fois, j’y vais vu une listes de recommandations à suivre si on voulait avoir un comportement qui plait à Dieu.
Un peut plus tard, en le relisant dans le contexte des chapitres 9, 10 et 11, je me suis rendu compte qu’il donnait le résultat de ce que devait être une vie selon Dieu. On peut remarquer que les trois chapitres précédents le chapitre 12, parlent de choses plus spirituelles, de la loi, de la grâce, du salut, de l’élection des païens … tandis que le 12 nous parle de choses plus pragmatiques.
J’ai donc décidé d’approfondir le sujet et de voir ce qu’était une vie selon Dieu, dans une vision pragmatique, mais sans en retirer le côté spirituel.
- Chapitre 1 : Notre vie, un culte à Dieu, une consécration.
« Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. » (Romains 12.1)
Il s’agit ici d’un sujet relativement important car consacré sa vie à Dieu, cela signifie que nous lui dédions notre vie. Mais le fait de la faire cela ne nous apporte aucune mérite ce n’est que quelque chose de « raisonnable » nous dit Paul. Il est donc comme une évidence que notre vie doit être dédier à Dieu et lorsque nous le faisons, nous n’avons aucun mérite, ce n’est que ce que nous devons faire.
A partir d’une vie qui lui est dédié, Dieu peut œuvrer au travers d’elle et accomplir des œuvres diverses (évangélisation, miracles, enseignements de la parole …) (2 Timothée 2.21). C’est, une fois notre part accomplie, que nous pourrons prendre part de toutes les bénédictions que Dieu nous réserve.
Les bénédictions ne sont pas la résultante de la réalisation de notre part, mais uniquement de la grâce de Dieu qui décide de nous bénir sous des formes très diverses.
La « première » chose à faire, s’il fallait y mettre un ordre, se serait donc de dédier toute notre vie à Dieu de se dire « Tout pour qu’il règne ». Mais cela comporte tout de même sont lot de choix et de « sacrifices » en se conservant pur.
a) La mort au péché
Mourir au péché est une condition indispensable pour prendre part au royaume de Dieu (Ephésiens 5.5).
Ce que la bible nous dit c’est que nous devons mener une vie sans péché (Romains 6.2 ; Galates 5.24 ; 1 Pierre 2.24) et être irréprochable devant Dieu, ne pas avoir honte de nos actes.
Cependant, il y a une chose que nul chrétien ne peut réfuter : le chrétien né de nouveau pêche … Alors que Jean nous dit clairement que « Quiconque demeure en lui (Jésus) ne pêche pas ; quiconque pêche ne l’a pas vu et ne l’a pas connu » (1 Jean 3.6) nous, nous disons sans cesse « Pardon mon Dieu, j’ai péché contre toi ». Il est donc évident qu’il y a quelque chose qui ne va pas.
Je ne peux me permettre de prétendre que nous devons vivre sans jamais péché et que celui qui pêche n’est alors pas chrétien ; car dans ce cas, je devrais être le premier sur les banc des accusés. Mais pourtant, c’est bien à une vie sans péché que nous sommes appelé. La solution qu’elle donne est une vie enracinée en Christ (Colossiens 2.7 ; Ephésiens 3.17).
Cependant, Paul apporte une certaine précision concernant le texte de Jean « Certes non ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? » (Romains 6.2). C’est donc que la vie qui nous est demandé est une vie loin du péché, ce qui signifie de nous ne devons plus péché par consentement, mais il nous arrivera de péché par « mégarde, ignorance » et pour cela, il y a Jésus-Christ, médiateur pour nous, au près de Dieu (1 Jean 1.9)
Lorsque Paul nous parle de notre statut « mort au péché », il souligne en fait une aberration qu’il a pu constater chez les Romains. Il dit clairement qu’il est impossible, pour quelqu’un qui est mort au péché, de vivre dans le péché, sinon, celui-ci n’aurait finalement pas connu Jésus. En disant cela, il nous donne aussi l’explication « Car celui qui est mort au péché est libre du péché » (Romains 6.7).
La mort au péché, c’est finalement prendre part à la mort de Jésus-Christ et à son affranchissement face au péché. Nous ne sommes donc plus esclave du péché, il n’est donc plus normal que nous continuons à mener une vie de pécher !
Si donc nous sommes participant de la mort de Christ, nous serrons également participant de sa résurrection menant donc une vie loin du péché. C’est donc ici le seul moyen de mourir au péché, c’est prendre part à la mort de Christ.
Si nous vivons encore avec un péché dans noter vie, un vice, même si nous, nous croyons en Dieu, dans ce cas, nous ne le connaissons pas … Car le terme « connaître », lorsqu’il est mentionné en terme de relation avec Dieu, fait mention d’une relation intime avec Dieu et donc, part dans une optique de « Tout pour qu’il règne ».
Dans ce cas, si nous menons une vie qui n’est pas en ordre avec Dieu, avant d’espérer quoi que se soit de sa part, nous devons redevenir disponible pour Dieu et se repentir.
Sans cela, n’espérons pas allez plus loin dans notre relation avec Dieu, car tout les canalisations seront bouchées.
Une vie dédiée pour Dieu doit d’abord passer par la mort au péché ! Et notre part à faire est de s’éloigner de toute impureté, sans cela, il ne faut pas espérer plus.
b) La communion avec la mort de Christ
Le terme grec « koïnônia », qui signifie la communion, désigne ici, dans le sens religieux, la participation aux caractères de l’individus avec qui on communie.
Il s’agit donc ici d’une participation aux caractères de la mort de Christ et donc, d’une mise en pratique d’une vie centrée sur Dieu.
On vient de voir que par la mort en Jésus, nous sommes libéré du péché. Maintenant, part notre communion à cette mort, nous devenons participant de sa vie (Galates 2.20)
« Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus se manifeste aussi dans notre chair mortelle » (2 Corinthiens 4.11) Cette mort consiste donc à notre renoncement à la chair, à ses passions et ses désires. Cette démarche à pour conséquence de manifester la vie de Jésus en nous.
Cette démarche nous demande une capitulation totale et absolue de notre volonté, la mettant à la disposition de Dieu.
Bien souvent, dans ce qui nous est demandé, il n’est finalement question que de « volonté » et non d’efforts à fournir.
La volonté de l’homme est ce qui le rend capable d’agir par lui-même dans tous les domaines de sa vie. Mais la volonté de l’homme sera influencée par ses valeurs, par son attachement à ce à quoi il portera de l’importance. Si l’homme porte de l’importance dans les choses de ce monde, alors sa volonté sera mise en œuvre pour rendre encore plus confortable sa situation dans le monde.
Mais à nous, chrétien, notre préoccupation ne doit être rien d’autre que « Tout pour qu’il règne » et si on fait de cela notre « valeur suprême » dans notre vie, alors notre propre volonté sera soumise à celle de Dieu et nous seront en communion avec lui.
La communion avec la mort de Christ signifie que nous sommes mort aux principes rudimentaires de ce monde et que donc, notre vie en Jésus n’est plus dépendante des règles de ce montre tel que, l’avarice, l’hypocrisie, l’impureté … Et doit tendre à obéir aux recommandations de Dieu, en lui soumettant notre propre volonté.
c) Servir sans poser de questions
L’être humain à par défaut un esprit curieux qui aime se poser beaucoup de question et qui n’hésite pas à remettre certaines choses en question.
Cette caractéristique de l’homme l’a poussé à se soucier un peu plus de ce qui l’entoure et qui influence son espace vital ainsi qu’à savoir le comment du pourquoi de sa vie sur cette terre.
L’homme est prêt à entendre beaucoup de chose, mais ce qu’il n’aime pas entendre c’est qu’on lui dise qu’il n’est finalement pas le seul maître de sa propre vie et c’est portant une notion véritable que nous devons bien comprendre, nous, chrétiens.
Le fait de ne pas admettre cela nous poussera à faire difficilement quelque chose sans savoir tout, le pourquoi, le comment, le quand, où … C’est parfois l’un des principaux obstacles devant lequel Dieu se trouve en parlant à son enfant.
Si le chrétien ne s’efforce de pas à laisser Dieu en premier maître de sa vie, alors Dieu ne pourra rien faire en lui.
Il arrive que parfois, un chrétien ait la réponse sous les yeux, mais ne désire pas l’admettre car elle suscite bien trop de question de sa part.
Lorsque l’on demande à Dieu « Que dois-je faire ? », on n’attend pas que Dieu nous dise « aime moi » mais plutôt « alors ce jour là, tu fera ceci car … Puis ça ».
Mais lorsque l’on est enfant de Dieu, il faut savoir dire « Voilà Père, ma vie est à toi, fais en ce que tu désire » tout en ce gardant bien évidement disponible.
C’est en le mettant à la place de « Père » et donc d’une personne ayant autorité sur notre vie et étant donc en droit de nous dire ce que nous devons faire, sans que nous ayons à remettre cela en question, que nous mènerons une vie avec Dieu.
Car vouloir resté le seul maître de sa propre vie c’est demandé à Dieu de ne pas faire partie de notre vie, ou alors c’est lui donné la place de supporter.
La notion mise en avant ici est donc celle de l’obéissance et il y a plusieurs témoignages rendu, dans l’ancienne alliance ainsi que la nouvelle, de serviteur de Dieu ayant fait preuve d’obéissance : Noé a construit l’arche sans se poser de questions (Genèse 6.22), Elisée quitta sa famille pour suivre Elie sans se poser de questions (1 Rois 19.20), Esaïe répondit à la question de Dieu par « Me voici, envoi-moi » (Esaïe 6.8), Jésus lui-même dit « Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre » (Jean 4.34) et pour finir, Paul dit à Jésus « Seigneur que faut-il que je fasse ? » (Actes 9.6). Il est donc ici questions d’enfant de Dieu obéissant et qui n’ont pas posés de questions à Dieu concernant son appel.
Il n’est pas mauvais de se poser des questions et rien ne nous dit qu’ils ne s’étaient pas poser des questions, mais une chose est sur, ils ne se sont pas laissé arrêté par les questions qu’ils pouvaient éventuellement se poser.
Une question qui peut se poser maintenant c’est « Sommes nous seulement prêt à être appelé ? » pour cela, il faut savoir si nous sommes prêt à être obéissant et soumis à notre Dieu.
L’obéissance à une place prédominante dans la vie du croyant car c’est l’une des premières chose qui doit se manifester après notre conversion. C’est aussi ce qui dirigera notre marche avec Dieu.
Pour s’en rendre compte, il suffit de regarder la vie des personnes citées. Ils furent en tout temps en communion avec Dieu et dans l’obéissance. Cela les a conduit à vivre de grande chose avec Dieu.
Lors de son séjour sur terre, Jésus à parler de l’obéissance en disant d’elle plusieurs choses :
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- Fondement de la personnalité (Matthieu 7.24)
- Condition essentielle pour appartenir à la famille de Dieu (Matthieu 12.50)
- Clé de la connaissance spirituelle (Jean 7.17)
- Garantie de la présence bénie de Dieu (Jean 14.23, 1 Jean 2.17)
Chacun de ceux-ci se retrouvent dans la vie des personnes citées plus haut. On peut donc en conclure qu’ils nous appartiennent aussi, si nous demeurons dans l’obéissance à Dieu.
C’est donc dans chacun des domaines de notre vie que nous devons demeurer dans l’obéissance et laisser à Dieu un droit de regard et d’actions sur eux. Car il nous demande d’abord d’être fidèle dans les petites choses.
Bien que parfois nous ne comprenions pas le pourquoi, nous nous devons de resté obéissant, car Dieu lui, sait ! Et cela devrait être suffisant pour nous aider à décider. Le combat sera difficile et se sera un combat de chaque instant contre notre chair, mais si nous restons obéissant, Dieu ne restera pas avare de bénédictions et d’amour !!
d) La résignation dans l’épreuve
L’épreuve nous est annoncé comme faisant partie de la vie de tout chrétien (Jean 15.18-19 ; 1 Jean 3.13) et fait figure d’étape prédominante dans sa vie.
Par elle, on peut se rapprocher de Dieu ou s’éloigner de Dieu, tout dépendra de l’attitude que l’on adoptera dans chacune des épreuves de notre vie.
Il est maintenant question de « résignation » ; qui est une tendance à subir « sans réagir ». Ce terme est utilisé par le dictionnaire pour faire référence à une action appuyée sur nos propres forces. En ce sens là, ce n’est pas du tout ce qui nous est demandé en terme de résignation. Il n’est pas question de tomber dans la fatalisme et subir simplement, mais on doit se rapprocher de Dieu et en cela, il nous donnera alors la force de continuer et d’affronter l’épreuve afin d’y trouver la sortie que Dieu a d’avance préparée.
Pour affronter une épreuve, il faut en connaître sa provenance et il y en a plusieurs :
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- De Satan
Il y a tout autour de nous des personnes sous l’influence de l’ennemi, des personnes dans lesquelles il à un pouvoir absolu. Cela fait d’eux des armes puissantes pour nous ébranler.
Face à cela, bien souvent, on a tendance à se plaindre de la personne voir parfois même à la haïr car elle est odieuse avec nous. Et on en viendra à lutter contre la chair et non contre l’esprit mauvais.
Dans ce genre de situation, nous devons prendre conscience que la personne devant nous est également une victime manipulée et Jésus nous demande d’avoir pour eux de la compassion en nous disant de ne pas haïr nos ennemis.
Nous devons réagir de façon à être irréprochable, et laissé agir la personne en la portant dans nos prière demandant à Dieu de lui faire grâce. Et en cela, nous combattrons et triompherons de l’esprit mauvais car la personne pourrait même être bénie au travers de notre attitude ! Cette attitude nous conduira à nous rapprocher de Dieu encore plus !
Mais si nous nous acharnons à haïr la personne, à se venger, à médire … Alors nous adopterons une bien mauvaise attitude qui, non seulement nous éloignera de Dieu, mais nous enfoncera toujours plus dans le piège de l’ennemi.
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- De Dieu
Oui Dieu éprouve, il ne tente pas, mais il éprouve son enfant. En cela, il espère que son enfant grandisse et s’affermisse encore plus en lui « Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l'affliction produit la persévérance, la persévérance la victoire dans l'épreuve, et cette victoire l'espérance. Or, l'espérance ne trompe point, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint Esprit qui nous a été donné. » (Romains 5.3-5).
C’est le genre de souffrance qui nous purifie et qui nous pousse à rechercher en nous ce qui n’est pas à la gloire de Dieu.
Dieu profitera d’un problème dans notre vie, d’une chose qu’il ne cautionne pas pour nous mettre face à nous même et nous éduquer. Il permettra à cette chose d’avoir des effets néfaste sur nous (effets limités car il n’admettra pas que nous souffrions inutilement) afin de nous rendre compte réellement de ce qui ne lui plait pas, que nous nous en repentions et que nous en sortons purifier, fortifier et enraciné encore plus en lui.
Mais parfois, les épreuves de Dieu s’est aussi de nous donner des responsabilité en plus, d’accomplir des œuvres pour lui, tout cela afin de mettre en action ce que nous lui demandons d’avoir.
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- De nous même
Et oui, parfois il n’y a pas pire ennemi pour l’homme que lui-même … Si on s’entête à ne vouloir en faire qu’à notre tête, alors il ne faudra pas s’étonner de nous voir en difficulté …
Il n’y a pas pire vie pour celui qui veut croire en Dieu qu’une vie ou Dieu n’est pas présent … Car si la personne désirant croire en Dieu ne le met pas en première place, mais plutôt le monde ou certaines valeurs ou occupations du monde, alors il sera déchirer entre sa conscience et ses actes … Et ce ne sera ni la faute de l’ennemi, ne celle de Dieu, mais de lui et de lui seul.
L’ennemi influencera, certes, mais le choix reste et restera toujours entre nos mains.
Lorsqu’un enfant se noie dans une piscine, le réflexe est qu’il se débat de toutes ses forces pour essayer de survivre, mais lorsque le maître nageur plonge pour le secourir, si l’enfant continue à se débattre, il lui rend la tâche du maître nageur bien plus complexe et plus longue.
Cette image illustre bien comment nous devons nous comporter dans nos moments de difficultés. On doit cesser de nous agiter pour pouvoir nous jeter dans les bras de notre sauveur ; c’est ce qui nous ait demandé et c’est le témoignage que nous rend également Jésus (Marc 14.36 ; Jean 18.11).
Si nous adoptons cette bonne attitude, alors nous recevrons les bénédictions relatives à notre épreuve car Dieu les fera toujours concourir à notre bien (Romains 8.28). Cette attitude consiste à garder notre regard sur Jésus et fais appel à notre foi.
Mais si on adopte la mauvaise attitude, alors il se peut que le temps de notre épreuve soit rallongé et que nous passions à côtés des bénédictions. Il s’agit ici de fixer notre regard sur l’épreuve ce qui réveillera certaines craintes inutiles. « Heureux l’homme qui place en l’Eternel sa confiance » (Psaumes 40.5)
Il est donc bon, dans notre épreuve, de savoir laisser Dieu agir à notre place, non pas à resté sans rien faire mais bien en nous rendant disponible, en ayant le cœur ouvert pour lui et cela s’acquière au sein de notre intimité avec lui.
Dieu nous demande de nous adresser à lui ainsi que de nous confier à lui et c’est lorsque l’on entre dans cette intimité que l’on ressent la présence de Dieu à nos côté, car quand un enfant appel son Père, il répond toujours présent !
Prendre du temps avec Dieu, à dit un frère, c’est le mettre au centre de notre vie, c’est lui donné de l’importance.
C’est en effet en donnant du temps à Dieu qu’il pourra se révéler à nous dans notre vie et au travers de l’épreuve.
e) La soumission à la volonté divine
La soumission à Dieu est quelque chose de terriblement important dans la vie du chrétien, car un chrétien non soumit à Dieu rencontrera plus de difficulté pour s’épanouir et au final, ne connaîtra pas Dieu. Cette soumission doit être une règle quotidienne de notre vie (Jacques 4.15).
Dans la soumission à Dieu, David y trouvait son plaisir car il aimait obéir à Dieu et accomplir sa volonté (Psaumes143.10). Se soumettre à la volonté de Dieu c’est aussi prendre pleinement part à sa propre nature divine, à savoir que nous sommes enfant de Dieu (Matthieu 12.50)
Notre soumission à Dieu est la porte qui nous ouvre une dimension profonde dans notre relation avec Lui.
Se consacrer à Dieu nous demande donc d’impliquer tout ce que nous sommes, tout ce que nous avons pour lui. « Je vous exhorte donc frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable » (Romains 12.1)