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7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 09:34



« Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu » (2 Pierre 1.3)

 

Je pense que nous sommes beaucoup à nous questionner sur le « Comment mener sa vie à bien, pour qu’elle plaise à Dieu ? ». Il y a déjà beaucoup de livres qui parlent de cela, mais ce que je voudrais ici, c’est seulement souligner ce que Pierre nous dit à savoir que tout nous a été donné pour vivre une vie qui plaît à Dieu.

 

En tant que chrétiens, nous avons deux vies à mener, une spirituelle (la piété) et une « normale » (la vie), mais il ne faut en rien dissocier l’une de l’autre.

Le rôle de la vie spirituelle serait de nous rapprocher de Dieu, de nous plonger dans son intimité, c’est une vie d’intimité avec Dieu et de communion avec nos frères et sœurs. Elle consiste à nous nourrir de toute parole venant de la bouche de l’Éternel (Deutéronome 8.3 & Esaïe 55.3) et doit également être assurée par notre foi en Jésus-Christ (Jean 5.24). Pour cela, nous devons passer par la mort à soi même et au péché (2 Corinthiens 4.11 ; 5.15 & Galates 2.20).

La vie spirituelle c’est aussi une vie où Jésus-Christ en sera le centre et dont sa gloire sera notre but suprême (Philippiens 1.21 ; 1 Pierre 4.6). Tout cela ayant pour but de nous amener à être des témoins d’amour (1 Jean 3.14). On peut donc constater que quoi que l’on regarde dans cette vie spirituelle, Dieu doit toujours y être omniprésent.

Elle sera donc le tronc de notre vie qui, s’il est vigoureux et puissant encré dans la bonne terre, nous donnera de belles branches et nous permettra de porter de bons fruits bien copieux.

La vie spirituelle est donc la base de notre vie, c’est celle qui déterminera si le reste sera stable ou pas ; car une vie spirituelle bancale ne pourra porter une vie « normale » stable.

 

La vie « normale » quant à elle n’est rien d’autre que notre vie de tous les jours ; à savoir l’école, le travail, les petits soucis quotidiens, …

On peut constater que si notre relation avec Dieu est bonne, cela aura des répercussions positives dans notre vie ; tout d’abord sur un plan moral et puis peut-être sur un plan matériel (ce dernier point ne doit pas être une doctrine, c’est du cas par cas qui ne dépend que de la volonté de Dieu)

Une chose est certaine, lorsque notre relation avec Dieu est profonde, quelle que soit la tempête, qui soufflera sur notre vie, les racines qui nous tiennent liés à lui ne céderont jamais. Ces racines, il en existe quelques-unes dont la bible nous parle et Pierre en entame une dans le verset qui suit.

 

Pierre, dans le verset 4, met l’accent sur les promesses de Dieu nous disant que « Par elles (la vie et la piété) les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données (…) » et que cela nous donne la possibilité de devenir participant de Christ.

Le but de ces promesses est de tisser un lien entre nous et Dieu qui, lorsque la tempête soufflera nous donnera la possibilité de nous accrocher à elle pour solliciter la puissance de Dieu dans notre vie.

Il ne faut jamais oublier que les promesses de Dieu nous sont un dû et que donc, il ne faut surtout pas hésiter à les cités dans nos prières. Mais nous allons également voir que les promesses sont nombreuses et que les situations qu’elles touchent sont également très vastes.

La connaissance de ces promesses est importante, voire même capitale, pour le chrétien, car elles seront la clef qui débloquera bien nombre de situations douloureuses pour l’enfant de Dieu.

 

Voyons d’abord quelques caractéristiques de ces promesses :

 

1)       Elles s’accomplissent toujours

 

C’est peut-être l’une des caractéristiques les plus remises en question par nous-mêmes, car nous nous laissons aveugler par Satan lorsque nous sommes affaiblis par l’épreuve (2 Corinthiens 4.4).

Pourtant, je peux vous le garantir, car la bible le proclame, les promesses de Dieu s’accomplissent toujours !

« Bénit soit l’Éternel, qui à donné du repos à son peuple d’Israël, selon tout ce qu’il avait dit ! De toutes les paroles favorables qu’il avait dites par l’intermédiaire de son serviteur Moïse, aucune parole n’est restée sans effet » (1 Rois 8.56)

Ne pensons donc pas que Dieu nous abandonne ou qu’il traîne à nous secourir, mais saisissons ses promesses et gardons notre espérance en lui. Ouvrons la porte à ces promesses.

 

 

2)       Elles sont garanties par le pouvoir de Dieu

 

Paul nous dit « (…) pleinement convaincus de ceci : ce que Dieu a promis, il a aussi la puissance de l’accomplir » (Romains 4.21) nous devons donc avoir cette confiance que non seulement les promesses de Dieu s’accompliront, mais également celles qui nous semblent les plus improbables !

Quelle que soit notre situation, Dieu nous promet de nous en sortir si nous gardons en lui l’espoir. Et cet espoir cette aussi une foi ferme en ses promesses et en la puissance de Dieu qui est, ne l’oublions pas, le Dieu de l’impossible.

 

3)       Elles sont fondées en Christ

 

« Toutes les promesses de Dieu sont ce oui en lui. C’est donc aussi par lui que nous disons à Dieu l’amen pour sa gloire » (2 Corinthiens 1.20)

Par Christ, Dieu à accomplie toutes ses promesses et nous donne donc accès à la paix, la joie, l’amour, bonté, le salut, la sanctification, la communion, l’espérance, la glorification et le ciel. Tous cela a été accompli en Jésus Christ (Luc 24.44).

Si nous même nous nous fondons en Christ, nous aurons donc pour nourriture à notre foi, les promesses de Dieu (Colossiens 2.7).

 

4)       Elles ont une valeur infinie

 

« Par elles les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participant de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise. » (2 Pierre 1.4)

Je trouve ce passage très poignant, car il démontre bien que tout nous est offert et que nous avons un soutien non pas limité de la part de Dieu, mais bien illimité au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer.

 

5)       Elles culminent dans la vie éternelle

 

« Et voici la promesse qu’il nous a faite : la vie éternelle. » (1 Jean 2.25)

 

 

Toutes ces promesses ont des objectifs bien précis, des personnes à secourir.

Voici donc une petite liste des personnes visées par les promesses de Dieu et les promesses qui les concernent :

 

A)      Promesses aux affligées

 

1)       Des jours plus beaux : (Psaumes 30.6)

2)       La libération : (Psaumes 34.20)

3)       La Sollicitude divine dans la maladie : (Psaumes 41.4 ; voir aussi Psaumes 50.15 ; 94.12 ; 138.7)

4)       Le Réconfort de la présence divine : (Esaïe 43.2)

5)       Une demeure éternelle : (Jean 14.1-2)

6)       Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu : (Romains 8.28 & 2 Corinthiens 4.17)

7)       La grâce de Dieu suffit au croyant : (2 Corinthiens 12.9)

8)       La communion avec les souffrances de Christ : (1 Pierre 4.12-13)

9)       La délivrance finale de la souffrance et de la douleur : (Apocalypse 21.4)

 

B)      Promesses aux croyants

 

1)       La nourriture pour le corps (Psaumes 37.3)

2)       Les bénédictions sont sans limites : (Marc 9.23)

3)       L’exaucement de la prière : (Marc 11.24)

4)       La disparition des obstacles : (Luc 17.6)

5)       L’adoption divine : (Jean 1.12)

6)       La vie éternelle : (Jean 3.14-15 & Jean 5.24)

7)       La plénitude spirituelle : (Jean 6.35 & Jean 11.26)

8)       La lumière spirituelle : (Jean 12.46)

9)       La puissance pour le service : (Jean 14.12)

10)   Le salut : (Romains 1.16 & 1 Pierre 2.6)

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Fabien - dans Etudes par livre
7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 09:32

Tous les principes cités par Pierre doivent donc être encrés sur notre foi et si cela n’est pas, nous devons le demander à Christ afin que, si nous demeurions en lui, ces choses nous soient accordées (Jean 15.7).

Mais ne vous leurrer, pas, si vous demander d’avoir plus d’amour pour votre prochain attendez-vous à être éprouvé en se sens et à devoir témoigner de cet amour. Car comme le mentionne Pierre au début « Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété ». C’est donc que ce que nous demandons, nous l’avons déjà reçu (Marc 11.24) et que Dieu nous donnera des situations qui nous pousseront à nous servir de ce qu’il nous a gracieusement offert.

 

Continuant sa lettre, Pierre dit au verset 8 « En effet, si ces choses existent en vous et s’y multiplient, elles ne vous laisseront pas sans activité ni sans fruit pour la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ ».

Je pense que ce verset peut répondre à l’ennui de pas mal de chrétiens se disant que leur vie chrétienne est morose ou banale.

Il y a une promesse ici qui est fait et qui dit qu’a tout chrétien ayant en lui les principes enseignés par Pierre, ils ne resteront pas sans activité ni sans fruit ; pour autant qu’avant, il y ait en eux ce qu’il leur permettra d’accomplir les œuvres réservées par Dieu.

Un colonel n’enverra jamais son bataillon à la guerre si celui-ci n’est pas équipé en suffisance. De même, Dieu n’enverra pas son enfant si celui-ci est encore bien trop fragile et n’a pas encore acquis tout ce qu’il devait pour accomplir des choses plus grandes.

3 ans furent la durée d’apprentissage des premiers disciples de Christ avant de pouvoir faire les œuvres qu’ils devaient accomplir.

Cette durée est définie par Dieu et est respectée si nous restons dans l’obéissance et la soumission. Mais elle peut être allongée si nous nous éloignons de Dieu et n’en faisons qu’à notre tête. Pierre entame donc ici deux notions, celle des fruits spirituels et de la productivité.

Il faut savoir que nous produisons du fruit à chaque période de notre vie (Psaumes 92.14-15). Un chrétien qui porte du fruit ne verra pas ses ressources s’épuiser et portera toujours du fruit qu’on le voie ou non. (Ezéchiel 47.12).

La parabole du semeur nous indique que le fruit spirituel ne pousse que dans la bonne terre (Matthieu 13.5) et qu’avant de vouloir ensemencer il est peut être préférable de savoir à quelle sorte de sol nous avons à faire afin de ne pas jeter nos perles aux pourceaux (Matthieu 7.8). Il y a des gens qui ne veulent pas de Dieu, pour eux, il ne sert à rien que nous insistions des heures, parfois accepter le refus de l’autre peut être porteur de paix.

Il est vrai qu’un arbre ne porte qu’une sorte de fruit, mais il peut exister plusieurs variétés pour un même fruit (Galates 5.22). La comparaison à un corps pour déterminer l’ensemble des chrétiens n’est pas anodine. Elle démontre bien que chacun à une utilité propre, une variété propre de fruit et que c’est en harmonie que nous devons œuvrer et non en compétition.

Dans le verset cité par Pierre on à pu voir les conditions pour porter du fruit, mais celles-ci dépendent également d’autre chose « Il est comme un arbre planté près d’un cours d’eau, qui donne son fruit en son temps, et dont le feuillage ne se flétrit pas : tout ce qu’il fait réussi ».

Ce psaume de David (1.3) nous montre que pour porter du fruit, nous devons rester en contact avec l’eau vive, car un arbre qui à soif est un arbre qui sera beaucoup plus fragile face aux maladies de ce monde. Mais Jésus lui nous garantit (encore une promesse) de nous donner à boire si nous demeurons près de lui (Jean 4.14).

Il y a donc un temps d’enseignement, de construction du chrétien avant d’aller accomplir les œuvres de Dieu. Cependant, nous devons faire attention à une chose, si Dieu nous appelle maintenant, que nous nous croyions prêt ou pas, nous devons y aller ; car si Dieu nous appelle, c’est que pour lui, nous sommes prêts « L'Éternel se tourna vers lui, et dit : Va avec cette force que tu as, et délivre Israël de la main de Madian ; n'est-ce pas moi qui t'envoie ? » (Juges 6.14).

Ne croyez pas que Gédéon  se sentait prêt pour une telle œuvre, que du contraire, il se posait beaucoup de questions et était loin de se sentir capable d’accomplir cela. Voici ce qu’il répondit à Dieu après avoir reçu cette instruction « Ah ! Mon seigneur, avec quoi délivrerai-je Israël ? Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé, et je suis le plus petit dans la maison de mon père. » N’avons-nous pas déjà une chose semblable alors que Dieu nous appelait à le servir ?

Le plus important n’est pas de se sentir capable, c’est d’avoir confiance en Dieu, de croire que s’il nous appel ce n’est pas pour rien. Voici la réponse de Dieu « Mais je serai avec toi ».

Lorsque Dieu nous envoie, il ne nous laisse pas seul, il nous accompagne et marche avec nous.

Parfois, ce sont nos questions qui nous bloquent et comme l’a dit mon pasteur « On a le droit de se poser des questions, mais pas de se laisser bloquer par elles » (P.Hubinon)

donc oui, Dieu nous promet de ne pas nous laisser sans activité et c’est donc par la foi que nous devons continuer, car le juste vivra par la foi (Habacuc 2.4)

 

Dans le verset 8, Pierre nous explique donc ce qui attend un frère ou une sœurs qui vit les principes, que je qualifierai de « bonne conduite ».

Mais dans son verset suivant il explique tout aussi clairement ce qui se passe pour ceux qui ne les ont pas disant « Il est aveugle, il a les yeux fermés, il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés ».

Pierre ne fait qu’appliquer ce que Jésus dit avant lui, car on a vu que tout cela se trouve en Lui, or, Jésus dit que celui qui demeure en lui comme lui demeure en nous portera beaucoup de fruit, mais que celui qui ne demeure pas en lui, au contraire, sera sec, ne produira rien (Jean 15.1-7).

Lorsque l’on s’éloigne de Jésus, il y a très rapidement des répercussions dans notre vie (qui peuvent être des signaux d’alerte). Un des premiers signes sera le manque d’amour, de patience, de compassion. On sera plus aigri. Lorsqu en nous commençons à devenir ainsi, les principes ne demeurent plus en nous, car nous ne demeurons plus en Christ, mais que nous nous sommes éloignés de ce milieu saint pour un milieu plus corruptible, le monde.

Loin de Jésus, nous sommes loin de tout, notre spiritualité en souffrira énormément et finira par devenir sèche, inexistante.

 

A cela, Pierre donne encore une alternative, celle d’ « affermir votre vocation et votre élection ; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais ».

En parlant d’affermir, Pierre désire nous faire comprendre l’importance de rendre sûre notre pensée concernant l’appel que nous avons reçus de l’Éternel. Il désire que nous soyons profondément enracinés en Dieu ne doutant pas de lui quelque soit ce que nous vivrons.

Pour cela, il nous a donné les moyens nous parlant de promesses et des principes à mettre en vigueur dans notre vie.

Nous ne devons donc jamais douter de l’utilité de notre vie, de nos œuvres ni même du secours de Dieu.

Un tel comportement à une récompense ultime « C’est ainsi que vous sera largement accordée l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ » (2 Pierre 1.11)

 

J’aimerai vous laisser avec une dernière promesse : « Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Romains 8.31) et je paraphraserai en disant : « Si nous craignons Dieu, nous n’avons rien d’autre à craindre »

 

Dieu vous bénisse richement,

 

Fabien.

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Fabien - dans Etudes par livre
7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 09:32

C)      Promesses aux humbles

 

1)       Le regard bienveillant de Dieu (Esaïe 66.2)

2)       Toute sa grâce : (Jacques 4.6 & 1 Pierre 5.5)

 

D)      Promesses aux généreux

 

1)       Nourriture en suffisance : (Psaumes 3.9-10)

2)       Le secoure : (Esaïe 58.10)

3)       L’amour de Dieu : (2 Corinthiens 9.7)

 

E)      Promesses à ceux qui obéissent

 

1)       Sa miséricorde : (Exode 20.6)

2)       Son soutien : (Exode 23.22)

3)       La joie : (Deutéronome 4.40 & Luc 11.28)

4)       La bénédiction : (Deutéronome 11.27)

5)       La stabilité dans notre vie : (1 Rois 11.38)

6)       Une bonne situation : (Esaïe 1.19)

7)       Participant de Jésus-Christ : (Marc 3.35)

8)       La connaissance : (Jean 7.17)

9)       La communion avec Dieu : (Jean 14.23)

 

F)      Promesses à ceux qui se repentent

 

1)       Le soutien et la miséricorde : (Psaumes 34.19)

2)       La guérisons : (Jérémie 3.22)

3)       L’amour de Dieu : (Joël 2.13)

4)       Dieu n’est pas rancunier : (Michée 7.18)

5)       La joie dans le ciel : (Luc 15.7)

6)       Le don de l’Esprit-Saint : (Actes 2.38)

7)       Les péchés sont effacés : (Actes 3.19)

 

G)      Promesses aux pauvres

 

1)       La protection divine : (Psaumes 12.6 ; 14.6 ; 69.34 ; 109.31 ; 140.13 ; Esaïe 11.4)

2)       La providence protectrice : (Esaïe 25.4)

3)       Une réponse à la prière : (Esaïe 41.17)

4)       Une héritage céleste : (Jacques 2.5)

 

H)      Promesses à ceux qui cherchent Dieu

 

1)       Trouver : (Deutéronome 4.29 ; Proverbes 8.17 ; Luc 11.9)

2)       L’écoute, le pardon et la guérison : (2 Chronique 7.14)

3)       La justice : (Luc 18.7)

4)       Exaucement de nos prières par le nom de Jésus : (Jean 14.14)

 

I)     Promesses à ceux qui sont tentés

 

1)       Le pourvoir de marcher sur les puissances mauvaises : (Luc 10.19)

2)       La certitude que Christ intercède pour nous : (Luc 22.31-32)

3)       L’écrasement de Satan : (Romains 16.20)

4)       La possibilité de sortir de la tentation : (1 Corinthiens 10.13)

5)       Un secoure à l’heure de l’épreuve : (Hébreux 2.18)

6)       La victoire finale : (Jacques 4.7 & Apocalypse 3.10)

7)       Régner avec Christ : (Apocalypse 3.21)

 

J)      Promesses particulières aux ouvriers de Dieu

 

1)       La gloire : (Daniel 12.3)

2)       Des récompenses : (Marc 9.41 ;  1 Corinthiens  3.14 ; 15.58 ; Hébreux 6.10)

3)       La paix : (Romains 2.10)

4)       La joie : (Jacques 1.25)

 

Lorsque Pierre mentionne les promesses, c’est afin de nous dire qu’elles nous permettront de devenir participants de Christ « (…) afin que par elles, vous deveniez participants de la nature divine (…) ». Lorsque nous voyons les personnes que visent ces promesses, nous pouvons constater que pour la plupart, il s’agit d’étapes par lesquelles beaucoup de chrétiens (pour ne pas dire tous) fini par passer un jour.

Lorsque l’on approfondit un peu le sujet sur la « tempête » dans la bible on peut constater qu’elle a pour but de nous décrasser, de nous purifier. Et ce n’est pas sans rien que Pierre précise juste après « (…) en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise ».

Seul un juste peut proclamer les promesses de l’Éternel ; un juste, non par ses œuvres, mais par l’engagement de son cœur en la foi en Jésus-Christ.

Dieu ne s’attend pas à ce que tous ces enfants vivent sans pécher (ce n’est pas pour autant que c’est ce qu’il souhaite) mais à ce que lorsqu’il pèche, ils se repentent et adopte une attitude d’humilité face à leur Roi. Et en cela, ils seront vus comme juste, justifié par le sang purificateur de Jésus-Christ.

Ces promesses sont, comme le dit Pierre « les plus précieuses et les plus grandes ».

 

Dans le verset qui suit, Pierre continue sur sa vision d’une vie pure et agréable à Dieu nous enseignant les principes fondamentaux que nous devons adopter en tant que chrétien : « (…) à cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance, à la connaissance la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi la persévérance, à la persévérance la piété, à la piété la fraternité, à la fraternité l’amour. ».

La première fois que j’ai lu ce passage attentivement, je me suis demandé ce que visait Pierre en disant « à cause de cela même » et j’ai longtemps cru qu’il parlait de la corruption du monde par la convoitise. Mais lorsque l’on regarde l’ensemble, on voit qu’avant, Pierre nous parle d’une vie participante à Christ et que les principes qu’ils nous enseignent nous poussent à vivre de façon à honorer notre engagement à Christ. En disant cela, Pierre visait en faîtes les promesses qui nous rendent participant de Christ.

Cela nous montre donc que nous ne devons pas faire ces efforts pour fuir la corruption du monde, mais parce que nous sommes participant de Christ. L’avantage de ce raisonnement est de nous garder les yeux fixés sur notre Seigneur et non sur le monde, espérant ainsi en Christ et non en nos efforts pour fuir le monde.

Concernant les principes cités par Pierre, je ne sais pas si elles ont un lien précis l’un envers l’autre. Mais l’image que me donne Pierre en s’exprimant ainsi est celle d’un tronc (la foi) à laquelle on vient fixer des branches qui feront notre personnalité chrétienne.

 

La foi doit d’abord être vécue de façon intime entre nous et Dieu. Elle se manifestera par notre obéissance à Dieu ainsi que notre totale soumission. Nos premiers pas dans la vie chrétienne mettront très vite notre foi à rude épreuve et si nous n’appliquons pas à elle une obéissance sincère à Dieu et une soumission totale, alors nous ne parviendrons pas à aller bien loin dans la vie chrétienne.

Mais lorsqu’elle est vécue de la bonne façon, elle commence très vite à nous offrir une intimité profonde avec notre Seigneur nous offrant quelques dons à mettre en œuvre ainsi que des charges à accomplir.

Notre foi, une fois posée en bon fondement de notre vie chrétienne, se verra attribuer d’autres qualités telles, notamment, celles citées par Pierre.

Tout comme la foi, chacune de ces qualités se verra être mise à rude épreuve et il n’est pas impossible de devoir témoigner d’amour envers un frère pour lequel notre cœur est rempli de rancœur  ou d’amertume. Mais très vite, notre Seigneur nous montrera comment passer outre cet état d’amertume en nous enseignant le pardon que nous devons avoir et en remplissant nos esprits de connaissances.

Le but de ces connaissances n’est pas d’en faire étalage auprès de nos frères et sœurs et s’en venté. Voilà, entre autres, pourquoi Pierre allié à la connaissance la maîtrise de soi.

La connaissance servira de point d’appuis à notre vie chrétienne qui, mise à rude épreuve, pourra aller chercher dans la connaissance, les promesses nécessaires ou se rappeler de principes oubliés.

Mais bien vite, si la persévérance ne vient pas booster un peu tout ça, nous aurons tendance à nous laisser abattre par les coups incessants de l’ennemi. C’est pourquoi, la persévérance nous fera toujours regarder à Jésus-Christ notre Seigneur qui à triomphé des dominations mauvaises et non pas à ce qui nous accable. Sont but sera de nous garder la tête hors de l’eau afin de ne pas se laisser noyer par Satan.

La piété sera ce qui devra être le mot d’ordre de notre vie et permettra de garder nos racines en Christ et de ne se laisser infecté par rien. Elle poussera notre vie à sans cesse nous rapprocher de Dieu par une hygiène correcte consistant à lire la parole, à la méditer et à se l’approprier. Mais également à nous confier par la prière et à nous soulager par la louange et l’adoration.

Nous savons également que nous avons de par notre adoption au corps de Christ, des frères et sœurs et nous devons les aimer tout comme il l’est mentionné, dis : « Si quelqu'un dit : J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur ; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas ? » (1 Jean 4.20).

Enfin, le but de toute chose est de nous amener à vivre pleinement la charité qui est le plus grand témoignage que l’on peut rendre et qui fut celui de Jésus-Christ également lorsqu’il était sur cette terre (Colossiens 3.14).

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Fabien - dans Etudes par livre
25 juin 2007 1 25 /06 /juin /2007 22:02

Colossiens 2.6 : « Ainsi, comme vous avez reçu le Christ-Jésus, le Seigneur, marchez en lui (…) »

 

Beaucoup de chrétiens, et moi en premier, pensent qu’une fois convertis le plus gros est fait.

Or, nous voyons ici que nous sommes invité à marcher en Jésus ce qui laisse penser à une étape supplémentaire à la conversion.

Ce n’est pas une étape supplémentaire en faite, c’est simplement que nous montons une marche sur l’escalier qui nous conduit à Dieu. (Si je peux expliquer cela de la sorte).

 

« Marchez en lui » a vraiment une signification puissante.

Lorsque j’ai lu cela pour la première fois, j’ai de suite repensé à l’image que mon pasteur nous avait donné un dimanche matin ; celle d’un sous-marin.

 

En effet, Paul nous parle de marcher en Jésus et non pas prêt de Jésus comme certains chrétiens se plaisent à prêcher.

La différence est énorme !

 

Lorsqu’un sous-marin est dans les profondeur de la mer, il devient intouchable pour ceux qui voudrait l’attaquer d’en haut.

Tout comme si le chrétien demeure en Jésus, alors il est devient intouchable en ce qui concerne Satan et ses attaques.

 

Jean nous décrit cela aussi d’une façon plus explicite, lisons,

 

1Jean 1:7
« Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. »

 

Alors que Paul nous parle de « marchez en lui », Jean nous dit que nous devons marcher dans la lumière comme Jésus est lui-même dans la lumière.

 

Entre ces que ces deux apôtres nous disent, il y a une légère différence.

L’un (Paul) nous parle de marcher en Jésus et l’autre (Jean) nous parle de marcher là ou Jésus marche.

On pourrait donc voir ce que nous dit Jean comme une invitation à marcher prêt de Jésus et non pas en Lui comme nous le dit Paul.

 

Mais s’est oublier ce que nous dit Jean dans l’évangile qu’il nous a écrit, à savoir « Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean. Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous croient par lui. Il n'était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière. » (Jean 1.6-8)

 

C’est donc que Christ est cette lumière dans laquelle Jean nous invite à marcher.

 

Là où la complémentarité des deux versets devient intéressante, c’est que si nous marchons en Jésus, nous demeurons parfait, saint, sans péché, car nous sommes purifier par son sang.

 

Et pour reprendre la comparaison avec le sous-marin, si nous restons dans le sang de Jésus, bien en profondeur, nous demeurons donc saint, parfait, sans pécher !!

Je pense qu’il y a vraiment une importance à souligner cela, car beaucoup de chrétien à leur actuelle pensent que nous ne seront jamais vivre sans pécher sur cette terre et que la perfection nous attend dans le ciel.

 

Or c’est un autre évangile qui nous est prêché lorsque l’on entend cela.

C’est oublier ce que nous dit Jean et Paul, lorsque l’un dit que « Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, car la semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pas pécher, parce qu'il est né de Dieu » (1 Jean 3:9) et l’autre dit « Frères, ne soyez pas des enfants sous le rapport du jugement ; mais pour la malice, soyez enfants, et, à l'égard du jugement, soyez des hommes faits. » (1 Corinthiens 14:20)

 

Lorsque Paul parle ‘d’homme fait’, il parle d’homme parfait.

 

Un frère à dit « La nature de la semence détermine la nature de la vie qui en sort »
La bible ne nous parle t-elle pas d'une semence incorruptible qui se trouve en nous, enfant de Dieu ? (Jean 5.18)

 

C’est donc en marchant en Christ et uniquement par cela que nous pourrons obtenir un tel résultat !

Mais, cela n’est pas dû à nos actes, mais uniquement à Sa grâce (comme indiqué dans le titre).

 

La question qui serait bonne à se poser serait de savoir « comment faire pour marcher en Christ ? »

Cela dépend uniquement de la grâce de Dieu, tout comme ce qui concerne la libération d’un péché ou d’un vice, cela ne s’opère que par la grâce de Dieu et non pas par les préceptes humains, nous le verrons plus loin dans l’étude.

 

Si nous lisons la suite du chapitre deux de l’épître de Paul aux Colossiens, nous constater qu’il nous parle de deux termes assez intéressant en rapport avec notre marche en Christ.

 

  • Verset 7 « Soyez enracinés et fondés en lui »

 

Les termes ‘enraciné’ et ‘fondé’ sont rapportés par Paul à une autre église, celle d’Ephèse.

La définition qu’il nous donne dans cette épître est plus complète que celle qu’il nous donne lorsqu’il s’adresse aux Colossiens.

 

Voici ladite définition : « (…) afin qu'étant enracinés et fondés dans l'amour, vous puissiez comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l'amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous soyez remplis jusqu'à toute la plénitude de Dieu. » (Ephésiens 3.17-19)

 

L’enracinement et le fondement en Christ dont nous parle Paul doivent avoir pour unique fondement et pour unique racine, l’amour.

 

Mais de quel amour est-il question ?

La réponse est simple, de notre amour vis-à-vis de Dieu.

 

Ce sujet peut à lui seul faire l’objet d’un livre, mais j’essayerai d’être bref car je ne peux pas ne pas en parler.

 

Notre amour pour Dieu est en fait ce qui lie notre vie à la sienne.

C’est le canal qui nous relie au ciel et que fait de nous les enfants adoptifs de l’Eternel.

 

Beaucoup pensent et disent que c’est l’amour de Dieu qui crée se lien, et cela parce qu’il est dit qu’Il nous a aimé en premier.

Il est vrai qu’il nous a aimé en premier, mais quand je vous aurais expliqué, par la parole de Dieu, d’où nous vient notre amour pour Dieu, vous comprendrez alors bien mieux.

 

Je n’ai aucun mérite à vous dire cela, car Dieu l’a déjà dit bien avant moi au travers de David.

 

Psaumes 37:4
« Fais de l'Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton coeur désire. »

 

Lorsque j’ai parlé de canal, ce verset l’illustre bien.

Notre amour pour Dieu est le canal qui nous relie au ciel, mais ce verset nous montre aussi que c’est par ce canal que nous recevons les bénédictions de Dieu.

 

Notre amour pour Dieu est donc ce qui lui permettra, non pas de nous aimer, mais de nous bénir et de manifester pleinement sa grâce dans notre vie.

 

Notre amour pour Dieu aura bien des conséquences dans notre vie, et aura pour but et objectif, un changement radical qui ira dans la gloire de Dieu.

Mais notre amour pour Dieu ne doit pas résulter d’une auto persuasion.

 

Car l’auto persuasion ne mène à rien d’authentique mais ne fait qu’enrichir l’aspect superficiel de la chose.

Dieu ne demande pas des cœurs hypocrites, mais bien des cœurs authentiques, sincère devant lui.

 

Notre amour pour Dieu n’aura de cesse que de vouloir être sincère vis-à-vis de Dieu et de ce que l’on ressent pour lui.

Mais la sincérité de notre cœur aura aussi pour conséquence la réalisation des promesses de Dieu dans notre vie.

 

En voici un exemple.

 

1 Rois 9.45

« Et toi, si tu marches en ma présence comme a marché David, ton père, avec sincérité de coeur et avec droiture, faisant tout ce que je t'ai commandé, si tu observes mes lois et mes ordonnances, j'établirai pour toujours le trône de ton royaume en Israël, comme je l'ai déclaré à David, ton père, en disant : Tu ne manqueras jamais d'un successeur sur le trône d'Israël. »

 

Dieu avait fait une promesse à David, celle ou son fils, Salomon, règnerai sur Israël.

Mais l’accomplissement de cette promesse dépendait maintenant, du pacte que Dieu scella avec Salomon, celui ou il devra marcher avec sincérité de cœur !!

 

Mais, il est bon de regarder que la sincérité de cœur ne va pas seule, elle doit être accompagné de la droiture, d’une marche en présence de Dieu, d’accomplir ce que Dieu nous a commandé et observé ses lois et ses ordonnances.

 

Cela peut paraître assez méthodologique et donc demande un sérieux investissement de notre part dans des œuvres quelconques.

En faite, ce n’est pas de cela qu’il est question, pas du tout même.

 

Il est bon de regarder l’ordre des choses que Dieu demande à Salomon.

 

Il commence par demander « Marches en ma présence » et donne l’exemple de son père, David pour rendre cela plus concret.

On peut aisément comparer cette demande à celle que Paul adresse aux Colossiens tout en sachant que sans cela, rien n’est possible.

Ensuite, une fois que cela sera fait, Dieu demande à Salomon «  avec sincérité de cœur et avec droiture faisant ce que je t’ai commandé».

 

Si Dieu demande toutes ces choses à Salomon, ce n’est pas parce qu’il à quelque chose à faire sans laquelle Dieu ne pourrait faire son œuvre, mais c’est pour lui donner une ligne de conduite afin qu’il ne s’éloigne pas de ce que Dieu lui demande.

 

La sincérité du cœur est demandée, mais s’il elle ne demeure pas dans un cadre précis, elle laissera place à de nombreux débordements et c’est ce qui peut mener une foi à la ruine !

 

Quant on à pas envie de prier, il est bon de le dire à Dieu et d’être sincère, MAIS ce n’est pas parce que l’on à pas envie de prier qu’il ne faut pas le faire systématiquement !

Et c’est en se laissant aller par se genre de débordement que l’on peut voir sa foi se détériorer.

 

C’est pourquoi, Dieu donna plusieurs recommandations à Salomon, lui montrant qu’il devait avoir un cœur sincère mais il lui donne aussi un cadre, celui de la droiture et de l’obéissance à ses commandements.

 

Notre amour envers Dieu doit donc être sincère mais dans un certain cadre, celui de la droiture et de l’obéissance à ses commandements.

Si ses conditions ne sont pas remplie, la promesse de Dieu qu’il nous laisse par la bouche de David (Psaumes 37.4) ne pourra se réaliser.

Tout comme si Salomon s’était écarté de se que Dieu lui demandait il n’aurait pas eut part à ses bénédictions.

En voici la preuve :

 

1 Rois 9.6-9

« Mais si vous vous détournez de moi, vous et vos fils, si vous n'observez pas mes commandements, mes lois que je vous ai prescrites, et si vous allez servir d'autres dieux et vous prosterner devant eux, j'exterminerai Israël du pays que je lui ai donné, je rejetterai loin de moi la maison que j'ai consacrée à mon nom, et Israël sera un sujet de sarcasme et de raillerie parmi tous les peuples.
Et si haut placée qu'ait été cette maison, quiconque passera près d'elle sera dans l'étonnement et sifflera. On dira : Pourquoi l'Éternel a-t-il ainsi traité ce pays et cette maison ?
Et l'on répondra : Parce qu'ils ont abandonné l'Éternel, leur Dieu, qui a fait sortir leurs pères du pays d'Égypte, parce qu'ils se sont attachés à d'autres dieux, se sont prosternés devant eux et les ont servis ; voilà pourquoi l'Éternel a fait venir sur eux tous ces maux. »

 

Notre enracinement en Dieu et notre fondement est donc celui d’un amour sincère et cela nous mènera à sa plénitude dans notre vie (Ephésiens 3.19).

Mais la sincérité de notre cœur doit être en obéissance à certaines règles, comme vu ci-dessus.

 

Mais, à un moment, je vous ai dis « mais quand je vous aurais expliqué, par la parole de Dieu, d’où nous vient notre amour pour Dieu, vous comprendrez alors bien mieux. »

Je vais donc maintenant vous expliqué d’où doit provenir notre amour envers Dieu.

 

Il est certain qu’il ne peut venir d’une auto persuasion sinon se ne serait qu’un amour fictif.

Il doit donc venir de Dieu lui-même, c’est donc que notre amour envers Dieu est en faite, une grâce de Dieu.

 

Posez-vous cette question : « Pourquoi est-ce que j’aime Dieu ? »

Et une fois que vous avez trouvez la réponse, demandez-vous si cela vient de vous ou alors d’une grâce de Dieu lui-même.

 

Pour ma part, si j’aime Dieu, c’est parce qu’il à donner son Fils pour moi.

Il à tout donner pour moi qui était sale, bon pour la casse, inutile, pourris.

Il m’a rendu pur, saint, sans tâche, faisant coulé le sang de son Fils bien aimé. Il accepté de le voir se faire insulté, frappé, humilié à un point tel qu’Il ne pouvait même plus le regarder !!

 

Mais aussi, parce qu’en le donnant à la croix et en le ressuscitant, il m’offre une vie de joie, de bonheur et de paix !

Une vie de justice, d’amour et de communion fraternelle.

 

Voilà pourquoi j’aime Dieu, et si je comprends cela, si je vis cela, ce n’est pas parce que j’ai compris cela de moi-même mais parce que Dieu m’a fait grâce de son Esprit-Saint pour que je puisse le comprendre et pour que je puisse le vivre pleinement.

 

Ce n’est donc pas de moi-même que j’aime Dieu, mais c’est par sa grâce que je l’aime.

 

Maintenant, reprenons la définition de ce qu’est être fondé et enraciné en Dieu : « (…) afin qu'étant enracinés et fondés dans l'amour, vous puissiez comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l'amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous soyez remplis jusqu'à toute la plénitude de Dieu. » (Ephésiens 3.17-19)

 

Maintenant que je vous ai expliqué mon point de vue sur notre amour vis-à-vis de Dieu, on peut considéré l’amour aussi comme un amour éprouvé pour notre prochain.

 

Ceci est aussi une recommandation de Dieu, que d’aimer notre prochain, mais, tout comme l’amour vis-à-vis de Dieu, notre amour pour le prochain ne doit pas résulter d’une auto persuasion.

 

Ce n’est pas parce que dans la bible on nous demande d’aimer notre prochain que si nous sommes face à une personne que l’on n’aime pas il faut dire avec hypocrisie « Oui, je t’aime tu sais » afin de se montrer en bon chrétien.

 

Pourquoi cacher à l’homme ce que l’on ressent alors que devant Dieu cela n’est pas caché ?

Agir de la sorte ne serais-ce pas allez contre ce qui nous est demandé dans la bible à savoir « Il Faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » ou si je paraphrase « Il est mieux de plaire à Dieu qu’aux hommes ». ?

 

Il est donc mieux, pour Dieu, de dire à une personne qu’on ne l’aime pas au lieu de jouer l’hypocrite devant elle pour paraître bon chrétien.

 

Cependant, cette sincérité doit aussi demeurer dans un cadre car elle ne doit pas être un prétexte à tout autre débordement, entendez moi bien.

 

Le cadre dont je parle lorsque je mentionne notre amour vis-à-vis de Dieu ou notre amours vis-à-vis de l’homme n’est autre que le fait de marcher en Christ.

Tant que nous marcherons en Christ, nous resterons dans ledit cadre.

 

Pour marchez en Christ, des outils sont à notre disposition, la bible et la prière.

La lecture de la bible, avec l’aide de l’Esprit-Saint, nous conduit dans la richesse de Dieu et nous montre sa volonté ses ordonnances, mais aussi, nous fait connaître l’amour divin qui est éprouvé envers nous.

Le verset 7 que je mentionne de l’épître au Colossiens mentionne autre chose pour l’enracinement et le fondement en Christ, il mentionne « (…) d’après les instructions qui vous ont été donnée » et ces instructions ne se trouve nulle part d’autre que dans la parole de Dieu.

 

La prière, avec l’aide de l’Esprit-Saint toujours, nous permet de passer un temps sincère auprès de Dieu, le remerciant, le louant, l’adorant …

 

C’est deux outils se suffissent à eux même en ce qui concerne notre croissance spirituelle, notre marche avec notre Seigneur !

La parole est notre lumière alors marchons dans la lumière !

La prière est notre puissance alors marchons dans la puissance !

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Fabien - dans Etudes par livre
25 juin 2007 1 25 /06 /juin /2007 22:01
  • Verset 7 « Abondez en actions de grâces »

 

Ce sujet fait appel à une polémique, celle ou les œuvres peuvent sauver l’homme.

Suite à cela, l’homme impose des préceptes et par cela, impose une voie qui n’est en faite pas celle de Dieu.

Paul nous parle de cette voie un peu plus loin dans le chapitre, nous y viendrons.

 

Abondez en action de grâce est vraiment quelque chose d’important, tant dans les fruits que cela porte, mais aussi dans notre propre vie, dans notre relation avec Dieu.

Les actions de grâces doivent résulter de deux choses : notre amour sincère pour Dieu et notre amour sincère pour notre prochain.

 

Plus haut, j’ai expliqué ce qu’était un amour sincère envers Dieu et son importance, et j’ai brièvement parlé de la sincérité du cœur qu’il doit régner entre nous, frères et sœurs en Christ.

 

Paul nous parle des œuvres comme n’étant pas la cause de notre salut en ces mots : « L’homme n’est pas justifié par les œuvres de la loi mais par la foi en Jésus-Christ » (Galates 2.16)

Le terme justifié, est en rapport avec notre état de juste devant Dieu ainsi que de l’état de notre cœur, dans lequel prend naissance la foi.

Seuls les justes hériterons du royaume de Dieu !

 

Luc 14.12-14

« l dit aussi à celui qui l'avait invité : Lorsque tu donnes à dîner ou à souper, n'invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu'ils ne t'invitent à leur tour et qu'on ne te rende la pareille.
Mais, lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles.
Et tu seras heureux de ce qu'ils ne peuvent pas te rendre la pareille ; car elle te sera rendue à la résurrection des justes. »

 

Lorsque Jésus parle dans Luc chapitre quatorze et au verset quatorze, il est agréable de constater qu’il parle de la rétribution de cette personne en parle de la résurrection des justes en conséquence de ses œuvres qui sont agréable à Dieu.

 

En fait, ce verset exprime, par un exemple concret, qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir.

Jésus déclare cette personne comme étant juste, se statut est en fait sa rétribution et on voit qu’il donne accès à la résurrection.

Mais Dieu va plus loin encore et pour ne pas tombé dans un excès quelconque et partir dans des dogmes qui ne représentent rien à ses yeux, nous dit que c’est lui seul qui justifie, par notre foi en Christ.

 

C’est donc que ce qui nous rend juste, participant de se statut, c’est notre marche en Christ !

 

Les œuvres on un rôle important.

 

Tout d’abord, elles sont une bénédiction pour la personne elle-même et c’est par une contre définition que Jacques nous le cite.

 

Jacques 2.26

« Comme le corps sans âme est mort, de même la foi sans les oeuvres est morte »

 

Les œuvres sont donc ce qui nourrit notre foi, mais pourquoi ??

 

Dans la bible, Jésus mentionne que si l’on fait du bien à l’un de ses petits, c’est à lui-même que l’on fait du bien, de même si nous faisons du mal.

C’est donc une façon de rendre gloire à Jésus que de faire des œuvres de grâces.

 

Mais c’est aussi le moyen de nous dépouiller de notre propre personne, de notre nature charnelle.

C’est contraire à la nature humaine que de vouloir donner sans rien vouloir en échange.

 

Si nous n’oeuvrons pas pour le bien de notre prochain, alors notre foi est morte car elle ne comporte pas l’amour de Dieu ni de son prochain.

Or, on sait que sans l’amour, nous ne sommes rien.

 

J’aimerai vraiment insister sur se point qu’est notre abondance en œuvres de grâces, non pas dans un objectif lucratif (aider pour recevoir de Dieu) mais vraiment dans la manifestation de notre amour pour Dieu.

 

Dieu nous demande d’être sincère, et parfois l’amour du prochain est chose difficile.

Nous avons vu plus haut qu’il était préférable de dire à son prochain « excuse moi, mais pour l’instant, je ne peux pas t’aimer car … » que de dire « oui je t’aime ! » et passer pour un hypocrite au yeux de Dieu.

Mais une chose que je n’avais pas mentionné, c’est que si on ne peut pas aimer son prochain, on ne peut aimer Dieu … C’est ce qu’il nous dit au travers de Jean (1 Jean 4.20)

 

Mais heureusement, par se même serviteur, il nous dit ceci

 

1Jean 4:11
« Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres. »

 

Je ne sais pas si se passage vous parle, mais à moi, il me montre quelque chose d’autre qui complète ce que Jean nous dit au verset vingt.

 

Dieu sait que ce n’est pas facile pour nous d’aimer notre prochain, nous sommes humain et cela il ne l’ignore pas.

Mais il nous montre comme nous pouvons aimer cela que nous n’aimons pas !

 

En effet, je vous parle de notre sincérité  dire les choses (avec tact tout de même) mais ce n’est pas pour autant que cela doit être une excuse à notre rancœur.

Au travers du verset onze, Jean nous montre que c’est parce que Dieu nous à aimé que nous devons aimer aussi notre prochain.

 

Cela ne signifie qu’une chose, que l’amour du Père doit transparaître au travers de nous.

Pour comprendre cela, prenons la parabole du fils prodige (Luc 15.11-32).

 

Dans cette parabole ce trouve deux fils.

L’un qui gaspilla tout ce que son père lui donna et l’autre qui était engagé envers son père.

 

C’est sur ce dernier, le frère aîné, que j’aimerai me pencher.

Nous voyons que se frère, au lieu de se réjouir comme son père, refusa de se trouver en présence de son frère cadet.

Il eut un cœur remplit d’orgueil, de jalousie, d’esprit de propre juste, d’égoïsme, d’un esprit de suspicion, de jugement, de critique.

Et pourtant, il eut une vie qui était engagé envers son père.

 

Ce n’est pas parce que nous voyons un frère, une sœur ou nous même, avec une vie engagé envers Dieu que nous ne pouvons avoir un cœur comme se frère aîné.

Car pour marcher avec Dieu, il faut avoir la vision de Dieu !

 

Et cette vision correspond à avoir :

 

1)      Un regard miséricordieux, comme celui du père voyant au loin son fils revenir.

 

Nous devons éprouver de la compassion envers toutes les personnes que nous croisons durant notre vie et cela est valable aussi pour nos ennemis.

Car Dieu aime aussi ceux qui nous font du mal, il les aime en tant qu’individus, en tant que créature venant de lui.

 

 

2)      Des pieds miséricordieux, comme ceux du père allant au devant de son fils.

 

Nous devons allez au devant de ceux qui ont besoin de nous.

Et cela peut être un frère ou une sœur, mais aussi une personne du monde vers laquelle Dieu nous appel à aller.

 

 

3)      Des bras miséricordieux, comme ceux du père qui ont serrés son fils.

 

Parfois, le simple fait de montrer notre affection à une personne suffit amplement pour apaiser le cœur de celle-ci.

 

 

4)      Des lèvres miséricordieuses, comme celles du père qui ont embrassé son fils.

 

Un jour, une femme alla à une prison rendre visite à une personne qu’elle connaissait.

Elle vit, devant la porte d’entrée, deux gardes maintenir une prisonnière qui se débattait de toutes ses forces et manifestait une colère violente.

Cette femme alla prêt de la prisonnière et l’embrassa sur la joue et à l’instant même, la détenue se calma.

On su par après que cette détenue n’avait jamais été embrassé durant sa vie.

 

Dans cette parabole, le père de ces deux enfants correspond à Dieu et nous pouvons aussi comparer l’aîné à nous bien des fois.

 

Nous devons aspirer à avoir le même cœur que notre Dieu car c’est à cela que nous sommes appelé.

Cette attitude ne peut se trouver que dans notre intimité avec Dieu et il en est de même pour toutes nos qualifications quant à un ministère, un engagement envers Dieu.

 

Cherchons à avoir le cœur de Dieu, plongeons nous dans son intimité !

 

Si nous ne pouvons trouver l’amour nécessaire pour aimer la personne que nous ne savons pas aimer, alors allons le chercher au prêt de Dieu.

 

Sachez que ce qui nous empêche d’aimer une personne n’a de lien qu’avec notre ancienne nature et nous savons que nous devons nous en dépouiller, non pas par des œuvres cette fois-ci, mais par la grâce de Dieu qui manifeste pleinement lors de notre conversion. (Voir début de l’étude)

 

Nous sommes exhorté à abonder en action de grâces, mais cela ne peut se faire sans un amour sincère éprouvé envers les autres.

 

Les œuvres nourrissent notre foi si la sincérité du cœur demeure la motivation de nos actions.

Car l’hypocrisie ne nourrit pas la foi et ne nous rapproche pas de Dieu.

 

Mieux vaut ne pas agir et se confié à Dieu dans son intimité que de se forcer à aimer et de s’éloigner de Dieu.

Si c’était par notre propre force que nous puissions accomplir les préceptes de l’Eternel, pourquoi aurait-il offert Christ et manifesté pleinement sa grâce ?

 

 

Colossiens 2.8 : « Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. »

 

La bible nous parle de deux évangiles, non pas comme deux bien distinct, mais plutôt comme un étant vrai et un autre étant faux : celui de Christ et celui de faux docteurs. (Galates 1.6-7)

 

Nous sommes à une époque ou l’homme se plait à tout expliqué et à ce placer parfois au dessus de Dieu dans certaines églises.

Les pasteurs se plaisent à donner des réponses aux questions au lieu d’exhorter les fidèles à allez aux prêt de Dieu, ou de prier avec eux.

 

Dieu peut répondre par la bouche d’un pasteur, ce n’est pas cela que je conteste, mais la démarche à suivre n’est pas de se confier en l’homme mais bel et bien en Dieu, c’est ce que nous explique Paul au travers de l’épître aux Colossiens.

 

Trop de frères et de sœurs vont plus facilement vers l’homme que vers Dieu et pour ma part, je trouve cela vraiment triste.

C’est en allant au près de Dieu que l’on y trouve la vrai solution et que l’on grandi.

Ce n’est pas en allant chercher la réponse au près de l’homme que l’on apprendre à se confier en Dieu et à marcher en Christ vous savez …

 

Le verset huit dans le chapitre deux de l’épître aux Colossiens n’est pas une exhortation supplémentaire aux verset précédant, mais c’est la confirmation, la complémentarité des autres.

 

Aux versets six et sept, nous sommes exhorté à marcher en Christ en étant fondée et enraciné en lui ainsi que d’abonder en action de grâce.

Mais la suite, au verset huit, nous met en garde contre les hommes pernicieux qui ne se basent pas sur Christ mais sur les rudiments du monde.

 

Si on prend en compte ces deux exhortations, on peut en conclure que notre protection contre ces fausses doctrines est de marchez en Christ.

C’est ainsi que nous grandirons et que notre discernement spirituel prendra de plus en plus d’ampleur dans notre vie.

Comprenez maintenant pourquoi je suis attristé lorsque je vois que des frères et sœurs ont plus facile à allez vers l’homme que vers Dieu.

 

Le principal problème dans cette démarche est en faite ce qui provoque cette démarche.

Les frères et sœurs qui auront plus facile d’aller voir l’homme au lieu de Dieu le font en générale parce qu’ils pensent que Dieu ne leur répond pas.

En allant vers l’homme, ils sont certains de trouver une réponse, mais pas de recevoir la bonne.

 

Il est facile de tromper ce genre de personne, il suffit de leur dire ce qu’ils désirent entendre et ils reçoivent notre parole comme paroles d’évangiles, c’est un peu le principe des sectes (en très gros …)

 

La question qui peut se poser c’est, y a t-il vraiment une absence de Dieu derrière cela ?

 

Je suis convaincu que non, et pour me permettre d’affirmer cela, je me base sur une promesse biblique, la voici :

 

Psaumes 145.13-20

« Ton règne est un règne éternel, et ta domination subsiste dans tous les âges.
L'Éternel soutient tous ceux qui tombent, et il redresse tous ceux qui fléchissent.
Les yeux de tous espèrent en toi, et tu leur donnes la nourriture en son temps.
Tu ouvres ta main, et tu rassasies à souhait tout ce qui a vie.
L'Éternel est juste dans toutes ses voies, et miséricordieux dans toutes ses oeuvres.
L'Éternel est près de tous ceux qui l'invoquent, de tous ceux qui l'invoquent avec sincérité ;
Il accomplit les désirs de ceux qui le craignent, il entend leur cri et il les sauve.
L'Éternel garde tous ceux qui l'aiment, et il détruit tous les méchants. »

 

Pour ma part je crois que cela est vrai, et ce n’est qu’en vivant dans son intimité que l’on pourra le vivre et non pas en allant vers l’homme.

 

Mais certaines personnes me diront « mais pourquoi nous ne vivons pas cela lorsque nous avons besoin de lui ? ».

Je ne peux donner une réponse mais je peux en définir la problématique en regardant la parole de Dieu.

 

Tout d’abord, j’aimerai rappeler une exhortation venant de Paul.

1Pierre 5:8
« Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. »


"Soyez sobre" ce n'est pas que dans l'optique de la boisson, mais aussi des pensées. Nous devons être sobre par nos pensées.
La sobriété indique une certaine "dose" ou fréquence de pensée.
Si notre esprit est prit par une pensée ou un désir quelconque, alors nous ne sommes plus sobre, mais on se laisse enivrer par elles.

En effet, lorsque nous sommes affligé, c’est pour une bonne raison, et je ne me permettrai pas de dire le contraire, mais dans certain cas, ce qui nous afflige prend trop de place dans notre cœur et dans nos pensées.

Nous perdons le recule que nous avons si nous restons en Christ et on se laisse submergé par celles-ci.

 

C’est un peu ce même principe que Christ veut nous enseigner au travers de l’épreuve qu’a vécu Pierre en marchant sur l’eau (Matthieu 14.25-32).

S’il à commencer  s’enfoncé, c’est parce qu’il n’a plus regarder à Christ mais à cette mer agitée.

De même, le chrétien affligé aura tendance à regarder à sa douleur au lieu de regarder à Christ ce qui aura pour conséquence de ce laisser submerger par celle-ci.

 

Dans une telle situation, on est tellement submergé que l’on ne parvient pas à trouver la réponse de Dieu dans notre épreuve car nous ne posons pas le bon regard sur ce que nous vivons.

 

Le regarde que nous devons avoir est celui de Dieu mais pour cela, il faut que nous marchons en Christ et ainsi avoir un bon discernement des choses.

C’est ce qui se passa lorsque Pierre prit la main que Jésus lui tendait, après l’avoir appelé au secoure, il replaça son regard sur Jésus et tout deux rentrèrent dans al barque et le vent cessa.

 

Si dans notre épreuve nous crions à Jésus, cessons alors de porter toute notre attention sur ce que nous vivons, sinon nous crions en vain !

Mais redressons la tête et regardons Christ qui nous tend sa main. Replaçons notre regard sur lui et prenons du recul sur ce que nous vivons.

 

Bien souvent, ce genre d’épreuves résultent d’un désirs charnel, du fait que nous nous focalisons sur notre désirs et non pas sur nos besoins.

On veut arrêter de fumer mais dès que l’on à envie de fumer on repense à la cigarette et on recentre cette envie dans notre vie.

On veut arrêter la pornographie mais lorsque l’on s’ennuie, on y trouve une occupation ou lorsque l’on ressent cette envie, on repense au « bien  être » que l’on y trouve.

On veut arrêter de « piquer » des crises de nerfs mais dès que la première contrariété se produit on en profite pour dire ce que l’on pense à la personne ...

 

Si on veut arrêté tout cela (ce ne sont que des exemples, il y a encore beaucoup de choses qui reprennent le même principe) il n’y a qu’une chose à faire, c’est de nous abandonner totalement en Christ !

 

Galates 5:24
« Ceux qui sont en Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs »

 

Ce verset illustre bien ce que signifie s’abandonner en Christ.

Colossiens 2.9 : « Car en lui habite toute la plénitude de la divinité. Et vous avez tout pleinement en lui*, qui est le chef de toute principauté et de tout pouvoir. »

 

Commençons d’abord par l’astérisque.

Littéralement parlant, aurai pu remplacer « vous avez tout pleinement en lui » par « vous êtes remplis en lui »

 

Encore ici, la notion de « en » est bien présente en parlant de notre relation avec Christ.

La première fois qu’il fut utilisé, dans notre étude, ce fuit pour désigner notre marche avec Christ.

Maintenant, c’est pour mettre en évidence ce nous recevons par cette marche.

 

Je pense qu’il n’est plus nécessaire de souligner l’importance qu’il y a de marcher en Christ, de demeurer en lui.

 

Le but de ce verset est de nous souligner la divinité de Christ.

 

Pour être bref sur se sujet, nous pouvons lire dans la parole de Dieu que Christ souverain signifie que :

 

  • Nous recevons tous de sa plénitude (Jean 1.16 & Colossiens 2.9)
  • Dieu à tout mit à ses pieds et l’a donné pour Chef suprême à l’Eglise qui est sont corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous (Ephésiens 1.22-23)
  • Il nous offre, par le biais de sa plénitude, la stature d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ (Ephésiens 4.13)
  • Il a plu à Dieu de faire habiter en lui toute la plénitude (Colossiens 1.19)

 

Voilà en gros ce que nous rapporte la parole de Dieu quant à la divinité de Christ.

 

Il est intéressant de constater qu’à chaque fois, il est mention de la plénitude de Christ et qu’en lui se trouve tout.

 

Si j’ai désirez m’arrêter sur ce point, qui à première vue ne me parlait pas beaucoup, c’est parce qu’en l’approfondissant de la sorte, je remarque que cela répond à bien des questions que je me pose.

 

Mais c’est aussi parce que cela peut donner réponse à pas mal de problème que nous pouvons vivre durant notre parcours spirituel, mais aussi durant la vie de tous les jours.

 

C’est dans la plénitude de Christ que tout problème ce règle, quel qu’il soit !

 

En fait, ce verset fait l’introduction d’autres versets qui sont le témoignage, non plus de la divinité de Christ, mais de son œuvre sur terre.

 

Je pense qu’il était bien de commencer cette nouvelle partie en rappelant que Christ était quelqu’un de souverain avant de venir sur terre.

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Fabien - dans Etudes par livre
13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 14:36

2 Timothée 2.3-6

« Souffre avec moi, comme un bon soldat de Jésus Christ.
Il n'est pas de soldat qui s'embarrasse des affaires de la vie, s'il veut plaire à celui qui l'a enrôlé ; et l'athlète n'est pas couronné, s'il n'a combattu suivant les règles.
Le laboureur qu peine doit être le premier à recueillir le fruit. »

 

Dans se passage, Timothée est exhorté par Paul à souffrir avec lui comme un bon soldat de Jésus-Christ.

Le message qui découlera de se verset, sera pour toute personne ayant décidée d’accomplir cela au sein de leur vie car c’est dans se sens que Paul a adressé se message à Timothée.

 

Il y a deux choses qui nous sont demandées afin de devenir un bon soldat de Christ.

 

La première, étant de ne pas s’embarrasser des affaires de la vie,  nous montre que le but premier de cette demande est de plaire à celui qui nous à enrôlé.

Lorsque Paul parle de plaire, ce n’est que dans un contexte d’efficacité envers l’enrôleur et non pas d’adopter une attitude qui pourrait plaire.

 

Il en est de même pour nous, chrétien.

Christ ne nous demande d’agir comme un chrétien mais d’agir en tant que chrétien.

Il ne nous demande pas d’être de pâles imitations de chrétien mais d’avoir de l’impact et de vivre nos propres œuvres en tant qu’enfant de Dieu.

 

Ce que Christ veut, c’est que nous soyons efficace.

 

Matthieu 28:19
 « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit »

 

Nous voyons donc que Jésus-Christ nous demande d’être efficace pour son royaume, pour sa gloire.

Il dit aussi que nous devons porter du fruit, ce qui est le signe d’une certaine efficacité.

 

Mais, avant de mentionner le fait de plaire, Paul mentionne le fait de ne pas s’embarrasser des affaires de la vie.

Cela n’est pas sans importance et nous ne pouvons plaire à Jésus-Christ si nous sommes constamment en conflit avec notre chair et le désir d’un confort inutile.

 

Lorsque nous avons fait le choix, à notre conversion, de croire en Jésus et en cela d’accepter sa vie en remplacement de notre statuts de pécheur, nous avons du mettre à la croix notre chair ainsi que ses passions et ses désirs.

 

Paul l’a rappelé à l’église de Galatie en ces termes : « Ceux qui sont en Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs » (Galates 5.24)

 

Il y a derrière cela une vraie richesse, une bénédiction capitale dont nous devons prendre part.

 

Le soldat se donne corps et âme pour sa patrie et accepte de mourir pour elle. Il va jusqu’à donné sa vie s’il cela peut permettre à sa patrie de remporter la victoire.

C’est en sachant cela que Paul compare le chrétien à un soldat et qu’il adresse ces termes à Timothée.

Christ nous à montrer l’exemple sur la croix.

Lorsque Paul s’est adressé à Timothée, il du reposer son regard sur cette croix qui à tant fait souffrir notre Seigneur.

 

S’il n’était pas convaincu de la puissance de l’évangile ainsi que de sa portée, jamais il n’aurait pris part aux souffrances de Christ étant près lui-même à donner sa vie pour Christ.

 

Actes 21:13
 « Je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus. »

 

Paul savait ce qu’il disait lorsqu’il a donné cette image à Timothée.

Mais Paul, en tant que « mentor » de Timothée, il n’a pas été sans montrer l’exemple et à centrée sa vie autour de l’évangile.

 

Si nous considérons Jésus-Christ en exemple, nous pouvons voir que durant sa vie, il ne souciait pas de son confort pas même de sa propre santé.

Dans le désert, alors qu’il avait faim, il ne s’est pas soucié de ce tracas et à répondu avec plein de sagesse à Satan « L’homme ne vivra pas de pain seulement ».

S’il c’était soucié de sa faim, il aurait succombé à la tentation et aurait perdu face à Satan.

 

Si nous considérons Job comme exemple, nous pouvons voir qu’alors qu’il était éprouvé par Satan et qu’il perdait ses proches et ses biens, il dit avec sagesse « L’Eternel a donné, l’Eternel a repris. Que le nom de l’Eternel soit loué »

S’il c’était soucié de son confort, il aurait lui aussi perdu face à Satan.

 

Il en est de même pour nous !!

 

Combien de fois n’avons-nous pas perdu face à Satan pour notre propres confort (matériel, ou autres) ou pour satisfaire les désirs de la chair ?

Il est inconfortable de vivre une lutte au-dedans de nous et il est plus souvent facile de capituler face à la tentation plutôt que de vivre dans cet situation peut confortable.

 

Lorsque la tentation arrive ou lorsque notre confort commence à être affectée par l’épreuve, ce n’est pas en fixant notre regard dessus que cela arrangera quelque chose, mais c’est bel et bien en agissant comme :

 

  • Jésus lorsque sur la croix, et durant tout le chemin du calvaire, il ne cessa de fixer ses regards sur Dieu.
  • Paul lorsque dans la prison, ou son de son dos coulait le sang et se montraient les marques de sa sanction, il loua Jésus par des cantiques et en exhortant les gardes.
  • Job lorsque tout semblait l’abandonné, il ne cessa de regarder à Dieu alors qu’il n’avait plus aucune confort ni même la santé.

 

Mais si nous désirons réellement devenir de bon soldat de Jésus-Christ, nous devons passer au dessus de notre propre confort mental ou physique afin de parfaire notre identité spirituelle et de grandir avec lui.

 

Il est vrai que parfois ce que nous vivons peut nous sembler si grand, si énorme qu’il nous est impossible de ne pas s’en soucier.

Vous pourrez alors penser que Dieu nous demande l’impossible, mais se serait oublier que notre Dieu est le Dieu de l’impossible.

Il n’attend pas que nous soyons capable, mais il nous rend capable par la puissance de son Esprit.

 

Lorsque nous tombons, nous ne sommes pas bénis, mais lorsque nous luttons, la bénédiction est grande si nous restons droit !

 

Proverbes 11:11
 « La ville s'élève par la bénédiction des hommes droits, Mais elle est renversée par la bouche des méchants »

 

Accepter de ne plus se soucier des affaires de la vie, c’est adopter une attitude de victoire, c’est laisser toute la place à Jésus-Christ, par son Esprit dans notre vie.

C’est aussi savoir rejeter notre chair et ses désirs pour laisser place aux désirs spirituels.

 

La deuxième nous dit que  « l'athlète n'est pas couronné, s'il n'a combattu suivant les règles ».

Lorsque j’ai lu pour la première fois ce passage, je me suis demandé quelles étaient ces règles et j’ai de suite pensé aux dix commandements.

On peut prendre en faite n’importe qu’elles règles reprises dans la parole de Dieu concernant le parcours du chrétien, mais je voudrais me pencher sur les règles qui figurent à la suite de la lecture du chapitre.

Analysons les une par une.

 

 

1)      Eviter les disputes et les mots qui ne servent à rien (verset 14)

 

La couronne de l’athlète est en faite la récompense de celui-ci et une récompense se mérite.

L’orgueil de l’homme à une fâcheuse  tendance à toujours vouloir le dernier mot et cela le mène bien souvent à des disputes.

 

Il est parfois étonnant de constater que bien des disputes démarrent avec un rien et finissent généralement en grand drame.

Le faite de toujours vouloir avoir le dernier mot ne fait en faite que remettre de l’huile sur le feu et ne fait qu’empirer la situation.

 

Bien souvent, le sujet du conflit demeure dans la faute de l’un ou l’autre participant au conflit ; du moins s’en est l’excuse qui en ressort. On essaye d’accuser l’autre se déchargeant ainsi de toute responsabilité.

 

On m’a toujours enseigné que pour se disputer, il faut être deux.

Lorsque l’on m’a dit cela, je ne pensais pas du tout à la bible, j’étais trop jeune, et la personne qui me l’a dit, bien que chrétienne, ne pensait pas non plus à la bible.

Il y a pourtant un proverbe similaire au sein de la bible, le voici : « Celui qui couvre une faute cherche l'amour, Et celui qui la rappelle dans ses discours divise les amis. » (Proverbes 17:9)

 

Parfois, nous sommes tellement en colère envers l’autre personne que nous voulons à tout prix le blesser afin d’avoir le dernier mot.

C’est ainsi qu’on en arrive à se dire méchanceté sur méchanceté et à  rappeler ce qui doit normalement être pardonné et oublié.

Cela ce passe aussi entre chrétien et parfois même au sein de l’église.

 

Il y a deux sortes de discours, celui du sage et celui de l’insensé.

Pour en parler, prenons le texte qui se trouve dans Ecclésiaste au chapitre dix et au verset douze.

 

·         Discours du sage (verset 24b-26)

 

« Les paroles de la bouche du sage sont pleines de grâce (…) »

 

Une personne sage est une personne qui a acquis la sagesse de Dieu et cela ne se transmet que de Dieu à l’homme et non pas de l’homme à l’homme. « Car l'Éternel donne la sagesse ; De sa bouche sortent la connaissance et l'intelligence » (Proverbes 2:6)

Ce n’est donc pas l’age qui caractérisera la sagesse d’une personne mais bien l’intimité de celle-ci avec Dieu. « Ce n'est pas l'âge qui procure la sagesse, Ce n'est pas la vieillesse qui rend capable de juger. » (Job 32:9)

 

Dans le verset cité, il est agréable de constater que d’entendre un sage est une grâce.

Pourquoi ? Ma réponse ne sera que déduction mais à mon humble avis, si la sagesse ne dépend pas de l’age ou de l’expérience mais de Dieu seul et si c’est lui seul qui donne la vraie sagesse, toutes paroles dites d’un sage ne peut être que parole de Dieu !

 

Le discours du sage sera un discours de paix et remplis d’amour. Il dirigera la discussion la poussant à être la plus constructive possible.

Mais elle sera aussi juste et parfois tranchante mais toujours pour le bien de l’autre.

 

C’est dans ces deux sens que le discours du sage est une grâce. (Il y a encore d’autre raison que j’ai exprimé lors de mon étude sur la sagesse).

 

 

·         Discours de l’insensé (verset 23-24a)

 

« (…) mais les lèvres de l'insensé causent sa perte. »

 

Pour reprendre le cas d’un conflit, l’insensé est celui qui envenimera la situation au lieu de la laisser s’améliorer.

Mais l’insensé, c’est avant tout une personne qui a laissé son cœur partir dans les désirs de la chair ; les désirs charnels ne sont pas que le vice et la corruption, c’est aussi l’orgueil et l’égocentrisme (entre autre).

 

Il est triste de constater se genre de réaction dans nos assemblée mais aussi de notre part dans notre propre vie.

 

Combien de fois n’avons-nous pas entendu cette voix qui nous disaient « Tais-toi, ne répond pas » ou alors « Prie pour cette personne, ne lui répond pas elle est malheureuse ».

 

Bien souvent, nous faisons abstraction à cette voix pour écouter celle qui nous dis « Tu as entendus ce qu’elle t’a dit ? Réponds lui qu’elle aussi à fait ça, mais en pire ! »

 

Ce genre de réaction, de comportement, blesse autant la personne à qui nous nous adressons que nous même.

Est-ce qu’après une dispute vous vous sentez heureux avec la paix dans votre cœur ?

Je ne pense pas ; en tout cas, moi pas.

 

 

Lorsque Paul laisse, de la part de Christ, cette règle à établir dans notre vie, c’est dans le sens de grandir avec Lui.

Si au lieu de répondre grossièrement nous donnons une parole de sagesse, de réconfort à la personne en face de nous, notre cœur sera en joie et celui de l’autre personne aussi !

Si nous écoutions cette voix qui nous demande de nous taire et que nous nous mettons à prier dans notre cœur, nous donnerons la victoire à Jésus-Christ et nous apporterons par ce biais, la paix et la joie dans les cœurs !

 

Ce n’est pas pour rien que Jésus établi cette règle !

Il sait très bien que nous serons confronté à toutes sortes de conflit durant notre vie et que ce ne sera pas facile.

 

Si Paul à comparer cela à une course, ce n’est pas pour rien non plus.

Lorsque nous participons à une course, après quelques tours nous commençons à nous épuiser.

A ce moment là, il serait tellement plus simple et confortable de prendre un petit raccourci que de continuer la course normalement non ?

 

S’en est de même pour notre parcours spirituel.

Il serait tellement plus simple de nous laissé allé d’en l’orgueil que de lutter contre, surtout après une journée qui nous à déjà épuisée.

 

Mais, n’oublions pas une chose, si Christ est mort à la croix, ce n’est pas pour rien !

Si nous étions capable de résister face à notre chair, pourquoi Christ serait mort ? Il serait mort pour rien !

Alors abandonner cette idée qui vous demande de lutter contre votre chair, et abandonner vous, vous-même, entre les mains de Jésus au travers de la repentance !

 

C’est ainsi et seulement ainsi, que vous pourrez alors être débarrassés de votre péché, pas autrement ! Sinon Christ serait mort pour rien.

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Fabien - dans Etudes par livre
13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 14:35

2)      Se présenter devant Dieu sans avoir honte de se que l’on à fait (verset 15)

Je me souviens, il n’y a pas si longtemps que ça, lorsque presque chaque soir, je me mettais à genoux demandant honteusement pardon à Dieu d’avoir encore pécher.

La honte vient du faite que nous avons péché, que nous n’avons pas su rester droit durant pas même une journée.

 

La honte ne vient pas seule. Après elle s’en suit la confusion et parfois la remise en question de notre conversion et par cela, de notre salut.

Lorsque l’on en arrive là, c’est bien souvent parce que de nos propres forces, nous n’avons pas réussis à résister face au péché.

C’est d’une évidence sinon pourquoi aurions nous honte ?

 

Mais la honte, dans le verset 15, n’est pas seulement en relation avec la vie personnelle de l’individu par rapport à Dieu, mais aussi dans la relation d’individus entre individus.

Voici un passage qui exprime bien la pensée de se verset : « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu » (1Corinthiens 10:31)

 

Tout faire pour la gloire de Dieu ne signifie qu’une chose => Tout faire pour laisser Christ diriger notre vie.

De nous même, pécheur que nous sommes, nous ne pouvons rien faire pour accomplir la gloire de Dieu, que se soit dans notre vie ou autour de nous.

C’est pour cela même que Christ nous offre son Esprit lors de notre conversion et qu’il prend lui-même place en nous ! « (…) si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi » (Galates 2.20)

 

Si nous essayons par notre propre force de ne plus pêcher, il ne faut alors pas s’étonner d’après, de devoir demander pardon à Dieu, rempli de honte.

 

Dans la fin de se verset 15, Paul dit : « (…) qui dispense avec droiture de la parole de vérité ».

Dans la traduction en français courant, il est dit : «  En annonçant correctement le message de vérité »

 

Je pense que pour accomplir cela, il faut avoir au préalable remis notre vie entière entre les mains de Christ au travers d’une sincère repentance.

 

Ce n’est par pour rien que Paul parle d’abord de ne pas s’embarrasser des affaires de la vie avant de parler de se point ci car il faut s’être abandonné entièrement en Christ, renonçant aux désirs charnelles, au confort charnel, avant de pouvoir annoncer avec droiture le message de vérité.

 

Si Paul a pu avoir tant d’impact à son époque, c’est parce qu’il ne se souciait pas se qui l’entourait, mais plutôt de se qui le remplissait, c'est-à-dire la présence de Christ dans sa vie.

C’est cela qui lui apportait la vraie joie, la vraie paix, le vrai bonheur alors même qu’il était en prison en train de se faire rouer de coups pour des fautes qu’il n’a pas commit.

 

Paul n’avait pas honte de cela ; il n’avait pas à avoir honte car s’est Christ qui le faisait avancer et non pas lui qui avançait.

 

Apprenons à nous abandonner entièrement à Christ et de le laisser nous guider. C’est la seule façon pour ne pas nous présenter avec honte devant Dieu et c’est la seule façon de dispenser avec droiture de la parole de vérité.

Car un ouvrier est celui qui obéit à son chef. Tout comme le disciple doit obéir à son maître.

 

 

3)      Nous écarter des discours vides afin de ne pas avancer dans l’impiété (verset 16 & 23)

 

Au travers de ce verset, Paul nous souligne le fait qu’il est dangereux de parler avec des gens qui tiennent ce genre de discussion car elles mènent à l’impiété.

 

Souvent, en tant que chrétien, nous sommes interpellés  par des non chrétiens qui nous posent toutes sortes de questions.

Il est dangereux de vouloir à tout prix répondre et surtout, de se mettre dans de telles discussions. C’est elle-même que Paul appel « discours vides ».

 

Je ne dis pas que nous ne devons pas répondre aux questions posées par un non chrétien, pas du tout, mais nous devons faire preuve de discernement et ne pas essayé de donné un réponse que nous ignorons !

Nous risquons en cela de nous éloigner de la parole et de rendre un mauvais témoignage.

 

‘Impiété’  signifie qui offense la religion (dans le dictionnaire), mais dans la signification biblique, c’est d’un offense à Dieu dont il est question.

 

Plus loin dans le chapitre, Paul continue son explication en parlant des vases nobles et des vases vils.

Il nous dit que par notre purification (personnel) nous deviendrons un vase noble et donc, utile dans les mains de Dieu !

Ce n’est pas en voulant à tout prix répondre que l’on sera utile à Dieu, mais c’est en ce laissant utiliser par lui !

 

Parfois, il est mieux de se taire et de dire « Je ne connais pas la réponse » plutôt que d’essayer d’inventer une réponse afin de montrer que l’on sait.

Si la question du non chrétien est sincère, alors Dieu lui répondra en son temps.

 

Mais, il y a un autre point de vue que Paul nous souligne et il est à mon sens plus grave.

Lisons,

 

2 Timothée 17-18

« Leur parole rongera comme la gangrène. De ce nombre sont Hyménée et Phylète qui se sont écartés de la vérité, disant que la résurrection est déjà arrivées, et qui renversent la foi de quelques-uns. »

 

Il est donc question de discours contre des doctrines (théorie biblique) anti-biblique !

Face à ce genre de discussion, nous ne devons pas nous laisser prendre et savoir nous retirer car cela peut nous mener à l’impiété et renverser notre foi !

 

Ceux qui maintiennent ce genre de discussion sont comme des vases vils.

Mais nous, si nous nous en éloignons, nous nous purifions et nous serons comme des vases nobles !!

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Fabien - dans Etudes par livre
13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 14:33

4)      Fuir les passions de la jeunesse au profit de la paix, l’amour, la justice, la foi et la communion fraternelle (verset22)

 

La jeunesse, c’est la fougue, la témérité, l’insouciance, l’immaturité … c’est aussi l’envie de faire toute sorte d’expérience, c’est de vivre le « On ne vit qu’une fois ».

 

Ce que nous présente Paul par la suite sont le fruit de la maturité spirituelle ; la paix, l’amour, la justice et la communion fraternelle.

Il nous montre que la jeunesse ne peut rechercher cela, mais que nous devons laisser les passions de la jeunesse au profit de ce qui est plus consistant.

 

 

A)     La paix

 

Romains 14:19
« Ainsi donc, recherchons ce qui contribue à la paix et à l'édification mutuelle. »

 

Nous sommes donc exhorté à rechercher la paix, mais aussi tout ce qui contribue à la paix et à l’édification mutuelle ; pour se dernier point, nous attendrons de parler de la communion fraternelle.

 

La paix, c’est quelque chose sans laquelle nous ne pouvons vivre avec Christ (Hébreux 12.14) et donc, un chrétien se doit de vivre dans la paix et de vivre en paix.

 

 

·         Vivre dans la paix

 

Pour vivre dans la paix, nous devons avoir la paix intérieure.

 

Cette paix intérieure est aussi une chose que nous devons chercher et que nous n’obtenons pas sans sacrifice dans notre vie.

 

La première source de conflit intérieur est le combat entre les désirs de la chair et la sainteté de l’Esprit qui est en nous.

Tant que ce combat aura lieu, on ne pourrait être en paix à l’intérieur de nous même.

 

Ce conflit crée un malaise en nous et c’est souvent la première source de désengagement du jeune par rapport à la foi chrétienne car le jeune sera plus susceptible d’être attiré par les désirs de la chair, par ses passions.

 

Tant que se conflit aura lieu, tout choix que nous faisons en vue de notre sanctification ne pourrait être sincère et sera bien souvent fait à contre cœur.

Mais il ne sera peu souvent durable non plus.

 

Je me souviens lorsque j’étais encore tout jeune converti, je m’étais empressé d’effacer de mon pc tout jeux vidéo croyant que cela était agréable à Dieu.

Cela l’était, certes, mais la façon dont je m’y prenais n’était pas la bonne.

Au lieu de faire un sérieux travail intérieur et rechercher un équilibre, une paix intérieure, je pensais que les choix que je faisais à l’extérieur viendraient mettre la paix en moi.

 

Mais le fruit qui était porté par cette action était la chute quelque temps après … J’ai du effacer une dizaine de fois un jeu et l’avoir réinstallé un même nombre de fois.

Le résultat était du à une mauvaise action de ma part, j’avais le bons chiffre mais pas dans le bon ordre et donc, je ne gagnais jamais la cagnotte.

 

Certains fumeurs chrétiens n’éprouvent aucun problème ni remords de conscience en fumant, mais certain, après avoir fumé se sentent mal.

En ce qui concernent ces derniers, se malaise est du justement au combat de la chair et ce que l’Esprit leur met à cœur ; c'est-à-dire d’arrêter la cigarette.

 

Souvent, le chrétien fumeur arrêtera de fumer pour obtenir la paix intérieur sachant que se choix plait à Dieu ; mais très peu souvent il obtiendra un résultat probant.

 

Tout comme pour moi et les jeux que pour le chrétien et la cigarette, le seul moyen de faire un choix durable et sincère, c’est de le faire le cœur en paix.

Ce n’est pas l’arrêt de la cigarette qui doit mener à la paix, mais la paix dans le cœur qui doit mener à l’arrêt de la cigarette !

 

Je parle ici de la cigarette mais c’est valable pour n’importe quel désir de la chair !! (Pornographie …)

 

Pour que notre cœur soit en paix, il faut que le combat qu’il y a entre la chair et l’Esprit cesse et pour cela, il faut appliquer la recommandation que Christ nous laisse au travers de Paul « Ceux qui sont en Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs » (Galates 5.14).

 

Il y a en nous deux choses, une croix et un trône ainsi que Christ et notre chair.

C’est à nous de choisir qui l’on veut voir sur le trône de notre vie et qui l’on désirs mettre sur la croix !

Christ est en nous oui ! Mais est-il sur le trône de notre vie ? Règne t-il dans  notre vie ?

Si vous avez la paix en vous, vous pourrez répondre aisément « oui ! » mais si vous ne savez pas répondre un « oui ! » sincère, c’est qu’il n’y a pas la paix en vous.

 

Lorsque vous pourrez répondre « oui ! » alors tout choix que vous ferrez, en vue de votre sanctification,  sera durable et sincère.

 

La paix intérieure, c’est aussi notre force !

Lisons,

 

Esaïe 30.15

« C'est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, C'est dans le calme et la confiance que sera votre force. »

 

Il y a ici trois synonymes du mot ‘paix’ :

 

1.       Tranquillité

2.       Repos

3.       Calme

 

Pour trouver cette paix intérieure, il faut mettre Christ sur le trône de notre vie et mettre la chair sur la croix tout comme il nous l’est recommandé dans Galates 5.24.

Mais il faut aussi savoir que c’est Christ qui nous offre cette paix (Jean 14.27)  et qu’il est notre paix ! (Ephésiens 2.14)

C’est donc au sein de notre intimité avec Christ que nous pourrons demeurer en paix de façon durable et ce, tant que nous demeurerons en lui.

 

 

·         Vivre en paix

 

Vivre en paix peut être comparable à une paix ‘extérieure’

 

La paix extérieure est celle qui mène à l’unité des chrétiens (Ephésiens 4.3).

Dans bien des versets, nous sommes exhorter à vivre en paix les uns envers les autres et que lorsque surgit un conflit, il est préférable que celui-ci soit réglé au plus vite, dans l’amour et la paix.

 

L’unité des chrétiens est ce qui fait trembler le plus le monde des ténèbres car si un enfant de Dieu à déjà bien assez de puissance que pour faire trembler le monde des ténèbres, l’unification est aux yeux des démons quelques chose de terrifiant.

 

C’est pour cette raison qu’ils essayent de faire disparaître cette paix en introduisant dans les églises des faux prophètes et de faux Christ (Matthieu 24.24) ainsi que de faux docteurs qui créeront des sectes afin de crée des divisions (2 Pierre 2.1)

 

Nous pouvons déjà voir que l’unification n’est pas le fort de l’Eglise de ce siècle et pour preuve, il n’y a qu’a prendre en revue toutes les dénomination issue du milieu évangélique et de voir d’un peu plus prêt leur façon de se considérer l’un envers l’autre … Parfois certaines se traite en ennemi … Autant vous dire que Satan est bien heureux de voir cela.

La seule façon de combattre cela, c’est de se mettre à genoux devant Dieu et non plus devant les choses du monde.

 

 

B)      L’amour

 

Sur ce sujet, on pourrait en écrire des livres, je vais donc me limiter à l’essentiel quant à ce point en reprenant une partie d’un texte que j’avais déjà écrit et qui traitait plus en profondeur le thème de « l’amour » .

 

Je vais donc vous parler de l’amour du prochain car c’est de celui là dont il est question dans le verset 22 de la deuxième épître à Timothée du chapitre 3.

 

Mis à part, donc,  notre amour envers Christ, nous sommes confrontés à deux sortes d’amour durant toute notre vie.

Mais de façon générale, nous pouvons dire que notre relation avec une personne, quelle qu’elle soit, est en proportion direct avec l'amour que nous éprouvons envers elle.

 

 

Notre amour envers les gens du monde

 

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » c’est ce que Jésus dit à ses disciples dans Matthieu 19:19.

En cela, il nous demande d’aimer notre prochain comme nous voudrions être aimés.

 

Donc, nous, chrétiens, devons aimer notre prochain comme nous même, mais cet amour peut être réciproque, alors tout va bien mais parfois ne l’est pas.

Envisageons ce deuxième cas, celui d’un amour non réciproque.

 

Il est important de prendre en compte le sentiment de l’autre vis à vis de nous même.

En effet, il n’est pas question d’imposer notre amour !

 

Je pense que notre amour doit être donné, dans un « minium » (mais en restant en accord avec les recommandations dans la parole de Dieu) aux gens du monde.

Car Christ agit ainsi avec nous ! Il a tout donné pour nous tous! Païens ou chrétiens, mais il ne bénit que ceux qui l'aime !!!
Nous nous devons de tout donné si on nous appel à l'aide, mais nous ne devons pas prendre d'initiative pour eux si il ne nous aime pas, simplement car cela peut être mal prit de leur part !

 

Nous devons aussi respecter leur choix ! S’ils ne nous aimes pas, alors ne nous entêtons pas à les suivre et à leur téléphoner tout le temps (exemple).

Mais  éloignons-nous, selon leur demande, et attendons dans l'amour qu'il nous appel à l'aide.

C'est ainsi que Christ opère avec chacun d'entre nous, et c'est ainsi, à mon sens, que nous devons agir avec chacun d'entre eux.

Je parle de vécu et d'expérience, ainsi que de révélation que Dieu m'a fait.
J'ai souvent toujours aimé tout le monde, même avant d'être chrétien, alors que peux de gens m'aimaient.
Je me prenais continuellement des claques (morale) car mon amour m'était renvoyé avec violence et moqueries.

Une fois devenu chrétien, cela à persisté et Christ m'a dit, « laisse les, car ils le souhaitent, mais si ils t'appellent, n'hésite pas à rendre un bon témoigne de ton amour pour eux par tes actes ! »

C'est ainsi que je me suis volontairement éloigner et lorsque l'on avait besoin de moi, j'offrais mes services sans retenue et j'aidais du mieux que je pouvais, et c'est pour cela que j'ai maintenant des amis, que je n'avais pas avant.

Nous ne devons pas imposer notre amour, mais attendre qu'on nous le demande.

Le rôle du chrétien est d’être témoin de Jésus, et le témoin ce doit de témoigner des œuvres que Jésus à accompli.

Cela signifie que nous devons nous comporter comme lui-même s’est comporté !

Il nous est possible de faire cela uniquement par la grâce de Dieu manifesté en sont Esprit-Saint qui est en nous.

 

L’initiative à prendre est dans le cas ou c’est un appel de Dieu ! Si on se sent poussé par Dieu à agir d’une façon « extrême » dans l’amour vis-à-vis d’un païen, alors n’hésitons pas !

Mais quand à l’initiative personnelle, elle se doit d’être modérée.

 

Imposer son amour, peut conduire à de grosse frustration vous savez ... Car parfois cela vous est rendu de façon assez dure et risquerai d’endurcir votre cœur vis-à-vis de votre prochain.

 

 

Notre amour envers nos frères et sœurs

 

Jean 15:12  « C'est ici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. »

 

Ce verset sont les paroles de Christ adresser à ses disciples et donc valable pour tous chrétiens !

Prenons en compte les deux notions clés.

 

 

·         « Aimez-vous les uns les autres »

 

Tout chrétien ce doit de respecter ce commandement !  Et cela, Jésus ne l’a pas adressé aux chrétiens et aux païens mais seulement aux chrétiens !!

C’est très important de s’en rendre compte car dans cela se trouve toute la nuance entre l’amour que nous devons avoir envers un non chrétien et celui que nous devons avoir envers un frère ou une sœur.

 

En effet, notre amour envers des frères et sœurs ne doit pas être limité et se doit d’être manifesté en tout temps !

Pourquoi ?

Voici la réponse : «  (…) A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres » (Jean 13.35)

 

C’est donc presque qu’une obligation de s’aimer entre frère et sœur ; non seulement pour solidifier le corps de Christ mais aussi pour témoigner de lui !

 

·         « Comme je vous ai aimés »

 

Comme je l’ai déjà dis, nous devons être témoin de Christ !

J’ai aussi fais mention d’un amour réservé dans la première partie mais ici, ce n’est plus le cas.

Christ ne nous à pas aimer d’un amour réservé !! Loin de là ! A tous ceux qui l’aiment, il promet, la vie éternelle et des bénédictions tout le long de sa vie !!

Ephésiens 3:20 « Or, à celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au delà de tout ce que nous demandons ou pensons »

 

Nous devons prendre exemple sur cela, tout comme nous le demande Christ, et d’aimer nos frères et sœurs de tout notre cœur et de façon démesurée !!

Si un frère nous demande 100€ donnons lui  150€ !

 

 

Vous savez, Christ est mort pour tous, chrétiens ou païens et donc aime tout être humains !! Mais il ne bénit que ceux qui l’aiment ! Pour que l’eau coule dans votre évier, il faut que la vanne soit ouverte ! L’eau est dans la tuyauterie, mais si vous n’ouvrez pas la vanne, elle ne coulera pas !

Si vous n’ouvrez pas la vanne de votre cœur à Christ, vous ne pouvez recevoir son amour ni même ses bénédictions, car elles résultent de son amour.

 

Apocalypse 3:20
« Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. »

 

Mais pour ceux qui ouvrent cette vanne, ils reçoivent alors bien plus que ce qu’ils pensent !!

Nos frères et sœurs doivent avoir constamment cette vanne ouverte à notre amour, et donc nous pouvons et même devons le manifester en tout temps !!! Car il passera et sera reçut comme il se doit, selon la volonté de Christ manifesté dans Jean 15.12.

 

Mais pour ceux qui refuse cet amour, si nous mettons trop de pressions dans la tuyauterie, elle risque d’exploser et cela causera du tort à vous, mais aussi à l’autre !

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Fabien - dans Etudes par livre
13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 14:31

C)     La justice

 

Il existe deux sortes de justice, la justice de l’homme et celle de Dieu.

 

 

1.       La justice de Dieu

 

Ce sujet peut sembler compliqué si on se base sur la conception abstraite qui peut rester dans notre tête. Mais si on se base sur la parole de Dieu, on peut avoir une vision claire et simple de sa propre justice.

 

La justice de Dieu à quelque peut changée au fil du temps.

Cette affirmation peut laisser perplexe plus d’un chrétien, je vous l’accorde. Pourtant, c’est ce que nous observons lors d’une analyse objective de sa parole.

Si nous nous basons sur la loi du Talion, nous devons donc admettre que toute faute commise mérite une sanction égale à celle-ci   (c’est ce qui est d’application dans la justice de l’homme) (Lévitique 24.20).

 

Mais nous pouvons voir que lorsque Dieu à envoyé Jésus sur terre, il nous montre une autre justice, celle de la tolérance et celle qui émane de notre amour pour notre prochain.

Il n’est plus question d’infliger une sanction égale à la faute commise, mais d’apporter, au lieu de la sanction, notre pardon qui est source libératrice et puissante de notre amour pour l’autre. (Matthieu 5.39).

 

Mais la justice de Dieu reste inchangée sur un point, celui ou il bénit ceux qui lui appartienne et qui pratique sa justice, mais maudit et punit ceux qui sont mauvais et attaquent les Siens.

 

Psaumes 5.9-12

« Car il n'y a point de sincérité dans leur bouche ; Leur coeur est rempli de malice, Leur gosier est un sépulcre ouvert, Et ils ont sur la langue des paroles flatteuses.

Frappe-les comme des coupables, ô Dieu ! Que leurs desseins amènent leur chute ! Précipite-les au milieu de leurs péchés sans nombre ! Car ils se révoltent contre toi.
Alors tous ceux qui se confient en toi se réjouiront, Ils auront de l'allégresse à toujours, et tu les protégeras ; Tu seras un sujet de joie Pour ceux qui aiment ton nom.
Car tu bénis le juste, ô Éternel ! Tu l'entoures de ta grâce comme d'un bouclier. »

 

La justice de Dieu est un bouclier pour celui qui croit en Lui et qui applique sa justice, mais qu’en est-il vraiment de sa justice ? Comment la pratiquer ?

 

Le psalmiste nous montre que la justice de Dieu est manifestée dans ses statuts (Psaumes 119.40).

A ce stade de la parole et en remettant le texte dans son contexte, il est fort probable qu’il soit fait allusion aux dix commandements étant donné qu’à cette époque, seul le pentateuque demeurai la bible des juifs, du peuple de Dieu. (la Torah actuelle)

 

Contextuellement parlant, c’est donc dans les dix commandements que se renferme la justice de Dieu.

Mais les hommes, à cette époque, étaient sous la loi et donc était condamnés par celle-ci.  (Romains 2.12)

 

Telle était la justice de Dieu à cette époque.

 

De cette même justice, Salomon la déclare comme source de vie et de gloire mais elle doit aller de paire avec la bienveillance (action de grâce) (Proverbes 21.21).

Il n’y a qu’a considérer la vie de Salomon pour constater que sa justice lui à apporter un bien être et une paix désiré de tous.

 

En ce qui concerne le prophète Esaïe, il nous rapporte que l’œuvre de la justice sera la paix. (Esaïe 32.17)

La justice de Dieu mène donc à la paix de celui qui l’a met en pratique dans sa vie, en suivant les préceptes de l’Eternel.

Une paix qui ne dépendra pas des circonstances de la vie, non, une paix bien plus profonde, bien plus solide !

 

Et c’est de cette même paix que Jésus nous parle lorsqu’il nous dit « Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre coeur ne soit pas troublé, ni craintif. » (Jean 14.27)

Une paix qui sera le résultat d’une vie encrée, fondée en Dieu.

 

Le prophète Sophonie, quant à lui, nous exhorte à rechercher la justice et l’humilité afin d’être, peut être, préservé du jour de la colère de l’Eternel. (Sophonie 2.3)

Cette recommandation est aussi contextuelle car nous savons bien que notre salut ne dépend pas d’une recherche mais de notre foi en Christ (même si cela reste tout de même similaire sur certains points).

 

Mais la vraie richesse de se passage n’est pas tellement l’exhortation à rechercher la justice et l’humilité, mais elle se trouve dans la recherche de Dieu lui-même !

Car c’est par lui et pour lui que doivent se faire nos recherches.

Elles ne doivent être motivées que d’une seule chose, notre amour pour Dieu ; sans quoi, le fruit de notre recherche sera bien pauvre et sans fondement valable.

 

Nous en avons l’explication lorsque Jésus nous dit « bienheureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car c'est eux qui seront rassasiés » (Matthieu 5:6).

 

La justice de Dieu a été pleinement manifestée au travers du sacrifice de Jésus. (Romains 5.25)

Avant, la justice de Dieu avait pour but de sauver son peuple, les Juifs, mais maintenant, sa justice n’a de sens que de sauver toute sa création !

 

J’ai parlé plus haut de justice changeante, mais en faite, il serait plus convenable de parler d’une justice qui à la croix à été pleinement accomplie.

Elle n’a pas changé au fil du temps mais elle s’est accomplie au fil du temps.

 

Par Jésus, Dieu offre un salut à tout être humain et sa justice est en Jésus-Christ et non plus dans la loi (Romains 4.25)

C’est donc en Christ que nous sommes maintenant justifié, non pas par notre obéissance à une loi, mais par notre participation aux souffrances de Christ.

 

Philipiens 3.8-11

« Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ, et d'être trouvé en lui, non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s'obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu par la foi,
Afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort, pour parvenir, si je puis, à la résurrection d'entre les morts. »

 

La justice vient donc de Dieu et de Dieu seul, par le moyen de la foi que nous avons en Christ.

C’est en vivant dans cette justice que nous n’aurons pas à avoir honte de nos actes, car nous vivrons conformes aux préceptes de Dieu, mais non pas par nos propres forces mais par notre foi en Christ Jésus.

 

La croix, la résurrection, manifestations de puissance et de grâce, mais aussi d’amour et de soutien.

C’est par elles que nous nous dépouillons de notre nature charnelle et que nous vivons justifié, dans la perfection de Christ.

Car oui, nous sommes appelé à être des hommes faits, c'est-à-dire, parfait (1 Corinthiens 14.20).

 

Frères, sœurs, ne cherchez donc pas votre perfection au travers des préceptes humains mais cherchez la au travers de la justice de Dieu, de votre foi en Christ Jésus !

 

Vous cherchez la perfection ? Alors trouver d’abord Dieu et connaissez combien il nous aime !

La perfection sera alors, le fruit de cette recherche.

 

2.       La justice de l’homme

 

La justice de l’homme n’est régie qu’au travers de loi et de préceptes humains.

Elle n’apporte aucune validité aux yeux de Dieu ni justification.

 

Cependant, Dieu à établi la justice dans ce monde, mais une justice qui devait être le reflet de la sienne. (Psaumes 2.10)

Mais l’homme s’éloignant de plus en plus de Dieu ne reçoit plus sa justice dans son cœur qui s’endurcit pour créer sa propre justice.

 

L’homme pense, au travers de sa justice, d’établir un équilibre, mais il n’apporte en fin de compte, rien de vraiment concret et solide.

 

L’homme condamne et punis, mais il ne construit pas, ne répare pas.

Alors que Dieu ne condamne pas l’humanité, mais l’appel à venir à lui afin qu’il puisse la reconstruire selon son plan et réparer son cœur.

 

L’homme se plait à utilisé la loi du Talion, mais il oublie qu’en jugeant de la sorte, il sera lui-même jugé selon ses propres méthodes.

 

Bref, la justice de l’homme sera sa propre perte (Romains 6.5)

 

 

D)      La foi

 

Les passions de la jeunesse font souvent abstraction à la foi par le simple fait de décentrer notre regard de la croix, source de l’entièreté de notre foi.

 

Sur ce thème, qu’est la foi, on pourrait en écrire des pages, mais je serai bref.

 

Tout d’abord, la foi est le don de Dieu.

Il ne s’obtient pas par une recherche intellectuelle suite à la lecture de sa parole ou suite à l’écoute d’un enfant de Dieu.

Dieu la fait pénétrer, par son Esprit, dans un cœur bien disposé.

 

La disposition du cœur joue un rôle capital dans notre communion avec Dieu au travers de notre vie.

Et c’est celle-ci qui laissera un champ d’action plus ou moins grand à notre foi.

 

Nous n’avons pas besoin d’avoir une fois démesurée pour plaire à Dieu car une « petite » foi suffit pour déplacer une montagne ! (Matthieu 17.20)

Dieu cherche en ces temps, des hommes de foi avec un cœur bien disposé.

 

Un cœur bien disposé, c’est un cœur qui est prêt de Dieu. Un cœur qui peut dire :

·         Que veux-tu Seigneur ? Ton serviteur écoute. 

·         Envois moi Seigneur, et je partirai !

·         Prépare moi à œuvrer dans la moissons.

Un cœur ne peut être prêt de Dieu que par la foi car c’est celle-ci qui nous permet d’être au prêt de Dieu.

 

En effet, avant d’avoir la foi, qu’étions-nous ? Nous étions ennemis de Dieu, mais par la mort de Jésus, nous devons ses enfants adoptifs, si nous avons foi en Lui. (Romains 5.10)

 

Avoir la foi, dans le sens basique du terme, c’est croire en Christ comme sauveur de l’humanité, mais aussi comme sauveur personnel. Cela est le pilier central de la vie du chrétien.

Mais autour de cela vient se fixer d’autres ‘fruits’ du à la foi.

 

Si notre foi est profondément fondée en Dieu, elle devient une puissance qui nous permet de traverser toutes les épreuves qui jalonneront notre chemin.

Nous en avons une brillante démonstration au travers de la vie de Daniel. (Daniel 6)

 

Lui qui était un des trois chefs des satrapes et fort bien apprécié du roi Darius, fut la cible de mainte jalousies à un point tel que cela l’a conduit à être condamné à la fosse au lion pour ne pas avoir respecté le décret imposé qui était de 30 jours sans prière.

Mais Daniel eut foi en Dieu et il savait que s’il lui restait fidèle rien ne pouvait lui arriver.

Alors Dieu, n’ayant rien vu de contraire en Daniel envoya un ange qui ferma la gueule des lions.

 

C’est la foi que Daniel avait envers Dieu qui lui a permit d’être sauvé ! (Daniel 6.17)

Mais cette foi était le résultat d’une forte intimité entre Dieu et lui (Daniel 6.11)

 

Notre foi puise donc sa puissance au sein de notre intimité avec Dieu.

Et la foi de Daniel avait une telle puissance que cela a conduit à la reconnaissance de tout un peuple en ce qui concerne la puissance et la gloire de Dieu (Daniel 6.27)

 

La puissance de la foi permet aussi des guérisons et ce, encore en ces temps !!

Si la guérison est selon la volonté de Dieu, notre foi sera l’élément déclencheur de cette guérison (Marc 1.40-45 ; Marc 5.30) !

 

Jacques 5.15

« La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné »

 

Notre foi en Dieu, c’est notre force (Actes 3.16a) et si notre foi faiblit alors notre force faiblit aussi.

Plus haut, j’ai dis que Dieu ne regardait pas à une foi démesurée mais à la disposition du cœur.

Mais dans ce cas ci, ce n’est pas de cela qu’il est question ; il est question d’une foi affaiblie, qui perd de sa puissance.

 

C’est elle qui nous justifie, alors si nous n’avons plus foi en Dieu, nous ne sommes plus des justes, mais pareil à un non croyant (si pas pire).

 

Arme de l’Esprit, la foi est notre bouclier (Ephésiens 6.16).

Elle ne doit pas se baser sur des « On dit que … », « Mon pasteur à dit que … » mais sur la parole de Dieu ; de sorte que l’on puisse répondre « Il est écrit que … » à l’image de la tentation de Christ dans le désert.

 

Comme dit plus haut, la foi, qui trouve sa source et sa puissance au sein de notre intimité avec Christ, est le pilier de notre vie.

Elle nous empêche d’être emporté loin de l’espérance de l’Evangile et elle nous fera paraître saint, sans défauts et sans reproche devant Dieu (Colossiens 1.22-23).

 

La foi, dans sa manifestation, peut aussi être une source de réconfort pour des frères et sœurs vivant dans l’affliction, l’épreuve, la persécution (1 Thessaloniciens 3.7)

 

Mais la meilleure définition qui peut être dite concernant la foi reste celle-ci :

 

Hébreux 11:1
« Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas »

 

Si vous ne devez retenir qu’une chose concernant la foi, retenez que sa source, c’est Christ et que sa puissance, c’est votre intimité avec Christ.

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Fabien - dans Etudes par livre
13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 14:28

E)     La communion fraternelle

 

Actes 2.41-43

« Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés ; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.
Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières.
La crainte s'emparait de chacun, et il se faisait beaucoup de prodiges et de miracles par les apôtres. »

 

La bible parle peu de la communion fraternelle.

Ce passage est même le seul ou on en retrouve le terme exact.

 

Nous pouvons voir que la communion fraternelle fait tout de même partie de la vie des chrétiens et que c’est entre autre par elle que leur est enseigné la crainte de l’Eternel.

 

Mais si nous lisons bien la bible, on peut associé la communion fraternelle, plus à un soutient mutuelle.

On est exhorté à porter les fardeaux les uns des autres (Galates 6.2), à nous aimez les uns les autres (Jean 15.12).

Mais aussi à remettre un frère sur la bonne voie si l’on voit qu’il a péché ainsi que de prier pour lui (1 Jean 5.16).

Nous ne devons pas non plus parler contre un frère ou une sœur (Jacques 4.11)

 

Bref, nous sommes exhortés à vivre en paix les uns avec les autres (Marc 9.51)

 

La communion fraternelle est à mon sens un partie du culte que nous devons rendre à Dieu le dimanche.

Car le dimanche ce n’est pas que recevoir la parole, prier et chanter, c’est aussi vivre en communion fraternelle.

S’il n’y a pas la communion fraternelle, à quoi cela nous sert-il d’aller à l’église ??

Il y a tellement de richesse à aller chercher chez son frère et sa sœur que nous ne pouvons l’imaginer.

 

Si Paul précise son exhortation en ce qui concerne la communion fraternelle, au même titre que la paix, la justice et la foi, c’est qu’il y a une bonne raison non ?

 

Nous voyons que dans Actes (verset cité ci-dessus) la communion fraternelle est mise sur un même pied d’égalité que la fraction du pain, l’enseignement des apôtres, et la prière.

Mais où est la place de cette communion fraternelle dans notre vie ? Ce limite t-elle à notre cercle d’amis ? A notre club de jeune ? Aux membres de notre église ?

 

L’ennemi à peur d’un chrétien qui à une foi fondée en Christ, mais que pensez-vous qu’il éprouve face à une communauté fondée dans l’amour de Christ et la communion fraternelle ? Une telle communauté qui prend le pain et le vin ensemble, prie, loue le Seigneur, et s’enseigne mutuellement.

 

Où est la puissance de l’église à l’heure actuelle ?

L’église perd beaucoup de sa puissance car :

·         Elle n’est plus fondée dans la communion fraternelle

·         Comme Sanson, elle se met à genoux face aux choses du monde et non plus face à Dieu.

C’est deux simple point sont les causes principale d’une puissance inexistante dans les églises actuelles !

 

Ce message peut choquer, j’en suis conscient, mais il n’y a qu’à observer le nombre de fidèle lors des réunions de prières ou d’activités diverse de l’église en dehors du culte …

 

Y’a-t-il une joie de revoir ses frères et sœurs qui nous anime lorsque nous nous rassemblons ?

Y a-t-il autre chose que notre égoïsme* qui nous appel à allé le dimanche au culte ?

 

Le monde chrétien perd cruellement de puissance dans nos pays parce que cette valeur de communion fraternelle n’est plus le centre de nos motivations.

 

On pense aller à l’église pour Dieu, par amour pour Dieu, pour recevoir sa parole, pour prendre le pain, le vin, mais on ignore complètement celui qui est assis à côté de nous ….

 

Cher frère et sœur, pensez à cela, je vous en prie !

 

La communion fraternelle est importante et remplie de richesses et de bénédictions !!

C’est une grâce que nous offre le Seigneur, pour l’épanouissement de l’Eglise mais aussi pour notre propre épanouissement !

 

Prions les uns pour les autres !

Prions les uns avec les autres !

Portons les fardeaux des autres !

Portons nos fardeaux, les uns les autres !

Connaissons nous la souffrance qui se trouve dans le cœur de notre frère ou sœur assis à notre côté le dimanche ? Savons nous prier pour lui ou elle ?

 

Je parle pour moi aussi vous savez, mais j’expérimente cette grâce qu’est la communion fraternelle et c’est remplit de richesses je vous le promet.

Il y a un trésor dans le fond de chacun d’entre nous, qui que nous soyons dans l’église.

 

Parfois, une simple discussion, un simple encouragement pour ranimer la joie dans le cœur d’un frère ou d’une sœur qui n’avait plus éprouvé ce sentiment durant un temps.

 

Je ne vais pas faire plus long, mais je vous demande juste de vos poser cette question : « Où est la place de l’autre dans ma vie ? »

 

 

2 Timothée 2.3-6

« Souffre avec moi, comme un bon soldat de Jésus Christ.
Il n'est pas de soldat qui s'embarrasse des affaires de la vie, s'il veut plaire à celui qui l'a enrôlé ; et l'athlète n'est pas couronné, s'il n'a combattu suivant les règles.
Le laboureur qu peine doit être le premier à recueillir le fruit. »

 

Que ceci vous aide à grandir avec notre Seigneur dans une foi authentique fondée pleinement en lui et non pas par des paroles d’hommes.

 

Dieu vous bénisse,

 

Fabien.

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Fabien - dans Etudes par livre