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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 21:52


 

 

En lisant Romains 12 les premières fois, j’y vais vu une listes de recommandations à suivre si on voulait avoir un comportement qui plait à Dieu.

Un peut plus tard, en le relisant dans le contexte des chapitres 9, 10 et 11, je me suis rendu compte qu’il donnait le résultat de ce que devait être une vie selon Dieu. On peut remarquer que les trois chapitres précédents le chapitre 12, parlent de choses plus spirituelles, de la loi, de la grâce, du salut, de l’élection des païens … tandis que le 12 nous parle de choses plus pragmatiques.

J’ai donc décidé d’approfondir  le sujet et de voir ce qu’était une vie selon Dieu, dans une vision pragmatique, mais sans en retirer le côté spirituel.

 

 

  • Chapitre 1 : Notre vie, un culte à Dieu, une consécration.

 

« Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. » (Romains 12.1)

 

Il s’agit ici d’un sujet relativement important car consacré sa vie à Dieu, cela signifie que nous lui dédions notre vie. Mais le fait de la faire cela ne nous apporte aucune mérite ce n’est que quelque chose de « raisonnable » nous dit Paul. Il est donc comme une évidence que notre vie doit être dédier à Dieu et lorsque nous le faisons, nous n’avons aucun mérite, ce n’est que ce que nous devons faire.

A partir d’une vie qui lui est dédié, Dieu peut œuvrer au travers d’elle et accomplir des œuvres diverses (évangélisation, miracles, enseignements de la parole …) (2 Timothée 2.21). C’est, une fois notre part accomplie, que nous pourrons prendre part de toutes les bénédictions que Dieu nous réserve.

Les bénédictions ne sont pas la résultante de la réalisation de notre part, mais uniquement de la grâce de Dieu qui décide de nous bénir sous des formes très diverses.

La « première » chose à faire, s’il fallait y mettre un ordre, se serait donc de dédier toute notre vie à Dieu de se dire « Tout pour qu’il règne ». Mais cela comporte tout de même sont lot de choix et de « sacrifices » en se conservant pur.

 

a)       La mort au péché

 

Mourir au péché est une condition indispensable pour prendre part au royaume de Dieu (Ephésiens 5.5).

Ce que la bible nous dit c’est que nous devons mener une vie sans péché (Romains 6.2 ; Galates 5.24 ; 1 Pierre 2.24) et être irréprochable devant Dieu, ne pas avoir honte de nos actes.

Cependant, il y a une chose que nul chrétien ne peut réfuter : le chrétien né de nouveau pêche … Alors que Jean nous dit clairement que « Quiconque demeure en lui (Jésus) ne pêche pas ; quiconque pêche ne l’a pas vu et ne l’a pas connu » (1 Jean 3.6) nous, nous disons sans cesse « Pardon mon Dieu, j’ai péché contre toi ». Il est donc évident qu’il y a quelque chose qui ne va pas.

Je ne peux me permettre de prétendre que nous devons vivre sans jamais péché et que celui qui pêche n’est alors pas chrétien ; car dans ce cas, je devrais être le premier sur les banc des accusés. Mais pourtant, c’est bien à une vie sans péché que nous sommes appelé. La solution qu’elle donne est une vie enracinée en Christ (Colossiens 2.7 ; Ephésiens 3.17).

Cependant, Paul apporte une certaine précision concernant le texte de Jean « Certes non ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? » (Romains 6.2). C’est donc que la vie qui nous est demandé est une vie loin du péché, ce qui signifie de nous ne devons plus péché par consentement, mais il nous arrivera de péché par « mégarde, ignorance » et pour cela, il y a Jésus-Christ, médiateur pour nous, au près de Dieu (1 Jean 1.9)

Lorsque Paul nous parle de notre statut « mort au péché », il souligne en fait une aberration qu’il a pu constater chez les Romains. Il dit clairement qu’il est impossible, pour quelqu’un qui est mort au péché, de vivre dans le péché, sinon, celui-ci n’aurait finalement pas connu Jésus. En disant cela, il nous donne aussi l’explication « Car celui qui est mort au péché est libre du péché » (Romains 6.7).

La mort au péché, c’est finalement prendre part à la mort de Jésus-Christ et à son affranchissement face au péché. Nous ne sommes donc plus esclave du péché, il n’est donc plus normal que nous continuons à mener une vie de pécher !

Si donc nous sommes participant de la mort de Christ, nous serrons également participant de sa résurrection menant donc une vie loin du péché. C’est donc ici le seul moyen de mourir au péché, c’est prendre part à la mort de Christ.

 

Si nous vivons encore avec un péché dans noter vie, un vice, même si nous, nous croyons en Dieu, dans ce cas, nous ne le connaissons pas … Car le terme « connaître », lorsqu’il est mentionné en terme de relation avec Dieu, fait mention d’une relation intime avec Dieu et donc, part dans une optique de « Tout pour qu’il règne ».

Dans ce cas, si nous menons une vie qui n’est pas en ordre avec Dieu, avant d’espérer quoi que se soit de sa part, nous devons redevenir disponible pour Dieu et se repentir.

Sans cela, n’espérons pas allez plus loin dans notre relation avec Dieu, car tout les canalisations seront bouchées.

 

Une vie dédiée pour Dieu doit d’abord passer par la mort au péché ! Et notre part à faire est de s’éloigner de toute impureté, sans cela, il ne faut pas espérer plus.

 

b)      La communion avec la mort de Christ

 

Le terme grec « koïnônia », qui signifie la communion, désigne ici, dans le sens religieux, la participation aux caractères de l’individus avec qui on communie.

Il s’agit donc ici d’une participation aux caractères de la mort de Christ et donc, d’une mise en pratique d’une vie centrée sur Dieu.

On vient de voir que par la mort en Jésus, nous sommes libéré du péché. Maintenant, part notre communion à cette mort, nous devenons participant de sa vie (Galates 2.20)

« Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus se manifeste aussi dans notre chair mortelle » (2 Corinthiens 4.11) Cette mort consiste donc à notre renoncement à la chair, à ses passions et ses désires. Cette démarche à pour conséquence de manifester la vie de Jésus en nous.

 

Cette démarche nous demande une capitulation totale et absolue de notre volonté, la mettant à la disposition de Dieu.

Bien souvent, dans ce qui nous est demandé, il n’est finalement question que de « volonté » et non d’efforts à fournir.

La volonté de l’homme est ce qui le rend capable d’agir par lui-même dans tous les domaines de sa vie. Mais la volonté de l’homme sera influencée par ses valeurs, par son attachement à ce à quoi il portera de l’importance. Si l’homme porte de l’importance dans les choses de ce monde, alors sa volonté sera mise en œuvre pour rendre encore plus confortable sa situation dans le monde.

Mais à nous, chrétien, notre préoccupation ne doit être rien d’autre que « Tout pour qu’il règne » et si on fait de cela notre « valeur suprême » dans notre vie, alors notre propre volonté sera soumise à celle de Dieu et nous seront en communion avec lui.

 

La communion avec la mort de Christ signifie que nous sommes mort aux principes rudimentaires de ce monde et que donc, notre vie en Jésus n’est plus dépendante des règles de ce montre tel que, l’avarice, l’hypocrisie, l’impureté … Et doit tendre à obéir aux recommandations de Dieu, en lui soumettant notre propre volonté.

 

c)       Servir sans poser de questions

 

L’être humain à par défaut un esprit curieux qui aime se poser beaucoup de question et qui n’hésite pas à remettre certaines choses en question.

Cette caractéristique de l’homme l’a poussé à se soucier un peu plus de ce qui l’entoure et qui influence son espace vital ainsi qu’à savoir le comment du pourquoi de sa vie sur cette terre.

L’homme est prêt à entendre beaucoup de chose, mais ce qu’il n’aime pas entendre c’est qu’on lui dise qu’il n’est finalement pas le seul maître de sa propre vie et c’est portant une notion véritable que nous devons bien comprendre, nous, chrétiens.

Le fait de ne pas admettre cela nous poussera à faire difficilement quelque chose sans savoir tout, le pourquoi, le comment, le quand, où …  C’est parfois l’un des principaux obstacles devant lequel Dieu se trouve en parlant à son enfant.

Si le chrétien ne s’efforce de pas à laisser Dieu en premier maître de sa vie, alors Dieu ne pourra rien faire en lui.

 

Il arrive que parfois, un chrétien ait la réponse sous les yeux, mais ne désire pas l’admettre car elle suscite bien trop de question de sa part.

Lorsque l’on demande à Dieu « Que dois-je faire ? », on n’attend pas que Dieu nous dise « aime moi » mais plutôt « alors ce jour là, tu fera ceci car … Puis ça ».

Mais lorsque l’on est enfant de Dieu, il faut savoir dire « Voilà Père, ma vie est à toi, fais en ce que tu désire » tout en ce gardant bien évidement disponible.

C’est en le mettant à la place de « Père » et donc d’une personne ayant autorité sur notre vie et étant donc en droit de nous dire ce que nous devons faire, sans que nous ayons à remettre cela en question, que nous mènerons une vie avec Dieu.

Car vouloir resté le seul maître de sa propre vie c’est demandé à Dieu de ne pas faire partie de notre vie, ou alors c’est lui donné la place de supporter.

 

La notion mise en avant ici est donc celle de l’obéissance et il y a plusieurs témoignages rendu, dans l’ancienne alliance ainsi que la nouvelle, de serviteur de Dieu ayant fait preuve d’obéissance : Noé a construit l’arche sans se poser de questions (Genèse 6.22), Elisée quitta sa famille pour suivre Elie sans se poser de questions (1 Rois 19.20), Esaïe répondit à la question de Dieu par « Me voici, envoi-moi » (Esaïe 6.8), Jésus lui-même dit « Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre » (Jean 4.34) et pour finir, Paul dit à Jésus « Seigneur que faut-il que je fasse ? » (Actes 9.6). Il est donc ici questions d’enfant de Dieu obéissant et qui n’ont pas posés de questions à Dieu concernant son appel.

Il n’est pas mauvais de se poser des questions et rien ne nous dit qu’ils ne s’étaient pas poser des questions, mais une chose est sur, ils ne se sont pas laissé arrêté par les questions qu’ils pouvaient éventuellement se poser.

 

Une question qui peut se poser maintenant c’est « Sommes nous seulement prêt à être appelé ? » pour cela, il faut savoir si nous sommes prêt à être obéissant et soumis à notre Dieu.

 

L’obéissance à une place prédominante dans la vie du croyant car c’est l’une des premières chose qui doit se manifester après notre conversion. C’est aussi ce qui dirigera notre marche avec Dieu.

Pour s’en rendre compte, il suffit de regarder la vie des personnes citées. Ils furent en tout temps en communion avec Dieu et dans l’obéissance. Cela les a conduit à vivre de grande chose avec Dieu.

 

Lors de son séjour sur terre, Jésus à parler de l’obéissance en disant d’elle plusieurs choses :

  •  
    • Fondement de la personnalité (Matthieu 7.24)
    • Condition essentielle pour appartenir à la famille de Dieu (Matthieu 12.50)
    • Clé de la connaissance spirituelle (Jean 7.17)
    • Garantie de la présence bénie de Dieu (Jean 14.23, 1 Jean 2.17)

 

Chacun de ceux-ci se retrouvent dans la vie des personnes citées plus haut. On peut donc en conclure qu’ils nous appartiennent aussi, si nous demeurons dans l’obéissance à Dieu.

C’est donc dans chacun des domaines de notre vie que nous devons demeurer dans l’obéissance et laisser à Dieu un droit de regard et d’actions sur eux. Car il nous demande d’abord d’être fidèle dans les petites choses.

 

Bien que parfois nous ne comprenions pas le pourquoi, nous nous devons de resté obéissant, car Dieu lui, sait ! Et cela devrait être suffisant pour nous aider à décider. Le combat sera difficile et se sera un combat de chaque instant contre notre chair, mais si nous restons obéissant, Dieu ne restera pas avare de bénédictions et d’amour !!

 

d)       La résignation dans l’épreuve

 

L’épreuve nous est annoncé comme faisant partie de la vie de tout chrétien (Jean 15.18-19 ; 1 Jean 3.13) et fait figure d’étape prédominante dans sa vie.

Par elle, on peut se rapprocher de Dieu ou s’éloigner de Dieu, tout dépendra de l’attitude que l’on adoptera dans chacune des épreuves de notre vie.

Il est maintenant question de « résignation » ; qui est une tendance à subir « sans réagir ». Ce terme est utilisé par le dictionnaire pour faire référence à une action appuyée sur nos propres forces. En ce sens là, ce n’est pas du tout ce qui nous est demandé en terme de résignation. Il n’est pas question de tomber dans la fatalisme et subir simplement, mais on doit se rapprocher de Dieu et en cela, il nous donnera alors la force de continuer et d’affronter l’épreuve afin d’y trouver la sortie que Dieu a d’avance préparée.

 

Pour affronter une épreuve, il faut en connaître sa provenance et il y en a plusieurs :

 

  •  
    • De Satan

 

Il y a  tout autour de nous des personnes sous l’influence de l’ennemi, des personnes dans lesquelles il à un pouvoir absolu. Cela fait d’eux des armes puissantes pour nous ébranler.

Face à cela, bien souvent, on a tendance à se plaindre de la personne voir parfois même à la haïr car elle est odieuse avec nous. Et on en viendra à lutter contre la chair et non contre l’esprit mauvais.

Dans ce genre de situation, nous devons prendre conscience que la personne devant nous est également une victime manipulée et Jésus nous demande d’avoir pour eux de la compassion en nous disant de ne pas haïr nos ennemis.

Nous devons réagir de façon à être irréprochable, et laissé agir la personne en la portant dans nos prière demandant à Dieu de lui faire grâce. Et en cela, nous combattrons et triompherons de l’esprit mauvais car la personne pourrait même être bénie au travers de notre attitude ! Cette attitude nous conduira à nous rapprocher de Dieu encore plus !

Mais si nous nous acharnons à haïr la personne, à se venger, à médire … Alors nous adopterons une bien mauvaise attitude qui, non seulement nous éloignera de Dieu, mais nous enfoncera toujours plus dans le piège de l’ennemi.

 

  •  
    • De Dieu

 

Oui Dieu éprouve, il ne tente pas, mais il éprouve son enfant. En cela, il espère que son enfant grandisse et s’affermisse encore plus en lui « Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l'affliction produit la persévérance, la persévérance la victoire dans l'épreuve, et cette victoire l'espérance. Or, l'espérance ne trompe point, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint Esprit qui nous a été donné. » (Romains 5.3-5).

C’est le genre de souffrance qui nous purifie et qui nous pousse à rechercher en nous ce qui n’est pas à la gloire de Dieu.

Dieu profitera d’un problème dans notre vie, d’une chose qu’il ne cautionne pas pour nous mettre face à nous même et nous éduquer. Il permettra à cette chose d’avoir des effets néfaste sur nous (effets limités car il n’admettra pas que nous souffrions inutilement) afin de nous rendre compte réellement de ce qui ne lui plait pas, que nous nous en repentions et que nous en sortons purifier, fortifier et enraciné encore plus en lui.

 

Mais parfois, les épreuves de Dieu s’est aussi de nous donner des responsabilité en plus, d’accomplir des œuvres pour lui, tout cela afin de mettre en action ce que nous lui demandons d’avoir.

 

  •  
    • De nous même

 

Et oui, parfois il n’y a pas pire ennemi pour l’homme que lui-même … Si on s’entête à ne vouloir en faire qu’à notre tête, alors il ne faudra pas s’étonner de nous voir en difficulté …

Il n’y a pas pire vie pour celui qui veut croire en Dieu qu’une vie ou Dieu n’est pas présent … Car si la personne désirant croire en Dieu ne le met pas en première place, mais plutôt le monde ou certaines valeurs ou occupations du monde, alors il sera déchirer entre sa conscience et ses actes … Et ce ne sera ni la faute de l’ennemi, ne celle de Dieu, mais de lui et de lui seul.

L’ennemi influencera, certes, mais le choix reste et restera toujours entre nos mains.

 

 

Lorsqu’un enfant se noie dans une piscine, le réflexe est qu’il se débat de toutes ses forces pour essayer de survivre, mais lorsque le maître nageur plonge pour le secourir, si l’enfant continue à se débattre, il lui rend la tâche du maître nageur bien plus complexe et plus longue.

Cette image illustre bien comment nous devons nous comporter dans nos moments de difficultés. On doit cesser de nous agiter pour pouvoir nous jeter dans les bras de notre sauveur ; c’est ce qui nous ait demandé et c’est le témoignage que nous rend également Jésus (Marc 14.36 ; Jean 18.11).

Si nous adoptons cette bonne attitude, alors nous recevrons les bénédictions relatives à notre épreuve car Dieu les fera toujours concourir à notre bien (Romains 8.28). Cette attitude consiste à garder notre regard sur Jésus et fais appel à notre foi.

Mais si on adopte la mauvaise attitude, alors il se peut que le temps de notre épreuve soit rallongé et que nous passions à côtés des bénédictions. Il s’agit ici de fixer notre regard sur l’épreuve ce qui réveillera certaines craintes inutiles. « Heureux l’homme qui place en l’Eternel sa confiance » (Psaumes 40.5)

Il est donc bon, dans notre épreuve, de savoir laisser Dieu agir à notre place, non pas à resté sans rien faire mais bien en nous rendant disponible, en ayant le cœur ouvert pour lui et cela s’acquière au sein de notre intimité avec lui.

 

Dieu nous demande de nous adresser à lui ainsi que de nous confier à lui et c’est lorsque l’on entre dans cette intimité que l’on ressent la présence de Dieu à nos côté, car quand un enfant appel son Père, il répond toujours présent !

Prendre du temps avec Dieu, à dit un frère, c’est le mettre au centre de notre vie, c’est lui donné de l’importance.

C’est en effet en donnant du temps à Dieu qu’il pourra se révéler à nous dans notre vie et au travers de l’épreuve.

 

e)       La soumission à la volonté divine

 

La soumission à Dieu est quelque chose de terriblement important dans la vie du chrétien, car un chrétien non soumit à Dieu rencontrera plus de difficulté pour s’épanouir et au final, ne connaîtra pas Dieu. Cette soumission doit être une règle quotidienne de notre vie (Jacques 4.15).

Dans la soumission à Dieu, David y trouvait son plaisir car il aimait obéir à Dieu et accomplir sa volonté (Psaumes143.10). Se soumettre à la volonté de Dieu c’est aussi prendre pleinement part à sa propre nature divine, à savoir que nous sommes enfant de Dieu (Matthieu 12.50)

Notre soumission à Dieu est la porte qui nous ouvre une dimension profonde dans notre relation avec Lui.

Se consacrer à Dieu nous demande donc d’impliquer tout ce que nous sommes, tout ce que nous avons pour lui. « Je vous exhorte donc frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable » (Romains 12.1)

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Fabien - dans Etudes par thème
6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 20:13


 

« Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit » (Matthieu 28.19-20)

 

Cette notion de faire des disciples est assez nouvelle pour moi, car à la suite d’une discussion avec un frère, le Seigneur m’a vraiment ouvert les yeux concernant son désire de nous voir faire des disciples.

 

Beaucoup d’entre nous pensons que faire des disciples, c’est amener une personne à l’église et une fois qu’elle y est, notre travail est terminé. Ce n’est pas ce que le Seigneur nous demande de faire, il nous demande quelque chose de bien plus profond.

 

Nous ne sommes pas appelé à faire des adhérant au protestantisme, mais bien des disciples de Jésus. Nous ne sommes pas appelé à faire des pentecôtistes,  baptistes, frères etc. etc.,  mais bien des disciples.

Peut être que cela semble être le même pour vous, tout comme je le pensais avant cette discussion, mais c’est bien plus complet comme demande.

 

Il y a dans les versets cités, plusieurs sujets qui sont abordés ; le premier étant de faire des disciples, le second concernant le baptême et le troisième l’enseignement à l’observation de la parole. Et cela est le devoir du disciple.

 

Jésus parle tout d’abord de l’importance des disciples mettant ce point en première liste des devoirs du chrétien sur cette terre.

Un disciple c’est beaucoup de chose dans la bible, mais c’est principalement quelqu’un qui suit son maître et qui écoute son enseignement (Matthieu 5.1). A partir de là, on en voit l’objectif à atteindre lorsqu’il est question de faire des disciples.

 

Lorsque Jésus nous demande de faire des disciples, il nous demande d’amener des âmes à lui, mais également de les suivre dans leur cheminement jusqu’à les rendre indépendant et les guidant dans une intimité profonde avec Dieu.

 

Je pense qu’il y a une notion qui se perd dans nos milieux, celle de la véritable communion fraternelle ainsi que du soutiens spirituel des plus forts envers les plus faibles (Romains 15.1). Car lorsque Jésus nous demande de faire des disciples, il y a également une discipline que nous devons leur apprendre et leur partager ce que nous avons également reçut de Lui.

 

Un disciple devrait avoir un droit de regard sur la vie de celui qu’il guide, lui demandant continuellement comment va sa relation avec Dieu, s’il a bien lu sa bible, été à l’église, ce qu’il a appris récemment etc.

Il y a derrière cela une puissante relation qui unit littéralement un frère à un autre !

 

Ensuite, se frère que nous aurons formés pourra également en former d’autre, car il sera devenu, comme nous, un disciple et aura appris à se construire avec Dieu lui-même.

 

Lorsque nous amenons quelqu’un à une église dès sa conversion, je pense que nous faisons une erreur, car il y a de forte chance que celui-ci ne se satisfasse uniquement de cette situation sans véritablement chercher par lui-même à devenir un disciple.

Combien de pasteur nous forme à devenir un disciple ? Est-ce un enseignement régulier au sein de notre église ? Combien de frères s’inquiète de notre vie spirituelle dans nos églises ? Combien nous demandent comment nous allons en passant le stade de politesse pour vraiment s’intéresser à nous ?

Et nous même, nous intéressons nous aux autres ?

 

Je crois véritablement que notre devoir est de former des disciples et que l’églises ne peut faire se travail (malheureusement) et que nous devons amener un frère à l’église que s’il est suffisamment fort et a passer le stade de « disciple ». Car les églises sont parfois les premiers endroits qui devraient être évangélisé …

 

Voilà pourquoi Jésus nous dit « enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit » car en cela, il nous demande vraiment de leur apprendre à devenir autonome, alors que l’église aura tendance à les rendre « dépendant » d’elle s’en leur apprendre à prendre leur propre autonomie.

 

Si donc nous amenons une âme à Christ, nous avons également le devoir de l’aider à agrandir dans la foi et d’y maintenir un suivit sérieux. Et Christ va même plus loin, il nous autorise à les baptiser.

 

Notre devoir sur cette terre est donc de faire des disciples et non des adhérents à notre religion.

Mais Jésus s’adressait à des disciples, à ses disciples. Une question se pose maintenant, sommes nous un disciple, suis-je un disciple ?

 

Que Dieu nous guide au travers de cette réflexion et nous aide à devenir de véritable disciple.

 

Fabien.

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Fabien - dans Exhortations
27 avril 2008 7 27 /04 /avril /2008 19:00

 

Avec la notion de grâce que nous inculque l’évangile de Christ, il nous est difficile de parler de « règles de vie » car on associe directement à cette pensée la notion de « loi » que Jésus est venu accomplir pour nous qui étions, sans sa grâce, incapables d’y parvenir.

Pourtant, la bible nous mentionne bel et bien quelques règles de vie, quelques obligations à pratiquer en tant que chrétiens.

 

La différence majeure qu’il y a entre ces règles de vie et la « loi » c’est que nous sommes maintenant capables d’accomplir ce qui nous est demandé par Dieu de faire en tant que ses enfants.

Nous sommes rendus capables d’accomplir ses commandements par son Esprit qui nous a été offert par grâce.

 

Je voudrais parler des conseils que Paul donna aux Philippiens et dont la promesse est « Et le Dieu de paix sera avec vous » (Philippiens 4.9b). Car je pense qu’ils ont vraiment le pouvoir de nous conduire dans une vie d’épanouissement avec Christ.

 

  1. « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur, je le répète, réjouissez-vous » (verset 4).

 

La première chose que Paul en vient à demander est de se réjouir, mais sa façon de le demander me laisse pensé qu’ici, il s’agisse bien plus qu’un conseil, c’est presque une obligation.

En effet, si on se penche un peu plus dans la parole, on peut constater que la réjouissance est le devoir des enfants de Dieu (1 Théssaloniciens 5.16). La joie doit donc être le leitmotiv des croyants.

Maintenant, lorsque tout va mal pour nous, nous sommes-en droit de nous demander pourquoi nous devrions être heureux alors que rien ne nous y prête. Billy Graham à dit un jour « La joie chrétienne est indépendante des circonstances de la vie », je trouve cela tellement juste et bon de se rappeler.

 

De la joie vient tout bon sentiment et il est surprenant de constater toutes les choses que nous sommes prêts à faire lorsque notre cœur est en joie. En contrepartie, lorsque notre cœur est dans l’abattement et qu’il n’y a plus de joie, nous n’avons plus goût à rien et nous nous laissons un peu dépérir.

 

Esdras à dit « (…) car la joie de l’Éternel est votre force » (Néhémie 8.10) et Jésus quant à lui nous dit « Je vous ai parlé ainsi afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète » (Jean 15.11).

Dans ces deux versets, j’y vois une magnifique complémentarité et je prends plaisir à penser que ma joie ne doit pas être mienne, mais celle de Christ qui est en moi. Si nous allons puiser notre joie en Christ, alors nous trouverons toujours une raison valable pour maintenir notre cœur en joie.

Jésus nous donne une vraie raison d’être en joie « Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis ; mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux. » (Luc 10.20). Si le fait d’appartenir à la famille de Dieu n’est pas une raison suffisante de nous réjouir, je ne vois pas ce qui pourrait l’être alors.

 

Par nos malheurs, Satan essaye de nous ravir notre joie, car il sait que pour le croyant, la joie est une véritable source de puissance !

Notre amour pour Christ doit être le moteur de notre joie (1 Pierre 1.8) et même si tout ce qui nous entoure tend à nous convaincre que notre vie est misérable et souhaitable pour personne, si Christ est dans votre cœur et que dans ce moment, vous vous approchez de lui, il vous donnera une raison valable pour vous réjouir malgré tout.

 

  1. « Que votre douceur soit connue de tous les hommes » (verset 5)

 

La douceur doit également faire partie intégrante du croyant et doit être un des premiers témoignages à rendre pour la gloire de Dieu.

La douceur dont il est question ici est à manifesté devant tout homme, chrétien ou non et doit guider notre attitude quelque soit la situation qui nous est imposée.

 

Le dictionnaire définit ce terme en disant : Comportement attentif, patient et affectueux d’une personne. Actes, paroles gentilles. Je pense qu’il y a là toutes les caractéristiques qui doivent définir le comportement du chrétien en communauté.

Paul exhorte Timothée à avoir de la douceur envers les ennemis également (2 Timothée 2.25) nous montrant vraiment que ça doit être quelque chose de manifeste dans notre vie, une qualité qui nous caractérise.

 

Le but de nous présenter les traits de caractère que nous devons adopter n’est pas de faire de nous des clones, mais simplement de véhiculer un message et de témoigner de quelqu’un.

Nous avons tous une personnalité différente et nous avons des attraits plus forts pour telle ou telles qualités. Dieu aime la diversité et nous a tous créés différemment, mais il nous demande d’être de bon représentant, nous donnant ainsi une certaine ligne de conduite qui se doit d’être respectée.

 

Le but de la douceur ici, est vraiment de témoigner et elle a un tel impact qu’elle doit être connue de tous les hommes !

Elle peut faire figure de générosité, d’indulgence devant les défauts et les échecs des autres, de patience de celui qui accepte l’injustice ou les mauvais traitements. Bref, une attitude de bonté accompagnée d’humilité.

Nous sommes des représentants de Christ, sachons donc nous comporter comme tel (2 Corinthiens 10.1)

 

La douceur peut calmer bien des situations et éviter bien des drames dans beaucoup de famille.

On m’a toujours dit que pour se disputer, il faut être deux, mais pour stopper une dispute, parfois, un seul suffit.

« Une réponse douce calme la fureur, mais une parole dure excite la colère » (Proverbes 15.1)

 

La douceur est remplie de vertus et si elle devient une « habitude » dans notre vie, non seulement nous serons une source de bénédictions, mais notre vie sera une vie riche, remplie de la présence de Christ.

 

  1. « Ne vous inquiétez de rien ; mais, en toutes choses, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Christ-Jésus. » (verset 6 et 7)

 

Ce verset nous raconte beaucoup de choses, mais le plus importe figure dès le début, le fait de nous inquiétez de rien.

Pourquoi ? Car par la prière, il nous est accordé la grâce de recevoir tous ce dont nous avons besoin. « Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre (…) » (2 Corinthiens 9.8).

 

Il y a en cette époque, un tas de raisons innombrables pour lesquelles vous auriez raison de vous inquiéter et c’est quelque chose de tout à fait normal.

Cependant, Paul nous invite ici à remettre toutes ces choses entre les mains de Dieu afin que nos pensées et notre cœur ne soient pas chargés d’un poids trop lourd qui pourrait nous mener à nous éloigner, par des doutes, de Dieu.

Remettre nos inquiétudes entre les mains de Dieu c’est également garantir une relation durable avec Christ, car nos pensées et notre cœur demeureront en lui.

 

Cette démarche est quotidienne, mais indispensable pour maintenir un bon équilibre dans notre relation avec Dieu.

 

  1. « Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées » (verset 8)

 

Voici une bonne liste de ce qui doit être l’objet de nos pensées. Je pense que cette liste à pour but de remplir nos pensées de chose qui sont agréables à Dieu et ainsi chasser nos inquiétudes. Mais également de nous plonger dans un état d’esprit très proche de celui de notre Seigneur afin de pouvoir jouir de sa joie.

Il y a dans cette liste une véritable solution pour tous ceux qui se sentent chargés par le poids lourd de l’inquiétude.

Chasser ce qui nous tracasse pour laisser place aux merveilles de Dieu, il y a de quoi réjouir le cœur le plus sombre !

 

Paul nous pousse véritablement à nous mettre en communion avec Jésus afin de rechercher en lui tout ce qu’il nous faut pour aboutir à une vie complète et conforme à la pensée de Dieu.

Il ne nous pousse pas à simplement accomplir sa propre liste d’exhortations, mais bien, au travers d’elle, à aller puiser en Christ ce qu’il nous manque, au sein de notre intimité avec lui.

 

  1. « (…) ce que vous avez appris, reçu et entendu, et ce que vous avez vu en moi, pratiquez-le. Et le Dieu de paix sera avec vous » (verset 9)

 

Jacques à ici la même pensée que Paul disant lui-même « Car, si quelqu'un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel (…) » (Jacques 1.23).

Il s’agit donc bien ici de mettre en pratique des préceptes approuvés de Dieu et non référant à la pensée propre de l’homme.

Il y a donc ici une promesse à saisir, celle de jouir de la présence de Dieu dans notre vie !

 

Paul a donc fini par nous laisser une promesse. Je pense que si nous regardons de plus près, il ne peut en être autrement, car pour accomplir tout cela, nous nous devons d’être proches de Christ.

 

Il est certain que certains points sont difficiles à mettre en pratique et voir même contraignant, mais il ne faut pas oublier qu’ils sont là pour nous libérer de ce qui nous pèse et nous apportent une vie plus saine, remplie de joie, sans inquiétude ayant une pleine confiance en Dieu avec des pensées allant pour sa gloire.

 

Faire de ces règles de vie notre objectif, c’est se donner du repos et faire le plein de force.

« Car ainsi a parlé le Seigneur, l'Éternel, le Saint d'Israël : C'est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, C'est dans le calme et la confiance que sera votre force. » (Esaïe 30.15)

 

 

 

Saisissez cette vie que nous tend notre Seigneur et partagez pleinement sa paix !

 

Que Dieu vous guide et vous protège,

 

 

Fabien.

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Fabien - dans Exhortations
26 avril 2008 6 26 /04 /avril /2008 11:25


 

« Car c’est Dieu qui opère en vous le vouloir et le faire selon son dessein bienveillant » (Philippiens 2.13)

 

Il y a une chose qui m’a toujours interpellé dans ma vie avec Dieu, c’était de savoir ce qu’il attendait de moi ainsi que d’accomplir les œuvres qu’il avait entreprit pour moi.

Ce verset m’a donné la réponse à cela, me montrant qu’il a mis en moi tout ce qu’il fallait pour accomplir son dessein bienveillant dans ma vie.

 

En nous, il y a le « vouloir » et le « faire » ce qui signifie que Dieu nous donne l’envie de le servir ainsi que la possibilité de l’accomplir.

Je pense sincèrement que Dieu ne nous mettra pas à charge quelque chose qui nous pèse et dont nous n’avons pas envie.

 

Cette notion d’envie à un certain cadre. Le voici : « Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. » (Galates 5.24). Une fois que notre chair n’a plus aucun pouvoir sur nous, nous pouvons alors écouter les envies que Dieu a mit sur notre cœur sans avoir peur de se voir incapable de les accomplir, car avec l’envie, Dieu nous à donner la capacité de le faire.

 

Pour que notre chair n’ait plus d’influence sur nos envies, il faut pour cela qu’il y a ait une vie d’intimité qui se développe entre nous et le Christ.

Lorsque nous sommes venus à Jésus, c’est, pour la plupart, grâce à ce que nous avons entendu de lui au travers d’une convention ou d’un frère ou d’une sœur … Une fois cela fait, c’est une relation d’intimité qui nous attend et que nous devons saisir. « Ce n’est plus à cause de tes dires que nous croyons ; car nous l’avons entendu nous-mêmes » (Jean 4.42) prenez-vous du temps pour écouter ce que Jésus a à nous vous dire ? Passons-nous du temps dans son intimité ? La réponse « oui » à ces deux questions est quelque chose de primordial si nous voulons avancer avec Dieu et si nous voulons nous défaire de l’influence de notre chair sur notre vie.

 

Le « vouloir » et le « faire » en nous est donc quelque chose d’implanté par Dieu dans notre cœur, afin que nous accomplissions ses œuvres.

Si donc vous vous posez encore cette question de savoir ce que vous devez faire pour être agréable à Dieu, écoutez simplement ce qu’il a mis sur votre cœur, et agissez !

Ce n’est pas toujours facile d’écouter ce qu’il y a dans notre cœur, placé par Dieu, c’est pourquoi, il est important de passer des moments d’intimité avec notre Seigneur, car c’est dans ces moments, ou par ces moments, que toutes choses nous sont révélées.

 

En ce qui concerne le « faire », nous ne devons vraiment pas avoir peur, car Dieu nous rend capable d’accomplir les œuvres qu’il a préparées d’avance pour nous (Hébreux 13.20-21) (ça n’a pas de sens sinon).

Il est vrai que parfois, nous avons tendance à croire que nous manquons de sagesse, de connaissance, de patience, d’amour, de fermeté … Et tout cela peut être un frein pour avancer et accomplir se « faire » qu’il y a en nous.

Nous ne devons jamais oublier qu’en nous, il y a Jésus et qu’il est la source de toute chose ! (Jean 4.10-14).

Quoi que nous aurions besoin pour accomplir ce qui nous semble impossible se trouve en Christ qui est nous. Tout ce qui est à Jésus est à nous, si nous demeurions fermes en lui.

 

Frères et sœurs, n’ayons donc aucune crainte d’accomplir ses œuvres dans notre vie, répondons à son appel qui demeure dans notre cœur.

N’ayons crainte des obstacles, car tout nous a été accordé pour que ces œuvres arrivent à leur terme !

 

« Si cette entreprise ou cette oeuvre vient des hommes, elle se détruira ; mais si elle vient de Dieu, vous ne pourrez la détruire. Ne courez pas le risque d'avoir combattu contre Dieu. » (Actes 5. 39)

 

Ayons confiance en les capacités de Christ qui demeure en nous !

 

Dieu vous bénisse abondement et vous guide,

 

Fabien

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Fabien - dans Courage !
25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 20:28


 

Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en

confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Ecriture :

Quiconque croit en Lui ne sera pas confus. (Rom 10.10-11)

 

 

 

 

·         Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. (2Cor 5.17)

 

·         …sachant que notre vieil homme a été crucifié avec Lui, afin que le corps du péché soit réduit à l’impuissance, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché. (Rom 6.6)

 

·         Ainsi vous-même, regardez-vous (gr. Logizesthe = reconnaissez, comptez sur, reposez-vous sur) comme mort au péché, et comme vivant pour Dieu en Jésus-Christ. (Rom 6.11)

 

·         Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. (1Cor 15.57)

 

·         Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance. (2Cor 2.14)

 

·         Il n’y a donc maintenant plus de condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. (Rom 8.1)

 

·         en qui (Jésus) nous avons la rédemption, le pardon des péchés. (Col 1.14 & Eph 1.7)

 

·         …vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ. (Eph 4.32)

 

·         …parce que c’est en Christ que le voile disparaît. (2Cor 3.14)

 

·         en Lui nous avons, par la foi en Lui, la liberté de nous approcher de Dieu avec confiance. (Eph 3.12)

 

·         Et celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oint, c’est Dieu. (2Cor 1.21)

 

·         …ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. (Eph 2.10)

 

·         Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ ! (Eph 1.3)

 

·         …nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les uns des autres. (Rom 12.5)

 

·         …afin que nous devenions en Lui justice de Dieu (expression de tout ce que Dieu demande et approuve !). (2Cor 5.21)

 

·         En Lui, Dieu nous a élu avant la fondation du monde. (Eph 1.4)

 

·         En Lui nous sommes aussi devenus héritiers. (Eph 1.11)

(Auteur inconnu)
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Fabien - dans Exhortations
20 avril 2008 7 20 /04 /avril /2008 17:57


« Frères, pour moi-même je n’estime pas encore avoir saisi le prix ; mais je fais une chose : oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant, je cours vers la but pour obtenir le prix de la vocation céleste de Dieu en Christ-Jésus » (Philippiens 3.13-14).

 

Il y a une chose difficile à faire, celle d’oublier totalement notre passé au profit de notre vie présente et futur.

Il n’est pas rare de se rendre compte quelque temps plus tard que nous sommes entrain de tirer un poids lourd derrière nous dont nous avons cru nous en être débarrassés. Il se peut que ce soit un péché commis, une dépression, un problème familial, un décès … Mais également des habitudes passées, des connaissances acquises dans certains domaines ou même une certaine gloire mondaine.

Paul, dans le passage cité, nous explique sa démarche pour atteindre le but de sa vie en nous disant qu’il oublie le passé pour attraper ce qui est devant lui, sa vocation en Jésus.

 

Si le but à atteindre était simplement notre appartenance à Dieu, Paul pouvait alors s’arrêter bien plus tôt sans entreprendre tout le chemin qu’il a fait. Étant juif et élevé dans la tradition juive, Paul avait tout pour plaire à Dieu selon la tradition (Philippiens 3.4-6).

Mais le jour où il rencontra Jésus, il se rendit vraiment compte de l’importance de ce que vivre avec Dieu signifie.

Il décida alors de quitter ce qu’il avait entrepris ainsi que tout ce qui l’avait conduit à cela pour recommencer une autre vie avec Jésus (Philippiens 3.8).

 

J’aimerai m’arrêter un temps à ce stade de la vie avec Dieu et nous laisser interpeller par Dieu nous demandant si notre passé est bel et bien derrière ou s’il y a encore une continuité dans notre présent.

Il est important de savoir ou nous en sommes afin de savoir ou aller. Et si le trait sur le passé n’est pas fait, nous ne pourrons jamais réellement progresser avec notre Seigneur.

Nous avons une histoire biblique qui traite de cet exemple également, celle de Lot et de sa femme fuyant Sodome et Gomorrhe avant leur destruction. Avant de quitter ces lieux, une seule recommandation leur fut adressée « Sauve-toi pour ta vie : ne regarde pas derrière toi ... » (Genèse 19:17).

Lorsque je lis cela, je vois toute l’importance de la démarche entreprise par Paul pour suivre sa course, car c’est d’ordre vital !

En effet, notre vie spirituelle (et tout ce qui en découle) dépend, de ce pas qui est notre séparation avec notre passé, car tant que cela ne sera pas fait, il n’y a pas vraiment de marche possible avec Jésus.

Nous pouvons voir qu’entre Lot et sa femme, deux réactions différentes ont été manifestées après cette recommandation. Lot fut obéissant et courut jusqu’au lieu dit tandis que sa femme regarda derrière, ce qui la transforma en statue de sel (Genèse 19.26).

Il y a un parallèle effrayant, mais vrai qui peut être fait, celui de constater que si notre regard est porté sur notre passé, alors notre foi, notre avancement spirituel sera figé et notre homme nouveau ne sera qu’une statue de sel, sans vie.

Je ne peux vous dire ce qui dans votre vie est encore en lien avec votre passé et cause des dommages dans votre relation avec Dieu, c’est à vous de le découvrir en vous sondant devant Dieu.

 

Paul ici ne nous dit pas comment il a fait pour se défaire de tout se passer. Et en ce qui me concerne, la chose la plus étrange pour moi est de me demander comment Paul a-t-il fait pour se défaire de sa nature juive ainsi que de ses connaissances acquises ?

En effet, comment peut-on oublier ce que nous avons si durement appris et également renier nos origines ?

Paul nous donne finalement une réponse nous disant « et tendant vers ce qui est devant ».

En cela se cache la seule démarche possible, celle de tendre notre regard et notre vie vers Jésus, car de nous-mêmes nous ne pouvons rien et que seule la grâce de Dieu a la puissance de nous arracher à notre passé.

 

Lors d’une réunion de jeune, un pasteur m’a fortement interpellé me rappelant l’importance capitale qu’il y avait en passant du temps avec Dieu en nous parlant de Marthe et de Marie (Luc 10.38-42).

Cela me permit de me rendre compte ou je plaçais Dieu dans ma vie et il n’était pas au premier rang… Mais cela me permit de voir que ce que j’avais mis au premier plan était finalement mon passé en reprenant des habitudes qui faisaient de lui, un monde sans Dieu.

Peu après ma conversion, j’ai assez vite compris l’effet néfaste de ses habitudes dans ma relation avec Dieu et j’ai essayé par tous les moyens (humains …) de m’en défaire.

Cela fonctionnait bien un temps, mais j’ai assez vite été rattrapé.

Finalement, j’ai pu m’apercevoir que le meilleur moyen de me défaire de ce combat que je mène depuis 3 ans était de me plonger dans la présence de Dieu, de tendre vers ce qui est devant moi.

La bible nous parle également de ce regard que nous devons avoir devant nous, et ce, de par une expérience salutaire qu’a vécu Pierre (Matthieu 14.25-33).

Le plus frappant pour moi dans cette histoire n’est pas le moment ou Pierre marche sur l’eau, mais celui où Pierre s’enfonça dans l’eau. Je me demandais alors si le fait de marcher sur l’eau était dû à une concentration particulière et que celle-ci fut perdue lorsqu’il regarda la mer agitée, mais je me trompais.

Il est curieux de voir, que la seule chose qui fit marcher Pierre sur l’eau était son regard sur Christ (c'est-à-dire sa confiance en lui) et que la seule chose qui le fit couler fut le doute qui remplit Pierre à la vue de la mer agitée.

Cela m’a donc montré que tant que notre regard est porté sur Jésus, c'est-à-dire notre attention et que nous mettons du temps à part pour lui, nous n’avons même pas à craindre la pire des tempêtes qui puisse arriver dans notre vie. Mais dès que nous perdons cette intimité au sein des moments mis à part pour Jésus, nous laissons entrer le doute et la possibilité de se faire rattrapé par notre passé.

Lorsque Paul dit que « Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs» (Galates 5.24), il nous explique qu’en effet, vivre avec Jésus, c’est laissé derrière nous son passé, son ancienne nature, pour vivre pleinement notre nouvelle identité en Christ.

 

Passé du temps avec Dieu. Consacrer lui du temps. N’attendez pas qu’il soit leur, d’aller dormir pour ouvrir la bible et faire votre « devoir quotidien ». Mais faite une place dans votre planning, il en va de votre survire spirituelle.

 

Que Dieu vous bénisse richement,

 

Fabien.

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Fabien - dans Exhortations
7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 09:34



« Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu » (2 Pierre 1.3)

 

Je pense que nous sommes beaucoup à nous questionner sur le « Comment mener sa vie à bien, pour qu’elle plaise à Dieu ? ». Il y a déjà beaucoup de livres qui parlent de cela, mais ce que je voudrais ici, c’est seulement souligner ce que Pierre nous dit à savoir que tout nous a été donné pour vivre une vie qui plaît à Dieu.

 

En tant que chrétiens, nous avons deux vies à mener, une spirituelle (la piété) et une « normale » (la vie), mais il ne faut en rien dissocier l’une de l’autre.

Le rôle de la vie spirituelle serait de nous rapprocher de Dieu, de nous plonger dans son intimité, c’est une vie d’intimité avec Dieu et de communion avec nos frères et sœurs. Elle consiste à nous nourrir de toute parole venant de la bouche de l’Éternel (Deutéronome 8.3 & Esaïe 55.3) et doit également être assurée par notre foi en Jésus-Christ (Jean 5.24). Pour cela, nous devons passer par la mort à soi même et au péché (2 Corinthiens 4.11 ; 5.15 & Galates 2.20).

La vie spirituelle c’est aussi une vie où Jésus-Christ en sera le centre et dont sa gloire sera notre but suprême (Philippiens 1.21 ; 1 Pierre 4.6). Tout cela ayant pour but de nous amener à être des témoins d’amour (1 Jean 3.14). On peut donc constater que quoi que l’on regarde dans cette vie spirituelle, Dieu doit toujours y être omniprésent.

Elle sera donc le tronc de notre vie qui, s’il est vigoureux et puissant encré dans la bonne terre, nous donnera de belles branches et nous permettra de porter de bons fruits bien copieux.

La vie spirituelle est donc la base de notre vie, c’est celle qui déterminera si le reste sera stable ou pas ; car une vie spirituelle bancale ne pourra porter une vie « normale » stable.

 

La vie « normale » quant à elle n’est rien d’autre que notre vie de tous les jours ; à savoir l’école, le travail, les petits soucis quotidiens, …

On peut constater que si notre relation avec Dieu est bonne, cela aura des répercussions positives dans notre vie ; tout d’abord sur un plan moral et puis peut-être sur un plan matériel (ce dernier point ne doit pas être une doctrine, c’est du cas par cas qui ne dépend que de la volonté de Dieu)

Une chose est certaine, lorsque notre relation avec Dieu est profonde, quelle que soit la tempête, qui soufflera sur notre vie, les racines qui nous tiennent liés à lui ne céderont jamais. Ces racines, il en existe quelques-unes dont la bible nous parle et Pierre en entame une dans le verset qui suit.

 

Pierre, dans le verset 4, met l’accent sur les promesses de Dieu nous disant que « Par elles (la vie et la piété) les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données (…) » et que cela nous donne la possibilité de devenir participant de Christ.

Le but de ces promesses est de tisser un lien entre nous et Dieu qui, lorsque la tempête soufflera nous donnera la possibilité de nous accrocher à elle pour solliciter la puissance de Dieu dans notre vie.

Il ne faut jamais oublier que les promesses de Dieu nous sont un dû et que donc, il ne faut surtout pas hésiter à les cités dans nos prières. Mais nous allons également voir que les promesses sont nombreuses et que les situations qu’elles touchent sont également très vastes.

La connaissance de ces promesses est importante, voire même capitale, pour le chrétien, car elles seront la clef qui débloquera bien nombre de situations douloureuses pour l’enfant de Dieu.

 

Voyons d’abord quelques caractéristiques de ces promesses :

 

1)       Elles s’accomplissent toujours

 

C’est peut-être l’une des caractéristiques les plus remises en question par nous-mêmes, car nous nous laissons aveugler par Satan lorsque nous sommes affaiblis par l’épreuve (2 Corinthiens 4.4).

Pourtant, je peux vous le garantir, car la bible le proclame, les promesses de Dieu s’accomplissent toujours !

« Bénit soit l’Éternel, qui à donné du repos à son peuple d’Israël, selon tout ce qu’il avait dit ! De toutes les paroles favorables qu’il avait dites par l’intermédiaire de son serviteur Moïse, aucune parole n’est restée sans effet » (1 Rois 8.56)

Ne pensons donc pas que Dieu nous abandonne ou qu’il traîne à nous secourir, mais saisissons ses promesses et gardons notre espérance en lui. Ouvrons la porte à ces promesses.

 

 

2)       Elles sont garanties par le pouvoir de Dieu

 

Paul nous dit « (…) pleinement convaincus de ceci : ce que Dieu a promis, il a aussi la puissance de l’accomplir » (Romains 4.21) nous devons donc avoir cette confiance que non seulement les promesses de Dieu s’accompliront, mais également celles qui nous semblent les plus improbables !

Quelle que soit notre situation, Dieu nous promet de nous en sortir si nous gardons en lui l’espoir. Et cet espoir cette aussi une foi ferme en ses promesses et en la puissance de Dieu qui est, ne l’oublions pas, le Dieu de l’impossible.

 

3)       Elles sont fondées en Christ

 

« Toutes les promesses de Dieu sont ce oui en lui. C’est donc aussi par lui que nous disons à Dieu l’amen pour sa gloire » (2 Corinthiens 1.20)

Par Christ, Dieu à accomplie toutes ses promesses et nous donne donc accès à la paix, la joie, l’amour, bonté, le salut, la sanctification, la communion, l’espérance, la glorification et le ciel. Tous cela a été accompli en Jésus Christ (Luc 24.44).

Si nous même nous nous fondons en Christ, nous aurons donc pour nourriture à notre foi, les promesses de Dieu (Colossiens 2.7).

 

4)       Elles ont une valeur infinie

 

« Par elles les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participant de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise. » (2 Pierre 1.4)

Je trouve ce passage très poignant, car il démontre bien que tout nous est offert et que nous avons un soutien non pas limité de la part de Dieu, mais bien illimité au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer.

 

5)       Elles culminent dans la vie éternelle

 

« Et voici la promesse qu’il nous a faite : la vie éternelle. » (1 Jean 2.25)

 

 

Toutes ces promesses ont des objectifs bien précis, des personnes à secourir.

Voici donc une petite liste des personnes visées par les promesses de Dieu et les promesses qui les concernent :

 

A)      Promesses aux affligées

 

1)       Des jours plus beaux : (Psaumes 30.6)

2)       La libération : (Psaumes 34.20)

3)       La Sollicitude divine dans la maladie : (Psaumes 41.4 ; voir aussi Psaumes 50.15 ; 94.12 ; 138.7)

4)       Le Réconfort de la présence divine : (Esaïe 43.2)

5)       Une demeure éternelle : (Jean 14.1-2)

6)       Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu : (Romains 8.28 & 2 Corinthiens 4.17)

7)       La grâce de Dieu suffit au croyant : (2 Corinthiens 12.9)

8)       La communion avec les souffrances de Christ : (1 Pierre 4.12-13)

9)       La délivrance finale de la souffrance et de la douleur : (Apocalypse 21.4)

 

B)      Promesses aux croyants

 

1)       La nourriture pour le corps (Psaumes 37.3)

2)       Les bénédictions sont sans limites : (Marc 9.23)

3)       L’exaucement de la prière : (Marc 11.24)

4)       La disparition des obstacles : (Luc 17.6)

5)       L’adoption divine : (Jean 1.12)

6)       La vie éternelle : (Jean 3.14-15 & Jean 5.24)

7)       La plénitude spirituelle : (Jean 6.35 & Jean 11.26)

8)       La lumière spirituelle : (Jean 12.46)

9)       La puissance pour le service : (Jean 14.12)

10)   Le salut : (Romains 1.16 & 1 Pierre 2.6)

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Fabien - dans Etudes par livre
7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 09:32

C)      Promesses aux humbles

 

1)       Le regard bienveillant de Dieu (Esaïe 66.2)

2)       Toute sa grâce : (Jacques 4.6 & 1 Pierre 5.5)

 

D)      Promesses aux généreux

 

1)       Nourriture en suffisance : (Psaumes 3.9-10)

2)       Le secoure : (Esaïe 58.10)

3)       L’amour de Dieu : (2 Corinthiens 9.7)

 

E)      Promesses à ceux qui obéissent

 

1)       Sa miséricorde : (Exode 20.6)

2)       Son soutien : (Exode 23.22)

3)       La joie : (Deutéronome 4.40 & Luc 11.28)

4)       La bénédiction : (Deutéronome 11.27)

5)       La stabilité dans notre vie : (1 Rois 11.38)

6)       Une bonne situation : (Esaïe 1.19)

7)       Participant de Jésus-Christ : (Marc 3.35)

8)       La connaissance : (Jean 7.17)

9)       La communion avec Dieu : (Jean 14.23)

 

F)      Promesses à ceux qui se repentent

 

1)       Le soutien et la miséricorde : (Psaumes 34.19)

2)       La guérisons : (Jérémie 3.22)

3)       L’amour de Dieu : (Joël 2.13)

4)       Dieu n’est pas rancunier : (Michée 7.18)

5)       La joie dans le ciel : (Luc 15.7)

6)       Le don de l’Esprit-Saint : (Actes 2.38)

7)       Les péchés sont effacés : (Actes 3.19)

 

G)      Promesses aux pauvres

 

1)       La protection divine : (Psaumes 12.6 ; 14.6 ; 69.34 ; 109.31 ; 140.13 ; Esaïe 11.4)

2)       La providence protectrice : (Esaïe 25.4)

3)       Une réponse à la prière : (Esaïe 41.17)

4)       Une héritage céleste : (Jacques 2.5)

 

H)      Promesses à ceux qui cherchent Dieu

 

1)       Trouver : (Deutéronome 4.29 ; Proverbes 8.17 ; Luc 11.9)

2)       L’écoute, le pardon et la guérison : (2 Chronique 7.14)

3)       La justice : (Luc 18.7)

4)       Exaucement de nos prières par le nom de Jésus : (Jean 14.14)

 

I)     Promesses à ceux qui sont tentés

 

1)       Le pourvoir de marcher sur les puissances mauvaises : (Luc 10.19)

2)       La certitude que Christ intercède pour nous : (Luc 22.31-32)

3)       L’écrasement de Satan : (Romains 16.20)

4)       La possibilité de sortir de la tentation : (1 Corinthiens 10.13)

5)       Un secoure à l’heure de l’épreuve : (Hébreux 2.18)

6)       La victoire finale : (Jacques 4.7 & Apocalypse 3.10)

7)       Régner avec Christ : (Apocalypse 3.21)

 

J)      Promesses particulières aux ouvriers de Dieu

 

1)       La gloire : (Daniel 12.3)

2)       Des récompenses : (Marc 9.41 ;  1 Corinthiens  3.14 ; 15.58 ; Hébreux 6.10)

3)       La paix : (Romains 2.10)

4)       La joie : (Jacques 1.25)

 

Lorsque Pierre mentionne les promesses, c’est afin de nous dire qu’elles nous permettront de devenir participants de Christ « (…) afin que par elles, vous deveniez participants de la nature divine (…) ». Lorsque nous voyons les personnes que visent ces promesses, nous pouvons constater que pour la plupart, il s’agit d’étapes par lesquelles beaucoup de chrétiens (pour ne pas dire tous) fini par passer un jour.

Lorsque l’on approfondit un peu le sujet sur la « tempête » dans la bible on peut constater qu’elle a pour but de nous décrasser, de nous purifier. Et ce n’est pas sans rien que Pierre précise juste après « (…) en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise ».

Seul un juste peut proclamer les promesses de l’Éternel ; un juste, non par ses œuvres, mais par l’engagement de son cœur en la foi en Jésus-Christ.

Dieu ne s’attend pas à ce que tous ces enfants vivent sans pécher (ce n’est pas pour autant que c’est ce qu’il souhaite) mais à ce que lorsqu’il pèche, ils se repentent et adopte une attitude d’humilité face à leur Roi. Et en cela, ils seront vus comme juste, justifié par le sang purificateur de Jésus-Christ.

Ces promesses sont, comme le dit Pierre « les plus précieuses et les plus grandes ».

 

Dans le verset qui suit, Pierre continue sur sa vision d’une vie pure et agréable à Dieu nous enseignant les principes fondamentaux que nous devons adopter en tant que chrétien : « (…) à cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance, à la connaissance la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi la persévérance, à la persévérance la piété, à la piété la fraternité, à la fraternité l’amour. ».

La première fois que j’ai lu ce passage attentivement, je me suis demandé ce que visait Pierre en disant « à cause de cela même » et j’ai longtemps cru qu’il parlait de la corruption du monde par la convoitise. Mais lorsque l’on regarde l’ensemble, on voit qu’avant, Pierre nous parle d’une vie participante à Christ et que les principes qu’ils nous enseignent nous poussent à vivre de façon à honorer notre engagement à Christ. En disant cela, Pierre visait en faîtes les promesses qui nous rendent participant de Christ.

Cela nous montre donc que nous ne devons pas faire ces efforts pour fuir la corruption du monde, mais parce que nous sommes participant de Christ. L’avantage de ce raisonnement est de nous garder les yeux fixés sur notre Seigneur et non sur le monde, espérant ainsi en Christ et non en nos efforts pour fuir le monde.

Concernant les principes cités par Pierre, je ne sais pas si elles ont un lien précis l’un envers l’autre. Mais l’image que me donne Pierre en s’exprimant ainsi est celle d’un tronc (la foi) à laquelle on vient fixer des branches qui feront notre personnalité chrétienne.

 

La foi doit d’abord être vécue de façon intime entre nous et Dieu. Elle se manifestera par notre obéissance à Dieu ainsi que notre totale soumission. Nos premiers pas dans la vie chrétienne mettront très vite notre foi à rude épreuve et si nous n’appliquons pas à elle une obéissance sincère à Dieu et une soumission totale, alors nous ne parviendrons pas à aller bien loin dans la vie chrétienne.

Mais lorsqu’elle est vécue de la bonne façon, elle commence très vite à nous offrir une intimité profonde avec notre Seigneur nous offrant quelques dons à mettre en œuvre ainsi que des charges à accomplir.

Notre foi, une fois posée en bon fondement de notre vie chrétienne, se verra attribuer d’autres qualités telles, notamment, celles citées par Pierre.

Tout comme la foi, chacune de ces qualités se verra être mise à rude épreuve et il n’est pas impossible de devoir témoigner d’amour envers un frère pour lequel notre cœur est rempli de rancœur  ou d’amertume. Mais très vite, notre Seigneur nous montrera comment passer outre cet état d’amertume en nous enseignant le pardon que nous devons avoir et en remplissant nos esprits de connaissances.

Le but de ces connaissances n’est pas d’en faire étalage auprès de nos frères et sœurs et s’en venté. Voilà, entre autres, pourquoi Pierre allié à la connaissance la maîtrise de soi.

La connaissance servira de point d’appuis à notre vie chrétienne qui, mise à rude épreuve, pourra aller chercher dans la connaissance, les promesses nécessaires ou se rappeler de principes oubliés.

Mais bien vite, si la persévérance ne vient pas booster un peu tout ça, nous aurons tendance à nous laisser abattre par les coups incessants de l’ennemi. C’est pourquoi, la persévérance nous fera toujours regarder à Jésus-Christ notre Seigneur qui à triomphé des dominations mauvaises et non pas à ce qui nous accable. Sont but sera de nous garder la tête hors de l’eau afin de ne pas se laisser noyer par Satan.

La piété sera ce qui devra être le mot d’ordre de notre vie et permettra de garder nos racines en Christ et de ne se laisser infecté par rien. Elle poussera notre vie à sans cesse nous rapprocher de Dieu par une hygiène correcte consistant à lire la parole, à la méditer et à se l’approprier. Mais également à nous confier par la prière et à nous soulager par la louange et l’adoration.

Nous savons également que nous avons de par notre adoption au corps de Christ, des frères et sœurs et nous devons les aimer tout comme il l’est mentionné, dis : « Si quelqu'un dit : J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur ; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas ? » (1 Jean 4.20).

Enfin, le but de toute chose est de nous amener à vivre pleinement la charité qui est le plus grand témoignage que l’on peut rendre et qui fut celui de Jésus-Christ également lorsqu’il était sur cette terre (Colossiens 3.14).

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Fabien - dans Etudes par livre
7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 09:32

Tous les principes cités par Pierre doivent donc être encrés sur notre foi et si cela n’est pas, nous devons le demander à Christ afin que, si nous demeurions en lui, ces choses nous soient accordées (Jean 15.7).

Mais ne vous leurrer, pas, si vous demander d’avoir plus d’amour pour votre prochain attendez-vous à être éprouvé en se sens et à devoir témoigner de cet amour. Car comme le mentionne Pierre au début « Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété ». C’est donc que ce que nous demandons, nous l’avons déjà reçu (Marc 11.24) et que Dieu nous donnera des situations qui nous pousseront à nous servir de ce qu’il nous a gracieusement offert.

 

Continuant sa lettre, Pierre dit au verset 8 « En effet, si ces choses existent en vous et s’y multiplient, elles ne vous laisseront pas sans activité ni sans fruit pour la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ ».

Je pense que ce verset peut répondre à l’ennui de pas mal de chrétiens se disant que leur vie chrétienne est morose ou banale.

Il y a une promesse ici qui est fait et qui dit qu’a tout chrétien ayant en lui les principes enseignés par Pierre, ils ne resteront pas sans activité ni sans fruit ; pour autant qu’avant, il y ait en eux ce qu’il leur permettra d’accomplir les œuvres réservées par Dieu.

Un colonel n’enverra jamais son bataillon à la guerre si celui-ci n’est pas équipé en suffisance. De même, Dieu n’enverra pas son enfant si celui-ci est encore bien trop fragile et n’a pas encore acquis tout ce qu’il devait pour accomplir des choses plus grandes.

3 ans furent la durée d’apprentissage des premiers disciples de Christ avant de pouvoir faire les œuvres qu’ils devaient accomplir.

Cette durée est définie par Dieu et est respectée si nous restons dans l’obéissance et la soumission. Mais elle peut être allongée si nous nous éloignons de Dieu et n’en faisons qu’à notre tête. Pierre entame donc ici deux notions, celle des fruits spirituels et de la productivité.

Il faut savoir que nous produisons du fruit à chaque période de notre vie (Psaumes 92.14-15). Un chrétien qui porte du fruit ne verra pas ses ressources s’épuiser et portera toujours du fruit qu’on le voie ou non. (Ezéchiel 47.12).

La parabole du semeur nous indique que le fruit spirituel ne pousse que dans la bonne terre (Matthieu 13.5) et qu’avant de vouloir ensemencer il est peut être préférable de savoir à quelle sorte de sol nous avons à faire afin de ne pas jeter nos perles aux pourceaux (Matthieu 7.8). Il y a des gens qui ne veulent pas de Dieu, pour eux, il ne sert à rien que nous insistions des heures, parfois accepter le refus de l’autre peut être porteur de paix.

Il est vrai qu’un arbre ne porte qu’une sorte de fruit, mais il peut exister plusieurs variétés pour un même fruit (Galates 5.22). La comparaison à un corps pour déterminer l’ensemble des chrétiens n’est pas anodine. Elle démontre bien que chacun à une utilité propre, une variété propre de fruit et que c’est en harmonie que nous devons œuvrer et non en compétition.

Dans le verset cité par Pierre on à pu voir les conditions pour porter du fruit, mais celles-ci dépendent également d’autre chose « Il est comme un arbre planté près d’un cours d’eau, qui donne son fruit en son temps, et dont le feuillage ne se flétrit pas : tout ce qu’il fait réussi ».

Ce psaume de David (1.3) nous montre que pour porter du fruit, nous devons rester en contact avec l’eau vive, car un arbre qui à soif est un arbre qui sera beaucoup plus fragile face aux maladies de ce monde. Mais Jésus lui nous garantit (encore une promesse) de nous donner à boire si nous demeurons près de lui (Jean 4.14).

Il y a donc un temps d’enseignement, de construction du chrétien avant d’aller accomplir les œuvres de Dieu. Cependant, nous devons faire attention à une chose, si Dieu nous appelle maintenant, que nous nous croyions prêt ou pas, nous devons y aller ; car si Dieu nous appelle, c’est que pour lui, nous sommes prêts « L'Éternel se tourna vers lui, et dit : Va avec cette force que tu as, et délivre Israël de la main de Madian ; n'est-ce pas moi qui t'envoie ? » (Juges 6.14).

Ne croyez pas que Gédéon  se sentait prêt pour une telle œuvre, que du contraire, il se posait beaucoup de questions et était loin de se sentir capable d’accomplir cela. Voici ce qu’il répondit à Dieu après avoir reçu cette instruction « Ah ! Mon seigneur, avec quoi délivrerai-je Israël ? Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé, et je suis le plus petit dans la maison de mon père. » N’avons-nous pas déjà une chose semblable alors que Dieu nous appelait à le servir ?

Le plus important n’est pas de se sentir capable, c’est d’avoir confiance en Dieu, de croire que s’il nous appel ce n’est pas pour rien. Voici la réponse de Dieu « Mais je serai avec toi ».

Lorsque Dieu nous envoie, il ne nous laisse pas seul, il nous accompagne et marche avec nous.

Parfois, ce sont nos questions qui nous bloquent et comme l’a dit mon pasteur « On a le droit de se poser des questions, mais pas de se laisser bloquer par elles » (P.Hubinon)

donc oui, Dieu nous promet de ne pas nous laisser sans activité et c’est donc par la foi que nous devons continuer, car le juste vivra par la foi (Habacuc 2.4)

 

Dans le verset 8, Pierre nous explique donc ce qui attend un frère ou une sœurs qui vit les principes, que je qualifierai de « bonne conduite ».

Mais dans son verset suivant il explique tout aussi clairement ce qui se passe pour ceux qui ne les ont pas disant « Il est aveugle, il a les yeux fermés, il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés ».

Pierre ne fait qu’appliquer ce que Jésus dit avant lui, car on a vu que tout cela se trouve en Lui, or, Jésus dit que celui qui demeure en lui comme lui demeure en nous portera beaucoup de fruit, mais que celui qui ne demeure pas en lui, au contraire, sera sec, ne produira rien (Jean 15.1-7).

Lorsque l’on s’éloigne de Jésus, il y a très rapidement des répercussions dans notre vie (qui peuvent être des signaux d’alerte). Un des premiers signes sera le manque d’amour, de patience, de compassion. On sera plus aigri. Lorsqu en nous commençons à devenir ainsi, les principes ne demeurent plus en nous, car nous ne demeurons plus en Christ, mais que nous nous sommes éloignés de ce milieu saint pour un milieu plus corruptible, le monde.

Loin de Jésus, nous sommes loin de tout, notre spiritualité en souffrira énormément et finira par devenir sèche, inexistante.

 

A cela, Pierre donne encore une alternative, celle d’ « affermir votre vocation et votre élection ; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais ».

En parlant d’affermir, Pierre désire nous faire comprendre l’importance de rendre sûre notre pensée concernant l’appel que nous avons reçus de l’Éternel. Il désire que nous soyons profondément enracinés en Dieu ne doutant pas de lui quelque soit ce que nous vivrons.

Pour cela, il nous a donné les moyens nous parlant de promesses et des principes à mettre en vigueur dans notre vie.

Nous ne devons donc jamais douter de l’utilité de notre vie, de nos œuvres ni même du secours de Dieu.

Un tel comportement à une récompense ultime « C’est ainsi que vous sera largement accordée l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ » (2 Pierre 1.11)

 

J’aimerai vous laisser avec une dernière promesse : « Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Romains 8.31) et je paraphraserai en disant : « Si nous craignons Dieu, nous n’avons rien d’autre à craindre »

 

Dieu vous bénisse richement,

 

Fabien.

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Fabien - dans Etudes par livre
5 avril 2008 6 05 /04 /avril /2008 00:12


 

Dans la parole de Dieu, il y a d’innombrables promesses et pour un public très large ! La connaissance de ces promesses est importante, voir même capitale, pour le chrétien, car elles seront la clef qui débloquera bien nombre de situations douloureuses pour l’enfant de Dieu.

Voyons d’abord quelques caractéristiques de ces promesses :

1) Elles s’accomplissent toujours

C’est peut-être l’une des caractéristiques les plus remises en question par nous-mêmes, car nous nous laissons aveugler par Satan lorsque nous sommes affaiblis par l’épreuve (2 Corinthiens 4.4).
Pourtant, je peux vous le garantir, car la bible le proclame, les promesses de Dieu s’accomplissent toujours !
« Bénit soit l’Eternel, qui à donné du repos à son peuple d’Israël, selon tout ce qu’il avait dit ! De toutes les paroles favorables qu’il avait dites par l’intermédiaire de son serviteur Moïse, aucune parole n’est restée sans effet » (1 Rois 8.56)
Ne pensons donc pas que Dieu nous abandonne ou qu’il traîne à nous secourir, mais saisissons ses promesses et gardons notre espérance en lui. Ouvrons la porte à ces promesses.


2) Elles sont garanties par le pouvoir de Dieu

Paul nous dit « (…) pleinement convaincus de ceci : ce que Dieu a promis, l a aussi la puissance de l’accomplir » (Romains 4.21) Nous devons donc avoir cette confiance que non seulement les promesses de Dieu s’accompliront mais également celles qui nous semblent les plus improbables !
Quelque soit notre situation, Dieu nous promet de nous en sortir si nous gardons en lui l’espoir. Et cet espoir cette aussi une foi ferme en ses promesses et en la puissance de Dieu qui est, ne l’oublions pas, le Dieu de l’impossible.

3) Elles sont fondées en Christ

« Toutes les promesses de Dieu sont ce oui en lui. C’est donc aussi par lui que nous disons à Dieu l’amen pour sa gloire » (2 Corinthiens 1.20)
Par Christ, Dieu à accomplie toutes ses promesses et nous donne donc accès à la paix, la joie, l’amour, bonté, le salut, la sanctification, la communion, l’espérance, la glorification et le ciel. Tous cela a été accompli en Jésus Christ (Luc 24.44).
Si nous même nous nous fondons en Christ, nous aurons donc pour nourriture à notre foi, les promesses de Dieu (Colossiens 2.7).

4) Elles ont une valeur infinie

« Par elles les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participant de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise. » (2 Pierre 1.4)
Je trouve ce passage très poignant car il démontre bien que tout nous est offert et que nous avons un soutient non pas limité de la part de Dieu, mais bien illimité au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer.

5) Elles culminent dans la vie éternelle

« Et voici la promesse qu’il nous a faite : la vie éternelle. » (1 Jean 2.25)


Toutes ces promesses ont des objectifs bien précis, des personnes à secourir.
Voici donc une petite liste des personnes visées par les promesses de Dieu et les promesses qui les concernent :


A) Promesses aux affligés

a) Des jours plus beaux : (Psaumes 30.6)
b) La libération : (Psaumes 34.20)
c) La Sollicitude divine dans la maladie : (Psaumes 41.4 ; voir aussi Psaumes 50.15 ; 94.12 ; 138.7)
d) Le Réconfort de la présence divine : (Esaïe 43.2)
e) Une demeure éternelle : (Jean 14.1-2)
f) Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu : (Romains 8.28 & 2 Corinthiens 4.17)
g) La grâce de Dieu suffit au croyant : (2 Corinthiens 12.9)
h) La communion avec les souffrances de Christ : (1 Pierre 4.12-13)
i) La délivrance finale de la souffrance et de la douleur : (Apocalypse 21.4)

B) Promesses aux croyants

a) La nourriture pour le corps : (Psaumes 37.3)
b) Les bénédictions sont sans limites : (Marc 9.23)
c) L’exaucement de la prière : (Marc 11.24)
d) La disparition des obstacles : (Luc 17.6)
e) L’adoption divine : (Jean 1.12)
f) La vie éternelle : (Jean 3.14-15 & Jean 5.24)
g) La plénitude spirituelle : (Jean 6.35 & Jean 11.26)
h) La lumière spirituelle : (Jean 12.46)
i) La puissance pour le service : (Jean 14.12)
j) Le salut : (Romains 1.16 & 1 Pierre 2.6)

C) Promesses aux humbles

a) Le regard bienveillant de Dieu : (Esaïe 66.2)
b) Toute sa grâce : (Jacques 4.6 & 1 Pierre 5.5)

D) Promesses aux généreux

a) Nourriture en suffisance : (Psaumes 3.9-10)
b) Le secoure : (Esaïe 58.10)
c) L’amour de Dieu : (2 Corinthiens 9.7)

E) Promesses à ceux qui obéissent

a) Sa miséricorde : (Exode 20.6)
b) Son soutien : (Exode 23.22)
c) La joie : (Deutéronome 4.40 & Luc 11.28)
d) La bénédiction : (Deutéronome 11.27)
e) La stabilité dans notre vie : (1 Rois 11.38)
f) Une bonne situation : (Esaïe 1.19)
g) Participant de Jésus-Christ : (Marc 3.35)
h) La connaissance : (Jean 7.17)
i) La communion avec Dieu : (Jean 14.23)

F) Promesses à ceux qui se repentent

a) Le soutien et la miséricorde : (Psaumes 34.19)
b) La guérisons : (Jérémie 3.22)
c) L’amour de Dieu : (Joël 2.13)
d) Dieu n’est pas rancunier : (Michée 7.18)
e) La joie dans le ciel : (Luc 15.7)
f) Le don de l’Esprit-Saint : (Actes 2.38)
g) Les péchés sont effacés : (Actes 3.19)

G) Promesses aux pauvres

a) La protection divine : (Psaumes 12.6 ; 14.6 ; 69.34 ; 109.31 ; 140.13 ; Esaïe 11.4)
b) La providence protectrice : (Esaïe 25.4)
c) Une réponse à la prière : (Esaïe 41.17)
d) Une héritage céleste : (Jacques 2.5)

H) Promesses à ceux qui cherchent Dieu

a) Trouver : (Deutéronome 4.29 ; Proverbes 8.17 ; Luc 11.9)
b) L’écoute, le pardon et la guérison : (2 Chronique 7.14)
c) La justice : (Luc 18.7)
d) Exaucement de nos prières par le nom de Jésus : (Jean 14.14)

I) Promesses à ceux qui sont tentés

a) Le pourvoir de marcher sur les puissances mauvaises : (Luc 10.19)
b) La certitude que Christ intercède pour nous : (Luc 22.31-32)
c) L’écrasement de Satan : (Romains 16.20)
d) La possibilité de sortir de la tentation : (1 Corinthiens 10.13)
e) Un secoure à l’heure de l’épreuve : (Hébreux 2.18)
f) La victoire finale : (Jacques 4.7 & Apocalypse 3.10)
g) Régner avec Christ : (Apocalypse 3.21)

J) Promesses particulières aux ouvriers de Dieu

a) La gloire : (Daniel 12.3)
b) Des récompenses : (Marc 9.41 ;  1 Corinthiens  3.14 ; 15.58 ; Hébreux 6.10)
c) La paix : (Romains 2.10)
d) La joie : (Jacques 1.25)


Dieu vous bénisse,

Fabien.

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Fabien - dans Courage !